GUERRE CULTURELLE

La révolution culturelle anti-Blancs gagne le Québec

MacDonald n'a pas été déboulonné car il était Anglais, mais parce qu'il était Blanc

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Chronique d'Alexandre Cormier-Denis

La révolution culturelle anti-Blancs est en marche.


La police de Montréal doit reprendre ses esprits et mettre au pas cette extrême-gauche racialiste qui impose son idéologie totalitaire et révisionniste par la violence politique.


Les souverainistes qui croient voir en ces gens des alliés sont des aveugles restés dans l’imaginaire anticolonial désuet des années 1970. Ils ne comprennent absolument rien à ce qui se passe sous leurs yeux.


MacDonald n’est pas attaqué car il est « Anglais », mais parce qu’il est occidental, d’origine européenne et donc, au fond, Blanc.


Après lui, viendra le tour de Cartier, Champlain, Maisonneuve, Jeanne Mance, Iberville, Montcalm, Mercier, Duplessis et même ce pauvre Lévesque qui se sentait solidaire du tiers-monde.


La lutte « décoloniale » vise à expurger toute la mémoire blanche, et donc canadienne-française dans le cas du Québec, de l’espace public afin de créer une société utopique « post-raciale » – la bonne blague – où les Blancs devront raser les murs en s’excusant de leur passé jugé comme ontologiquement honteux, criminel et génocidaire.


Plus que jamais, nous voyons que l’antiracisme, nom de code du racisme anti-Blanc, est véritablement le communisme du XXIe siècle.


Par ailleurs, si les néo-bolcheviques de la race peuvent déboulonner une statue qu’ils n’aiment pas en plein après-midi, les nationalistes de Droite peuvent-ils, eux aussi, détruire impunément la statue du communiste anglo-canadien Norman Bethune, défenseur du régime totalitaire maoïste ?


Ce n’est pas la diminution des budgets de la police qu’il faut opérer, mais au contraire une défense du travail des policiers qui demeurent les gardiens de l’ordre devant le chaos et l’anarchie que ces fanatiques de la race ne manqueraient pas de répandre s’ils en avaient la possibilité.


Les minorités ethniques ne forment que 33% de la population montréalaise. Je vous laisse imaginer ce qui se produira lorsqu’elles seront majoritaires.



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