Le premier ministre anglais pourrait expulser certains musulmans qui refusent de s'intégrer

À tous les pays occidentaux d'emboîter le pas

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Tribune libre

Le premier ministre anglais M. David Cameron a exprimé officiellement l'idée qu'il faudrait peut-être recourir à l'expulsion de certains membres de la communauté musulmane qui refusent de s'intégrer.
Il affirme sans ambages cette mise en garde: les musulmanes qui ne maîtrisent pas suffisamment l'anglais pourraient être expulsées du Royaume-Uni.
Il s'explique. Selon M. Cameron, 190 000 musulmanes (22 %), dont beaucoup vivent au Royaume-Uni depuis des décennies, parlent peu ou pas du tout l'anglais. «Il n'est donc pas étonnant que 60 % des femmes d'origine pakistanaise ou bangladaise soient économiquement inactives», a-t-il ajouté.
Imaginez la même situation à Montréal: 100 000 musulmanes ne parlant pas notre langue, évitant tout contact, même visuel, avec les gens d'ici, soumises comme des esclaves aux hommes de la maison en position d'autorité: mari, père, frère, tous dominateurs et maîtres, qui les mènent par le bout du voile.
La mesure astucieuse proposée par M. Cameron vise efficacement autant les mâles dominateurs musulmans par personne interposée. En effet, les mâles du clan n'auraient pas le choix de retourner dans leur pays avec leurs femmes pour continuer leur mode de vie aux valeurs rejetées d'emblée par l'occident évolué.
Quel poids grandissant pour la société, quelle plaie incurable qui ne peut se refermer. La société régresse proportionnellement au répandage malaisant de leur mentalité régressive. Demandez-le à n'importe qui ce qu'il en pense. Regardez simplement autour de vous.
Calculez maintenant le coût en argent de toute cette dépendance ruineuse à tous les services gouvernementaux dont ils sont friands, auxquels ils deviennent accros à vie. Il y a de quoi faire réfléchir, et c'est ce qu'a osé faire le premier ministre anglais. Il fallait réellement que la situation soit devenue intenable.
Pour qu'un premier ministre du calibre de M. Cameron ait le courage d'exprimer une telle idée sujette à controverse, il faut vraiment que la situation se soit détériorée de façon drastique au cours des dernières années au point de devenir intolérable.
On constate plusieurs faits troublants révélés par l'étude:
- l'intention d'intégration à peu près nulle de certaines communautés. La résistance au changement est totale.
- les programmes d'intégration ne donnent à peu près rien. Le communautarisme triomphe.
- la capacité d'intégration est réduite à néant une fois l'âge adulte atteint
- certains immigrants n'ont aucun scrupule de dépendre à vie des généreux programmes sociaux
- l'évolution attendue de la mentalité une fois établis en occident ne se fait tout simplement pas
- le non-apprentissage de la langue doit être interprété comme n'étant rien d'autre qu'un refus d'intégration, un refus de connaître puis d'adopter les valeurs de la société d'accueil, une façon de rester emmuré dans son endoctrinement religieux, que ce soit par décision personnelle ou imposée par les mâles dominateurs
- les immigrants refusent de reconnaître leur propre responsabilité dans leur incapacité à s'intégrer sur le marché du travail en rejetant la faute sur la société d'accueil
- les femmes musulmanes ne sont d'aucun avantage économique à la société, et ont la mentalité profonde qu'il est mal d'y prendre part selon leur religion infériorisante
La seule solution pratique au problème qui reste est proposée expressément par le premier ministre Cameron. Et nul doute que la majorité des Québécois seront parfaitement d'accord avec lui.
Faut-il rappeler un fait pourtant simple à comprendre: nous ne devons rien aux immigrants inadéquats ou inutiles à la société. On ne s'est jamais engagé à subvenir à vie à tous leurs besoins. Cela serait le comble du ridicule et de l'illogisme. Par conséquent, s'ils ne remplissent pas leur part du contrat, il devient nécessaire qu'ils retournent chez eux reprendre ce qu'ils faisaient là-bas.
Pour qu'un premier ministre européen influent se voit forcé de faire de telles déclarations, même au risque de l’opprobre bien-pensante, il faut vraiment que la situation se soit dégradée à un point critique.
Faisons des pressions sur nos élus pour emboîter le pas et corriger une situation qui ébrèche le bien-vivre ensemble en portant atteinte à notre identité collective, de manière voilée mais aussi néfaste à la longue que tout attentat.
Source: http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/monde/201601/18/01-4941234-royaume-uni-musulmanes-menacees-dexpulsion-si-elles-ne-parlent-pas-anglais.php

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Réjean Labrie880 articles

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Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.

Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.

Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.

L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.

Près de 900 articles publiés en ligne ont été lus un million et demi de fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période dépassant 15 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.





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1 commentaire

  • Archives de Vigile Répondre

    21 mai 2016

    Enfin, un qui commence à comprendre. Maintenant il reste juste qu'il agisse et ça c'est pour quand ?