L'Affaire du gaz naturel, c'était en 1958, et c'était le Devoir qui éveillait les consciences avec les articles d'un certain Pierre Laporte, qui amenèrent l'élection du parti libéral de Jean Lesage et la mise sur pied d'une commission d'enquête qui nous permis de voir les ramifications de certains hommes politiques avec de grandes entreprises gazières notamment, celle du gaz naturel.
Aujourd'hui nous avons le même scénario honteux avec John «ditJean» Charest et Nathalie Normandeau comme chefs de l'orchestre du gaz de schiste, celui qui polluera notre eau, notre paysage géographique et l'air que nous respirons.
Comme le gouvernement de cette époque, le gouvernement «Charest PLQ» du Québec refusera d'agir de crainte d'être perçu comme étant l'outil des sociétés gazières et il a raison car toute l'image que nous avons démontre toutes les accointances qui existent entre Charest, son gouvernement, par la voix de sa ministre de service Normandeau, avec les sociétés gazières.
Et le peuple, qui sait voir, à part les irréductibles de l'ouest de l'île de Montréal et la région de l'Outaouais, rejette ce parti à hauteur de 75%. Mais avant que Jean Charest, Normandeau et Arcand n'aient donné le territoire du Québec à leurs amis, le peuple du Québec ne pourra se permettre d'attendre une prochaine élection générale. Il lui faut bouger immédiatement, avec l'aide de ses syndicats et des sociétés nationales en invitant le peuple à une ou plusieurs journées de grève générale.
C'est seulement à ce prix que ce gouvernement es/scandales bougera peut-être.
N'attendons pas une prochaine élection, comme ce fut la cas en 1958 avec le gaz naturel(élection générale en 1960) car nous risquons que le territoire du Québec soit rempli de puits gaziers es/schistes qui aura déjà commencé à détruire son paysage et à polluer de façon irréparable notre air et l'eau dont nous avons besoin pour vivre.
N'attendons pas que les actions de ce gouvernement aient détruit le Québec pour agir! Déjà que nous payons le prix fort avec les scandales de la construction, celui du financement ds partis politiques et de la nomination partisane des juges.
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