Le peuple qui n’arrive pas à sauvegarder l’intégrité de son territoire national sera forcé, tôt ou tard, à s’expatrier dans son propre espace géographique.
Deux faits réels de la politique au Québec : laisser faire la mafia institutionnalisée vouée à la totale dénationalisation de l’État québécois ou choisir le PQ pour réaliser la plus grande convergence nationaliste menant à l’indépendance nationale.
Cette dernière phrase extraite de l’article Choisir - le PQ ou la mafia institutionnalisée se référant directement au gouvernement de Jean Charest, empruntant le qualificatif de mafia institutionnalisée visait à dénoncer publiquement la corruption caractérisée par cette horde de mercenaires politiques voués à dénationaliser le plus possible l’État québécois. Qui peut douter aujourd’hui que Jean Charest soit le personnage clef, le plus efficient et discipliné pour faire le travail commandé par les groupes d’intérêts anti Canadiens français.
Une autre ingénierie politico-économico-financière faisant perdre le contrôle du territoire national
Voici une autre expropriation illégale consentie par le gouvernement de Jean Charest allant contre le secteur agricole québécois et par conséquent, contre l’ensemble de l’économie du Québec, confirmant une fois de plus le travail de ce personnage pervers :
« Une requête en nullité pilotée par l'avocat Guy Bertrand vient d'être déposée au nom des propriétaires agricoles et forestiers. Mais le temps presse pour ces citoyens car Ultramar aura le droit de procéder à la construction de son oléoduc d'ici quelques semaines, en septembre. Déjà, une vingtaine d'avis d'expropriation ont été envoyés à des propriétaires ciblés. »(1)
Cette expropriation vise en effet la fragmentation d’un corridor agricole stratégique de plus de 270 km de long, susceptible de rompre l’équilibre d’une zone de haute valeur écologique, favorisant ainsi une société pétrolière qui ne fait que décapitaliser l’économie du Québec en raison des prix oligopolistiques qu’elle pratique. Ce qui explique que la politique des prix appliquée par le secteur pétrolier au Québec n’est que le résultat d’être soumis à un système d’oligopole découlant de la dépendance politique du Québec envers le régime fédéral qui contrôle la fiscalité des prix énergétiques au niveau pancanadien en connivence avec un gouvernement anti-québécois comme l’est le PLQ de Jean Charest.
Cet exemple de discrimination des prix et de dépendance politique servira à démontrer ce fait de la décapitalisation de l’économie du Québec : « En 2007, ce sont les Québécois qui paient le plus cher pour un litre d’essence comparativement aux coûts de production et aux marges de profits normales de l’industrie pétrolière. C’est ce que révèle un rapport du Canadian Center for Policy Alternatives. Selon les données de l’étude, la surcharge des tarifs à la pompe se situe à 15 ¢ à Toronto, 22 ¢ pour Regina, 27 ¢ à Vancouver, 39 ¢ pour Québec et 40 ¢ à Montréal »(2).
Une fois de plus il faut rappeler cette réalité affectant tout particulièrement l’économie comme l’on doit s’attendre puisque les mercenaires de la politique seront toujours nommés à cet effet. Alors, nous devons donc éviter d’élire ces politiciens qui seront toujours les pires ennemis du Québec :
[Les conséquences de toute cette trame d’intérêts privés, de pillages des ressources fiscales et naturelles par des groupes économico-financiers contraires au peuple canadien-français feront que le Québec rétrocédera aux années trente. En d’autres mots, Jean Charest est ce « politicien mercenaire » qui a conquis le Pouvoir pour rendre l’immense patrimoine économique des Québécois aux groupes d’intérêts qui l’ont amené au sommet de l’État. Ainsi, ce transfuge du PCC au PLQ et premier ministre du Québec, par l’imposture qui le caractérise, est le personnage idéal pour faire le travail sale qu’attendent les corsaires des ressources économiques et des finances publiques, comme le prévoient Conrad Black et ses complices au PCC](3).
