Récemment, Joseph Facal a écrit ceci, là là : « Ne devant plus le reconduire à tous ses entraînements de soccer, je récupère des heures dont je ne sais pas encore quoi faire. »

http://www.journaldemontreal.com/2015/07/06/lacher-prise

J’ai commenté ainsi, là, à plusieurs mots près :

Question votre temps libre à nouveau M. Facal, pour passer de province à pays, le Québec à mon avis aurait besoin pour faire Bazzo, d’une direction non partisane d’un oui à 60% plutôt qu’un chef inféodé à un parti monopolisant.

Je sais, la note de passage n’est pas 60 % comme le souhaite des partis fédéraux mais 50% + 1, confirmée en 2011 par l’incroyable Thomas Mulcair, en manque considérable d’électeurs alors.

Mon 60% ci-haut est stratégique ouvert, ce que je peux me permettre; à l’école, il est plus probable pour un élève d’obtenir le 60 % de passage si ses parents visent 70%; ça rend plus probable le 50% +1. Avril 2014 instruit douloureusement…

PKP plutôt qu’Alexandre, Martine, Pierre et les retirés lucides Bernard tardivement et Jean-François à flux tendu ne suffira pas, eux tous si collaboratifs seront-ils. Je salue au passage leur disponibilité et les remercient de leurs contributions, merci au sens de reconnaissance plutôt que congédiement.

Le Québec ne passera pas de province à pays sans un 20% d’électeurs qui ont voté soit PLQ, CAQ ou QS à la dernière, sans parler d’ON et des autres, pour des raisons qui leur appartiennent. Il y a fort à faire du côté des Robert Dutil, Mario Asselin, Adrien Pouliot, Éric Duhaime, Joanne Marcotte, Jeff Fillion, Les Analystes, et j’en passe.

Et c’est sans inclure les moins de 18 ans qui sont privés d’exercice de leur droit constitutionnel 1982 de vote par règlement législatif. Exercice qui pourrait se faire par procuration des parents, notre principale force de travail et de régénération, le temps qu’il faut, bien entendu. Dans l'oeuvre d’une reconstitution du Canada, les uns et les autres sont concernés pour beaucoup plus d’années-vie que les 65 et plus.

J’échangerai comme visée à considérer à long terme pour le Canada l’espérance de vie en remplacement du rêve impérialiste d’Amérique du Nord britannique passé date de péremption depuis la Charte de l’Atlantique, août 1941.

Pour avoir relu récemment sont Quelque chose comme un grand peuple : Essai sur la condition québécoise, 2010, après avoir lu ce titre ici du clavier de Richard Le Hir, je suis convaincu que pour réussir, Joseph Facal est un joueur droit de premier trio.