En passant sous le radar le décès de Lise Payette, la Fédération des femmes du Québec (FFQ) vient d’entacher profondément les lettres de noblesse que lui avait conférées avec détermination et conviction Mme Thérèse Casgrain lors de sa fondation en 1966.
Au chapitre de la mission de la FFQ, il est écrit : « La Fédération des femmes du Québec est une organisation féministe autonome qui travaille à la transformation et à l’élimination des rapports sociaux de sexe et des rapports de domination dans toutes les sphères de la vie, en vue de favoriser le développement de la pleine autonomie de toutes les femmes et la reconnaissance véritable de l’ensemble de leur contribution à la société. »
Or, aujourd’hui dirigée par une transgenre, Gabrielle Bouchard, la FFQ a fait des femmes marginales sa priorité absolue, à tel point qu’une femme « ordinaire » se retrouve remisée dans le tiroir aux oubliettes, tel du menu fretin.
Lise Payette a œuvré toute sa vie d’adulte pour la défense et la promotion de l’égalité entre les hommes et les femmes du Québec. Le fait d’avoir omis de signaler sa contribution exceptionnelle à l’émancipation des femmes, à l’occasion de son décès, bafoue bassement la mémoire de ses fondatrices… Un mépris scandaleux envers une grande dame du Québec!
Pour connaître davantage les dessous de l’histoire…
https://vigile.quebec/articles/trop-blanche-lise-payette
La réaction de la FFQ…une semaine après le décès de Mme Payette
Henri Marineau, Québec
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