Jean-Louis Pérez
Vive le Québec libre de caciques, de mercenaires et tricheurs de la politique, de traîtres et de pilleurs des ressources fiscales et naturelles
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1. Pour plus de détails, consulter Pipeline d'Ultramar Lévis-Montréal: les expropriations contestées
http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/energie-et-ressources/201008/29/01-4310777-pipeline-dultramar-levis-montreal-les-expropriations-contestees.php
2. Extrait de l’article Québec : du piège constitutionnel au déclin fiscal. Pour en savoir plus sur ce déclin fiscal, consulter le chapitre Petro-Canada : une ingénierie financière frauduleuse et une privatisation détournée aux dépens du Québec
http://www.vigile.net/Québec-du-piège-constitutionnel-au
3. Dans ce présent texte il y a deux parties de mon article « Lettre ouverte aux irréductibles souverainistes québécois. » La première a été reproduite maintes fois afin de transmettre la portée de l’absence de pouvoir nationaliste. La seconde partie a été modifiée afin de l’adapter à cet autre imposteur qu’est Jean Charest. Pour plus d’information, consulter
http://www.vigile.net/Lettre-ouvert...
L’intégrité du territoire national menacée
Jean Charest et l’expropriation d’Ultramar
Le Parti Québécois ne doit pas permettre cette expropriation sauvage et illégale
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2 commentaires
Archives de Vigile Répondre
30 août 2010L’énergie, cause commune de notre indépendance.
L’énergie, cause commune de notre indépendance. Le projet est lancé par le Parti indépendantiste, mais son application doit être rendue effective, dès la prise du pouvoir politique, par le Parti indépendantiste. En effet, depuis quarante ans, nous n’avons plus poser de gestes significatifs dans ce champs d’activité, pourtant si vital à notre soutient et à notre puissance. Ce cycle amena, tantôt, Hydro-Québec à se comporter comme une entreprise privée, tantôt, à devenir l’instrument énergétique à la solde des régions périphériques, au Québec. Or, parmi les mandats qui échoient au gouvernement du Québec, il y a d’abord celui de conserver l’intégrité et la cohérence du Québec. De cette absolue nécessité, découle le contrôle total de l’énergie et du territoire. Contre ceux qui y voient une source de conflit, nous opposons que les principes populaires n’ont pas à être justifiés et qu’il faut surtout un autre élan salvateur à notre richesse nationale.
C’est à l’échelon national que résident les prérogatives d’État nécessaires à l’accomplissement de ce devoir. Alors, l’élan, tant attendu, s’effectuera par l’organisation cohérente de nos ressources actuelles et par la création de nouvelles ressources. Pour ce faire, commençons déjà à prôner, dans nos milieux respectifs, la création d’un ministère de l’Infrastructure, chapeautant tout ce que nous avons, actuellement. Dans une République québécoise, la structure de l’État sera transformée en faveur d’une plus grande défense du peuple. Afin de tracer sa composition, le ministère de l’Infrastructure regroupera, le ministère des Transports, le ministère des Ressources naturelles, Hydro-Québec, Petro-Québec, l’Agence Spatiale Québécoise, l’Agence Nucléaire Québécoise, la Poste, les Douanes et les Instituts de Recherche. Enfin! Voilà un des pivots de notre République québécoise, indépendante.
Parti indépendantiste -comité national des communications-
www.parti-independantiste.org
http://blogue.parti-independantiste.org/l%e2%80%99energie-cause-commune-de-notre-independance/
Archives de Vigile Répondre
30 août 2010Lorsque tous les truands internationaux seront passés sur ce qui reste du Québec, il ne restera pas grand'chose. Les forestières et les minières ont été les premières.
Nous sommes en train de nous faire déposséder comme les Africains l'ont été et le sont encore. Nous assistons à l'avènement d'un nouvel esclavage: celui du Nouvel Ordre mondial.
Ils sont sans vergogne.
Que dira et fera le PQ ? A-t-il ce genre de préoccupation ou fait-il de la politique à la petite semaine ?...
Question : un gouvernement, sous la pression de multinationales, a-t-il le droit de décider unilatéralement d'exproprier ainsi des fermiers et sans même les prévenir et encore moins les consulter. De coupailler les terres où ça leur plaît. Rappelons-nous Ste-Scholastique pour le four de l'aéroport de Mirabel et du parc Forillon.
Coudonc, nous ne nous appartenons plus et sommes-nous devenus que de la viande à patés pour les truands et les mafieux ?