À l'époque où la Convention de Genève sur les demandeurs d'asile a été adoptée, son objectif premier était de permettre de sauver quelques dissidents des régimes totalitaires, quelques défenseurs en vue de la démocratie, quelques réfugiés politiques reconnus comme Soljenitsyne. Elle ne devait servir au plus que pour quelques dizaines de personnes par année dans le monde entier.
Ci-dessus: signature de la Convention de Genève en 1951. Pétris de bonnes intentions, on ne se doutait pas de quelles arnaques et abus elle deviendrait l'outil privilégié.
Cette convention n'a jamais été conçue pour devenir un moyen détourné de passer à l'Occident pour des millions de profiteurs pour qui il est trop facile de se faire passer faussement pour des persécutés. Ce sont là des exploiteurs condamnables du système.
3 solutions expéditives s'offrent à nous
1- La solution est simple: que le Canada se retire tout simplement de cette Convention abusive.
Tous les pays ont le droit de se retirer de conventions ou d'organisations internationales qui tournent à leur désavantage. Cela se fait couramment. De nombreux exemples sont consignés.
Par exemple, lorsque l'accord du libre-échange s'est retourné contre les États-Unis, ils s'en sont retirés. La Grande-Bretagne en a eu assez de l'Union européenne, elle a réalisé le Brexit.
Et peu importe si quelqu'un s'en plaint, on s'en fiche!
Aucun autre pays ne peut avoir d'autorité sur notre pays souverain, aucune organisation mondiale ne peut avoir d'emprise sur la volonté nationale. Nous sommes libres de prendre ou rompre toutes nos décisions et associations, lorsqu'il y va de l'intérêt supérieur de la nation. Et lorsqu'on se rend compte qu'on s'est fait avoir, on débarque!
Le gouvernement canadien pourra même alléguer qu'il a fait largement sa part en ce domaine et que le nombre de ces pseudo-réfugiés entrés illégalement au pays compte pour les 50 prochaines années.
La population n'en veut plus. La population n'en peut plus. Il faut respecter la volonté démocratique de la nation qui n'a que faire des pressions internationales.
2- Une alternative temporaire en attendant le retrait unilatéral de la Convention de Genève: établir des quotas annuels de demandes à étudier. On pourrait les fixer à 100 par année. Cela permettrait de colmater les brèches des passoires que sont devenus les aéroports canadiens.
3- Exiger un visa. Lorsqu'il fallait un visa aux Mexicains pour être admis à la frontière, il y en avait 1 000 par année. Depuis que Justin Trudeau a mis fin à cette exigence, 25 000 Mexicains atterrissent chez nous par année en se faisant frauduleusement passer pour des persécutés. Exigeons un visa pour tous les pays.
Le Canada doit envoyer un message clair que nous ne voulons plus de faux demandeurs d'asile illégaux donc malhonnêtes, et qu'ils seront tout simplement refusés à l'entrée.
Ils sont des millions et des millions à travers tous les pays de misère à reluquer notre pays et son généreux filet social si alléchant. Il faut les repousser systématiquement.
Au nom de la protection de notre intégrité territoriale, prenons les grands moyens pour que tous ceux qui ont déjà réussi à entrer au pays par tous les subterfuges et entourloupettes frauduleuses imaginables soient renvoyés chez eux dans les mois ou les semaines qui suivent.
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