Quand les vieilles générations du baby-boom auront disparu, la France sera devenue une nation multiculturelle qui n’aura plus rien à voir avec celle des Trente Glorieuses.
De Gaulle avait redonné à notre pays tout son lustre et son éclat, après le désastre de 1940, le propulsant au sommet du podium international derrière les Etats-Unis, mais loin devant le Japon et l’Allemagne non encore réunifiée.
Quant à la Chine des années 60, elle ne fabriquait encore que des lampions et des cerfs-volants. Mais elle s’est enfin réveillée et le monde commence à trembler, donnant raison aux prédictions de Napoléon.
La France savait tout faire. Les paquebots géants, les porte-avions, les TGV, les sous-marins nucléaires, les Mirage qui firent merveille durant la guerre des « Six Jours », la fusée Ariane, la Caravelle etc.
Avec une croissance de 6 % par an, il n’y avait ni chômage, ni insécurité, ni problèmes d’intégration. L’immigration européenne fut un modèle d’assimilation.
La France, au top de sa richesse, affichait le cinquième niveau de vie au monde derrière les USA, la Suisse, la Suède et le Luxembourg.
Mais quarante années d’incurie, de trahisons et d’incompétence de nos élites ont tout balayé.
C’est donc un monde totalement bouleversé qui a émergé de la mondialisation.
Et dans ce monde nouveau, le plus grand défi que doit relever la France est celui de l’immigration de masse, tant l’intégration se révèle être un échec.
Le constat est cruel. Notre pays est sur la pente du déclin et la nation se disloque de jour en jour.
Dans le livre Macron le pire fossoyeur de la France, j’ai tenté de dépeindre le recul de notre pays dans tous les domaines et montré combien Emmanuel Macron fait peu de cas de notre glorieux passé et du peuple français. Son credo, c’est l’Europe d’abord. Nos 2000 ans d’Histoire, qui ont forgé notre identité, ne l’ont jamais intéressé.
Il est convaincu que les nations vont disparaître avec le brassage des populations et des cultures. Il est convaincu que l’immigration est une fatalité contre laquelle on ne peut rien. Mais il se trompe. Car si les nations occidentales sont prêtes à s’effacer, victimes d’une repentance suicidaire et toujours à sens unique, jamais les peuples culturellement homogènes, notamment asiatiques, n’accepteront de disparaître.
Avec une population composée à 99 % de Hans, la Chine, première puissance mondiale sous peu, n’acceptera jamais un brassage culturel. Elle ne connaîtra jamais la fracture identitaire ni le choc des cultures que subit l’Occident. C’est ce qui fait sa force.
Une évidence que les mondialistes refusent de comprendre. Seules les nations fières de ce qu’elles sont survivront. Les autres connaîtront un chaos racial et interconfessionnel indescriptible. Ce sera la sélection naturelle éliminant les nations les plus faibles.
Quand Donald Trump clamait « America first », Macron crachait son venin à l’Onu, accusant la France, devant le monde entier, d’avoir fait beaucoup de mal. C’est là toute la différence entre un patriote fier de son pays et un président misérable qui a honte de notre nation millénaire.
Des siècles de grandeur sont balayés d’un revers de la main par un illuminé du monde d’après. Le président le plus médiocre de la Ve République, se permet de mépriser les plus illustres personnages de notre Histoire. C’est renversant !
Sa jeunesse, régulièrement mise en avant par les médias, loin d’être un atout, nous a révélé une immaturité sidérante dans ses décisions et ses comportements, que ce soit en politique étrangère ou intérieure. C’est un gamin que les Français ont porté au pouvoir, avec des lacunes consternantes.
Quant à le dire intelligent, après tant de frasques et d’erreurs colossales, cela relève de la mauvaise foi la plus grotesque. Macron a une tête bien pleine, certes, mais très loin d’être bien faite.
Ce président n’est pas aimé, il est craint. Vaniteux, arrogant et éternel autosatisfait, il mène la France au désastre en refusant de reconnaître les ravages de sa politique mondialiste. N’attendons aucun mea-culpa chez Macron, ce monument de vanité.
Macron est l’artisan du grand déclassement de la France. Et si ses proches prédécesseurs ne furent pas des lumières, loin s’en faut, ils ont néanmoins montré plus de respect pour leur pays et n’ont jamais insulté le peuple.
Avec la pandémie, gérée de la façon la plus criminelle qui soit en interdisant aux médecins de soigner, la France a fait un bond en arrière gigantesque.
Elle subit la plus forte récession de son histoire récente. Avec Macron, la dette publique a augmenté de 600 milliards et la France a été déclassée du 5e au 7e rang mondial.
