Don Jello Charest
Hier sur les ondes de Radio-Canada on a pu entendre toute l'étendu du discours de John James Charest à l'endroit de la cheffe de l'opposition Pauline Marois. Bien que je ne sois pas un inconditionnel du PQ-Marois je tiens néanmoins à féliciter la dame de béton d’avoir donné son appui à la jeunesse étudiante québécoise.
En l’absence d’ouvertures démocratique de la part de ceux qui sont suposé la représenter c’était le geste intelligent à poser. Un moment de solidarité éclairé, courageux et, somme-toute, très québécois.
En contre partie on a pu voir le mépris et les bassesses de l'employé de service des corporatives de l'endettement et du capital privé qui - ajoutant la parole à l'insulte - nous a donné une excellente leçon de "violence verbale".
Dire à une dame de béton qu’elle a du jello à la place d’une colonne vertébrale est très révélateur de la violence dénoncé par toutes les institutions du savoir. Des mots gratuits, assassins et très représentatifs, placés comme des bidons d'essences dans les oreilles de nos enfants…
Sur la question de hausses de frais de scolarité, j’oserai comparer l’obstination valétudinaire des libéraux de services à ne pas écouter les revendications du peuple à l’obstination maladive des Ben Ali, Kadhafi et autres Moubarak de ce monde.
Qu’est-ce qu’on ne ferait pas pour maintenir au pouvoir un système frauduleux ?: écraser les jeunesses étudiantes québécoises au moyen de l'argent-dette, genre-style, on appuie sur un bouton d’ordinateur et elles nous doivent tant?, en l’accusant de combattre le « Hezbolla » d'un capitalisme retord et socialement déficient ?, un système qui à vendu son âme au crime organisé au non du père-équation, du fisc et des saintes soumissions ?
Je dois vous avouer que le cours accéléré du premier ministre du Québec en matière de "non-violence verbale" est en train de déteindre sur moi: « Don Jello Charest » tout un « prof » et un… un...un…
Sti! Je ne trouve plus les mots!
Nicodème Camarda
19 avril 2012
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2 commentaires
Nicodème Camarda Répondre
20 avril 2012C'est tellement vrai monsieur Haché, obséquieuse est le bon mot, hier, interrogé en onde on l'a bien vu. L'ineptie de cette ministre m'étonnera toujours, sa fermeture d'esprit à l'endroit des revendications étudiantes, sa politique de gestion de grève mériteraient à elles seules la création d'un nouveau personnage de la petite vie. Plus servile et niaise que ça... non...ça ne ce peut pas !
Monsieur Haché je suis convaincu que le sentiment du peuple québécois, sa réalité, sa distinction, sa spécificité vont finir par rejaillir au grand jour. Cette grève, ce mouvement étudiant en est l'indice heureux.. Préparez le champagne monsieur Haché, l'intelligence collective vient de faire un grand pas, l'indépendance est désormais inévitable, elle est en marche...
Marcel Haché Répondre
19 avril 2012Toute légitimité éteinte, que reste-t-il d’autre à tous ces libéraux-jello que la légalité la plus obséquieuse ? Avez-vous déjà vu plus obséquieux que Line Beauchamp ?
Vous avez renversé de la peinture rouge ? Vous sombrez dans la violence ? Mais demain ces maudits jello-libéraux vont accuser leurs adversaires de violence du simple fait d’avoir été regardés de travers ! Et tous les porteurs de carrés rouges pourront être associés « aux troubles », à commencer par Pauline Marois, bien évidemment.
Finirons-Nous un jour par Nous débarrasser d’eux, cette gang de jello, à commencer par ceux-là et surtout celle-là longtemps placée en retrait par Charest, Line Beauchamp pour la nommer, qui se révèle maintenant pour ce qu’elle était déjà : copain-copain avec tout ce qui Nous est étranger à Montréal-Nord et à Rivière-des Prairies, maintenant étrangère à tout bon sens quand il s’agit des nôtres.