Guy Fournier, l'un des protagonistes majeurs de notre télévision depuis plus de 50 ans, et ex-président du c.a. de la Société Radio-Canada, a défendu un point de vue qui rejoint sans doute celui de la grande majorité d'entre nous, en affirmant sans détour que les téléséries québécoises sont devenues trop inclusives.
Il écrit: "Quand je regarde notre télévision, en particulier celle de Radio-Canada, je trouve que les gens comme vous et moi cèdent graduellement la place à des personnages marginaux et à des histoires qui sont le lot d’une minorité plutôt que le lot de la majorité, plus silencieuse que jamais."
Et d'ajouter: "J'en viens à croire que les "droits" de la majorité sont souvent bafoués au profit de ceux des diverses minorités."
Il observe avec la sagacité qu'on lui connaît: "La mode, la parité, l’obligation plus ou moins avouée de mettre en scène des personnages marginaux ou issus d’une minorité conduisent nos créateurs dans un cul-de-sac. Quoique d’un autre ordre, ces contraintes sont aussi stérilisantes que celles qu’imposent à leurs artistes les pays totalitaires."
Radio-Canada en particulier est coupable de telles exagérations et distorsions de la société québécoise. Rappelons qu'ils sont contraints par leur mandat de promouvoir à tout prix la multiculturalisation du Canada et plus spécifiquement celle du Québec, dans le but évident d'ébranler et d'altérer sa démographie naturelle.
On cherche à imposer par la force une vision de société incompatible avec la pérennité de l'identité québécoise historique.
Force nous est de constater que plusieurs des téléséries récentes nous représentent de moins en moins et ce n'est pas une bonne chose.
C'est là le mandat fédéraliste dans toute sa laideur qui cible la population de souche et vise à la faire diminuer jusqu'à néant, submergée qu'elle sera un jour par l'afflux étranger qui fera disparaître toute trace de son identité collective, si on les laisse faire.
Les auteurs et scénaristes qui acceptent ce chantage, cette contrainte, cette obligation, pour sauver leur emploi, tombent dans le panneau. Ils se montrent coupables de soumission aux pires diktats fédéralistes et devraient être décriés sur la place publique pour leurs positions anti-québécoises, tout comme les artistes chinois qui acceptaient bassement de subvertir leur art aux louanges de Mao le sanguinaire et à la glorification du communisme chinois.
C'est une attaque de propagande en règle où on fait feu de tout bois.
Tout cela mis en oeuvre pour faire rétrécir, diminuer, céder à d'autres la place qui nous revient.
Mais refusons catégoriquement de baisser les bras et continuons de défendre énergiquement notre identité nationale québécoise des attaques diversitaires et migratoires destructrices.
Référence: http://www.journaldemontreal.com/2018/04/10/sophie-lorain-ne-pouvait-mieux-dire
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