Les médias ainsi que les autorités médicales et politiques font grand état de l'épidémie possible du virus de l'EBOLA en Amérique du nord. On peut comprendre que les voyageurs en provenance du Libéria, on le ferait à moins, font l'objet d'une surveillance peu commune afin d'enrayer immédiatement la possibilité que ce virus se répande. Mais de l'autre côté, ici chez nous, dans nos hôpitaux, il meurt beaucoup plus de gens qui contractent la bactérie C difficile ( clostridium difficile ). Personne ne parle de cela sauf les familles dont les proches sont touchés. La malpropreté de nos hôpitaux et l'incapacité des administrations à gérer ce problème majeur persistent dans le silence et l'aveuglément le plus total; on frise l'indifférence. L'administration dans le milieu hospitalier est-elle uniquement symbolique? Le ministère de la Santé ainsi que les directeurs d'hôpitaux sauront-ils un jour éradiquer ou enrayer ce mal? Pour l'instant, le discours demeure silencieux. Je deviens donc politico-sceptique face à leur action, le silence n'est pas toujours une vertu!
L'EBOLA ou le clostridium difficile?
Vise-t-on la bonne cible?
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