Elle connaît la plus forte immigration d’Europe, la plus forte insécurité, la plus forte islamisation et la plus inquiétante fracture identitaire. Et notre espérance de vie a reculé de six mois.
La France de nos ancêtres est en train de disparaître et Macron s’en félicite.
Tous ceux qui dénoncent le déclassement de la France et la fracture identitaire béante, sont aussitôt taxés de défaitisme et de complotisme, quand il ne sont pas traités d’immondes fachos déclinistes ou de néo-nazis.
Nous assistons à une lente démolition de la nation et à la destruction de notre identité, mais la seule obsession de Macron est de dénoncer la « lèpre populiste » !
Et si une majorité d’immigrés ne demande qu’à s’intégrer, la mouvance racialiste diffuse un discours de haine anti-Blancs de plus en plus dangereux.
Il est vrai qu’en faisant l’éternel procès de notre pays, Macron n’a fait qu’attiser les braises…
Le discours décolonial et indigéniste se nourrit de l’extrême bienveillance que manifeste le pouvoir à l’égard des thèses racialistes et antirépublicaines.
La République ne tolère aucun racisme, ne reconnaît aucune race ni religion, mais force est de constater que c’est le seul racisme anti-Blancs qui s’exprime ouvertement, un racisme omniprésent mais mis systématiquement sous le tapis.
Tandis que des femmes musulmanes admirables de courage, dénoncent et combattent l’islamisme, parfois au péril de leur vie, le pouvoir cautionne de son côté le discours de haine de ceux qui détestent la France et cherchent à la diviser.
Le séparatisme surfe sur la démission et la lâcheté du pouvoir.
Les réunions interdites aux Blancs ne suscitent aucune réprobation de la part du gouvernement, trop occupé à harceler la mouvance identitaire. C’est criminel.
Les Français doivent comprendre qu’aucune politique économique, aucune politique sociale, aucune réforme, n’a de chance d’aboutir si on refuse de traiter en priorité absolue la fracture identitaire.
Sans réussite de l’intégration, rien ne sera possible. D’où l’urgence d’une politique de fermeté pour nous éviter un chaos racial comme l’a connu le Liban des années 80.
Toutes nos lois antiracistes ne peuvent que disloquer la nation si elles ne combattent que le racisme à sens unique. L’égalité républicaine, ce n’est pas la tolérance pour les uns et l’intolérance pour les autres. L’intégration ne peut réussir que si le moule républicain ne souffre aucun passe-droit. Nous en sommes loin.
La France n’a d’autre choix que de réussir l’intégration ou disparaître.
Je n’ai jamais cru à la fable de la Remigration. On a déjà bien du mal à expulser un seul criminel étranger, ce n’est pas pour chasser des millions d’immigrés français pour la plupart, qui ne voudront pas partir et dont les pays d’origine ne veulent pas.
Fermons les frontières comme le font certains pays, c’est la première mesure d’urgence absolue.
Ne rêvons pas. La France de 1970, nous ne la reverrons plus.
En revanche, je crois à l’autorité de l’État, à la restauration de l’autorité des enseignants et des policiers pour rétablir l’ordre républicain dans tout le pays.
Si de jeunes immigrés font la loi à l’école, s’ils attaquent des commissariats, caillassent des pompiers et montent des embuscades pour harceler les forces de l’ordre, c’est uniquement parce que le pouvoir démissionnaire les laisse faire. Il n’y a aucune réponse pénale.
Aucun jeune ne s’autoriserait le centième de ces actes de délinquance dans les pays du Maghreb ou d’Afrique. Imagine-t-on un enseignant arabe ou un policier noir raser les murs face à un élève rebelle ou un délinquant ? Impensable ! Et aucun jeune ne s’y risquerait, connaissant la réponse plus que dissuasive.
Par conséquent, les solutions existent, exigeant courage et volonté politique. Il faudra bien y venir. En Israël, les 25 % d’Arabes israéliens n’imposent pas leur loi. Ce qui prouve que la cause essentielle de la dislocation de la société française, c’est la faiblesse de la République. Les Français veulent un pouvoir fort et ils ont raison.
Car si les communautés refusent obstinément de partager un avenir commun, autant dire que le « face-à-face » prédit par Gérard Collomb en quittant la place Beauvau, aura toutes les chances de devenir réalité, pour le plus grand malheur de notre pays.
Dans l’isoloir, répétons-le une dernière fois, il sera donc impératif pour chaque patriote, de mettre un terme aux délires mondialistes de Macron. Un sursaut salvateur vital avant le naufrage définitif du pays de nos ancêtres. Un vote existentiel.