Il est instructif de faire une recherche sur la toile internet avec les mots " Thomas Mulcair et Allicance Québec ". Voici quelques informations trouvées qui parlent d’elles-mêmes : Alliance Québec « a cessé ses activités en 2005 lorsque le ministère du Patrimoine canadien a mis fin à ses subventions, qui comptaient pour 90 % de son financement.
Thomas Mulcair fut son directeur des affaires juridiques de 1983 à 1985. »
Ainsi, Alliance Québec, subventionnée à la auteur de 90% par le Gouvernement fédéral, était ni plus ni moins qu’un agent du Gouvernement fédéral en terre québécoise.
De plus, Thomas Mulcair était un ouvrier actif contre les lois québécoises faisant la promotion de la langue anglaise dans l’affichage et dans les écoles. Qu’on pense au phénomène des "écoles passerelles" qui ouvraient l’école publique anglaise pour eux et pour les parents, frères et soeurs, à des Québécois qui refusaient l’intégration sociale via l’école publique de langue française. Ces ayants droits aujourd’hui sont des membres actifs de la colonie anglaise du Québec au lieu de s’être intégrés à la culture française du Québec.
Thomas Mulcair est une canadien qui ne mérite pas une seconde la confiance des Québécois qui voient l’érosion constante de la culture québécoise française au Québec en 2015.
Les canadiens-anglais du Québec ne tolèrent pas l’épanouissement et la progression de la culture québécoise française en terre québécoise. Les canadiens-anglais et les anglophiles du Québec se sentent fragilisés par une expression fière et courageuse des Québécois "pures laines" et des Néo-Québécois.
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1 commentaire
Marcel Haché Répondre
14 octobre 2015La carrière politique de Thomas Mulcair, c’est la carrière d’un activiste canadian anti-Québec.
Était parmi ceux qui avaient excité et monté l’opinion publique des anglo-québécois contre le gouvernement « separatist » de René Lévesque. Était là, à Alliance-Québec, lors de la tuerie perpétrée par l’agité caporal (Lortie) à l’Assemblée Nationale en 1984. Était là, à Alliance-Québec, lors de l’incendie criminel de ses locaux en 1985.
Mulcair ne serait jamais devenu député du P.L.Q. en 2003 si ce parti n’avait pas déjà été pris en main par les activistes du parti Égalité et par les entrepreneux » de St-Léonard, canadians et corrompus. On oublie trop facilement que Jean Charest fut déjà le chef des progressistes-conservateurs à Ottawa. C’est la venue de ce dernier au P.L.Q. qui a ouvert la porte à Thomas Mulcair dans le comté le plus anti-Nous de tout le Québec. C’est depuis cette prise en charge par les jaunes du West Island, c’est depuis ce temps-là que le P.L.Q. est devenu lui-même un parti de jaunes.
Ce n’est pas un hasard que la « maison » Radio-Canada porte maintenant Thomas Mulcair à bout de bras. Ce n’est pas un hasard non plus que cette « maison » de jaunes porte aussi Justin Trudeau. Radio Canada connait son mandat…et craint pour ses budgets, d’où sa hargne anti-Harper.
Le West Island ne sait pas seulement reconnaître les « separatists » là où il y en a, il sait reconnaître ses fils. Mulcair en est un.