Jetons un regard humoristique sur un sujet toujours d'actualité: les demandes d'accommodements ethniques.
Les médias rapportent qu'on assiste actuellement à une recrudescence de la pratique du cannibalisme en Afrique.
À ce qu'on lit, même ceux des africains qui doivent s'en abstenir en raison de la pression internationale envient les autres qui peuvent s'adonner à ce type de dégustation à tout le moins inusité.
Et de la hutte d'une tribu anthropophage au logement social en occident, il n'y a plus qu'un pas, qu'un jet de lance, comme les flots de migrants se pressant à nos frontières le démontrent pertinemment, arrivant par milliers directement du Nigéria. Les transferts directs d'un pays à l'autre, suivis de regroupement de familles élargies allant jusqu'à la parenté éloignée, sont en hausse constante.
Il y a fort à parier que la prochaine demande d'accommodement religieux consistera à permettre certains rites funéraires consistant à honorer la qualité d'un défunt en en partageant les restes entre fins gourmets lors d'une cérémonie funéraire rassembleuse. Ce qui en fait l'un des mets les plus recherchés, c'est que c'est leur façon aux proches d'exprimer l'attachement à toute la personne du défunt. La symbolique du geste voudrait que l'endeuillé acquiert ainsi les vertus de son proche parent.
Cela nous rappelle les Iroquois qui dévoraient naguère le coeur encore palpitant de nos valeureux pionniers afin d'en acquérir la valeur au combat. (Oups, serais-je politiquement incorrect au milieu de tout ce révisionnisme historique ambiant visant à nous culpabiliser d'avoir apporté la civilisation et le progrès de ce côté-ci de l'Amérique?)
Certains se rappelleront la première vague de demandes d'accommodements religieux. M. André Drouin de regrettée mémoire avait recensé entre autres dans ses recherches une demande déposée de la part d'une tribu africaine établie au pays qui désirait déterrer ses morts annuellement pour accomplir avec eux divers rites de retrouvailles.
Les diversitaires justiniens affirmeront sans hésitation que l'anthropophagie funéraire et les rites qui en découlent doivent être respectés au nom de l'inclusivité. C'est à nous qu'il reviendrait de faire preuve de compassion, d'humanisme, d'ouverture d'esprit à des pratiques différentes qui prouveront notre acceptation inconditionnelle d'autrui. Nous n'avons pas à comprendre, surtout pas à juger, nous devons simplement accepter et tendre la main à l'autre. Sans oublier de revêtir son vêtement traditionnel dans la mesure du possible, par respect pour lui. Pratiquons tous l'agenouillisme avec ferveur!
Il ne serait pas surprenant que la prochaine demande d'accommodement viennent des communautés sikhs et hindoues en croissance exponentielle au pays, à l'effet que tous nos troupeaux de boeufs d'élevage de l'ouest et nos vaches laitières soient désormais considérés comme des vaches sacrées que nul ne pourra plus toucher sous peine d'être kirpanisé sans pitié.
On prétend également qu'on aurait entrepris des représentations visant à bannir l'élevage du porc à la grandeur du Québec, malgré qu'il soit renommé pour sa qualité supérieure à travers le monde, et ceci afin ne plus froisser ceux dont la religion abhorre le porc, à bâbord comme à tribord.
Que notre mot d'ordre soit: ouvrons-nous à l'autre, issu du grand tiers-monde surpeupleur, ouvrons-nous à sa culture et ses moeurs, adoptons sans hésitation ses pratiques, ses rites, pour qu'il nous enrichisse par sa simple présence en nombre grandissant.
Mais parlez-en pas trop au fossoyeur, des fois que ça lui donnerait des idées pas trop catholiques...
C'est ainsi que se termine un autre chapitre de la série L'immigration désordonnée, mieux vaut en rire que d'en pleurer...
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