Voilà vengé l’affront que le président Hollande avait fait au président Poutine en annulant la commande de ces deux porte-hélicoptères Mistral qui auront, en fin de compte, coûté à la France quelques milliards d’euros. Mais, il est vrai qu’en bon socialiste, l’argent ne compte pas, et c’est tout juste s’il a une odeur. L’Inde souveraine a décidé d’annuler l’achat de 126 Rafale commandés à grand renfort de publicité et de promotion élyséenne. 18 milliards d’euros qui tombent à l’eau. Et quel est l’heureux élu : Vladimir Poutine, l’ennemi juré de notre mal-aimé Président qui sera très heureux de livrer 128 avions de combat made in Russia.
Faut-il voir dans son annulation la main mystérieuse du Kremlin ? Notre ami Manuel Gomez avait déjà évoqué la possibilité de ce désastre politico-économique. Politique, car c’est bien entendu la politique désastreuse du Quai d’Orsay et le non-sens de la politique ukrainienne de François Hollande qui est en cause. Économique, car en dehors du contrat du siècle, comme l’avait dénommé Dassault, de la perte financière subie par l’avionneur et les 500 entreprises qui auraient travaillé sur ces avions de combat, la politique absurde anti-russe de Hollande, ce sont des centaines de millions d’euros que les agriculteurs français ne toucheront jamais à cause de l’embargo imposé par l’Élysée.
Ainsi ces Rafale devenus mirages ne font que creuser un peu plus le puits sans fond des bêtises gouvernementales. Une incompétence qui entraîne la France dans ce puits qu’il faudra des décennies pour boucher. Car que ce soit l’islam, dont on voit tous les jours les problèmes qu’il pose (cette immigration exponentielle), que ce soit l’incroyable déstabilisation de notre justice qu’il faudra bien un jour balayer de toutes ses « taubir-âneries », les chiffres du chômage qui atteignent des sommets, cette politique sociale et économique qui nous enterre, cette dette qui, tous les jours, s’aggrave de 460 millions d’euros et nous mène inexorablement à la faillite façon grecque, et j’en passe, le Président par intérim et par défaut n’aura agi que contre le bien de la France.
Hollande et son gouvernement n’auront été, somme toute, qu’un gigantesque mirage. Le temps d’une trop longue rafale…
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