L'Université du Québec à Montréal (UQAM) a été créée dans la foulée des événements de Mai 68 et plusieurs de ses départements portent la marque indélébile d'une idéologie gauchiste qui refuse d'évoluer. Comme un adolescent, un noyau dur de professeurs et d'employés s'accroche à cette période de l'histoire révolue. Refusant de tourner la page, cette poignée de gauchistes s'acharne à perpétuer le mythe d'une lutte des classes qui n'a rien à voir avec l'enseignement universitaire. C'est ainsi qu'une portion des étudiants, sans oublier toute une flopée d'activistes qui ne sont même pas inscrits à l'université, se font dûment endoctriner afin de jouer leur rôle d'« idiots utiles ». Ce noyautage de l'UQAM a pris des proportions telles que, durant les violentes émeutes de 2015, l'ancien recteur Robert Proulx a été obligé de faire appel à l'escouade antiémeute du service de police de Montréal pour calmer le jeu. Nous avons pris la décision de mener une première enquête, se déclinant sous la forme de six articles, sur ce dossier afin d'aider nos lecteurs à se faire une idée de l'état des lieux. En espérant que certains interlocuteurs concernés par ces tristes événements oseront nous contacter, un jour ou l'autre. Pour ne pas manquer cette série d'articles, n'hésitez pas à suivre notre journal en cliquant sur ce lien. Nous vous encourageons aussi à diffuser cette page sur les réseaux sociaux afin de nous aider. Sera publié le 12 novembre 2018 : L'UQAM est prise en otage par une nébuleuse Sera publié le 14 novembre 2018 : Quand l'extrême gauche s'invite à l'UQAM Sera publié le 16 novembre 2018 : La sexologie : un outil pour châtrer les jeunes universitaires Sera publié le 19 novembre 2018 : L'extrême gauche se mobilise dans les locaux de l'UQAM Sera publié le 21 novembre 2018 : Une nébuleuse d'organismes violents prêts à semer la pagaille Sera publié le 23 novembre 2018 : L'extrême gauche semble être protégée par la direction de l'UQAM
Notre équipe a mené une enquête sur l'infiltration des institutions d'enseignement par des groupuscules violents.
La grève des carrés rouges a permis à l'extrême gauche de parasiter la vie étudiante d'une université sans direction forte.
Des activistes au département de sexologie de l'UQAM ont développé un projet visant à « rééduquer » les milléniaux.
La Riposte socialiste a inauguré une conférence-discussion intitulée COMMENT COMBATTRE LA CAQ ?
La cellule « Force Étudiante Critique » a tenté de perpétrer un attentat dans le métro de Montréal au début de mai 2012.
Plusieurs pistes indiquent que les rouages administratifs et le corps enseignant encouragent cette infiltration généralisée.
L'UQAM prise en otage par l'extrême gauche
L'université québécoise prise en otage par une gauche radicale violente et sectaire
Patrice-Hans Perrier181 articles
Patrice-Hans Perrier est un journaliste indépendant qui s’est penché sur les Affaires municipales et le développement urbain durant une bonne quinzaine d’années. De fil en aiguille, il a acquis une maîtr...
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Patrice-Hans Perrier est un journaliste indépendant qui s’est penché sur les Affaires municipales et le développement urbain durant une bonne quinzaine d’années. De fil en aiguille, il a acquis une maîtrise fine de l’analyse critique et un style littéraire qui se bonifie avec le temps. Disciple des penseurs de la lucidité – à l’instar des Guy Debord ou Hannah Arendt – Perrier se passionne pour l’éthique et tout ce qui concerne la culture étudiée de manière non-réductionniste. Dénonçant le marxisme culturel et ses avatars, Patrice-Hans Perrier s’attaque à produire une critique qui ambitionne de stimuler la pensée critique de ses lecteurs. Passant du journalisme à l’analyse critique, l’auteur québécois fourbit ses armes avant de passer au genre littéraire. De nouvelles avenues s’ouvriront bientôt et, d’ici là, vous pouvez le retrouver sur son propre site : patricehansperrier.wordpress.com