La secte (2/7)

Dépersonnalisation tranquille

Est-ce le fruit de l’asservissement au néo-paganisme colonial?

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Chronique de Marc Huber

La secte de Solstice d’été entretient des relations étroites avec des symboles hérités de la tradition celtique. Chaque pays fait de même en s’attachant à des symboles qui rappellent des évènements importants, des victoires et des conquêtes. L’engouement diffère par contre selon les allégeances nationales.  Chez les pays du nord de l’Europe, il y a généralement une forte propension à exposer leurs icônes. Cette aptitude s’explique par un nationalisme fortement enraciné, mais aussi par cette croyance, très ancrée dans le monde anglo-saxon, que les symboles sont des outils d’assujettissements. Ainsi, si l’on ne contrôle pas un lieu, on peut au moins s’assurer de signaler sa présence, en espérant que cela va faciliter de futures conquêtes.


Avant la fin des années 50, la plupart des emblèmes attribués au Québec étaient ceux de l’Église catholique ou du conquérant britannique. Avec la Révolution tranquille, plusieurs symboles typiquement québécois sont apparus. Je pense ici à Hydro Québec, CFTM (TVA), les collèges (CÉGEP), le Parti Québécois (PQ) et de nombreux créateurs. Ces personnes, produits, images, entreprises, bâtiments et œuvres artistiques qui nourrissent notre sentiment d’appartenance et notre fierté. Ce passage obligé pour mettre en place une structure sociale, industrielle, culturelle et politique qui permettait d’accéder à l’indépendance du Québec.


Ce fut aussi l’époque de la plus grande opération de SÉDUCTION du Canada, en réponse à la montée du mouvement nationaliste.  Oubliez les fleurs, les papillons et les champignons qui font rire. L’exemple le plus marquant fut l’Expo 67 honorant le centenaire de la Confédération canadienne. Une monumentale fête estivale remplie de fleurs qui a précédé une intervention militaire, en octobre 1970, qui a placé le Québec sous la Loi des mesures de guerre, par le soutien de Pierre Elliott Trudeau (1919-2000).  L’exemple parfait de DIVISIONS et d’INTOLÉRANCES faisant suite à la séduction. Par la suite, la secte malveillante (Canada) s’est mise au service d’opérations de charmes qui se sont manifestées lors des deux référendums sur la souveraineté. En mai 1980, Pierre Elliott Trudeau a tenté d’enjôler de nombreux électeurs en inversant le sens du vote. Ainsi, ceux qui votaient NON à la souveraineté du Québec votaient OUI au changement. Après quoi, le même Trudeau négocia le rapatriement de la Constitution canadienne, un évènement sanctionné le 17 avril 1982 par la reine Élisabeth II, sans la signature du Québec. Par la suite, le 27 octobre 1995, ce fut la Marche pour l’unité (Love-in) pour nous dire que le Canada anglais nous aimait. Depuis ce temps, nous sommes incapables de savoir si l’amour du Canada anglais se compare à celle d’un matou pour un mulot frais et saignant, puisque le Québec est de plus en plus victime d’une haine tribale qui fait ressembler le Canada à une secte de cannibales.  


La dépersonnalisation tranquille


Aujourd’hui, le Québec vit une dépersonnalisation tranquille. Et s’il advenait, que le débordement amoureux du Canada puisse le transformer en saucisses Maple Leaf, les risques de représailles seraient minimes. Les raisons sont nombreuses. Cela comprend une diminution du poids démographique du Québec face au Canada qui rend la Belle province moins séduisante pour les politiciens canadiens. Ajoutons l’anglicisation du grand Montréal qui permet à des membres de la Fraternité des Elvis Graton (FEG) de répéter des Bonjour-Hi comme un mantra, pour afficher leur dévotion à la secte. Mais encore, notre langue et notre culture s’effacent pendant que nous nous départissions de nos symboles nationaux et identitaires. Lentement, sans douleur et sans larmes, la politique devient un outil de soumission, plus précisément les formations qui sont au service de la FEG. 


Nous n’avons qu’à penser au très long règne du Parti libéral du Québec (PLQ) qui s’est terminé sous l’égide du gourou Couillard. Celui qui fut nommé au Conseil privé de la reine le 21 juin 2010, tel que commenté par Benoît Perron (1958-2015), lors de l’émission Zone de résistance du 25 mars 2014[1]. Ce premier ministre qui était là, la tête baissée, pour accuser les Québécois d’intolérance. Celui dont le bon gouvernement a répondu aux grognements contre SLĀV de Robert Lepage, par une révision de l’aide aux artistes en fonctions de l’identité raciale qui précéda la peste. Celui qui a fermé les yeux sur l’anglicisation du Québec. Ce même PLQ qui a laissé flotter des drapeaux du Québec dégradés et déchirés devant des édifices gouvernementaux, dont ceux de la SAQ, alors que les symboles de l’économie et de la fiabilité sont devenus des hontes nationales. Des activités de Bombardier sont parties vers des investisseurs étrangers, le destin de SNC-Lavalin est maintenant incertain et Hydro Québec a perdu de sa crédibilité par des surfacturations et la gestion des compteurs numériques. Sans oublier les Caisses populaires Desjardins, qui sont victimes d’une affaire de fraude informatique.


Bien qu’avec l’élection de la Coalition avenir Québec (CAQ), le premier octobre 2018, les têtes se lèvent et le ton monte, des symboles de la nation continuent de s’effacer. Ainsi, en septembre dernier j’apprenais que la maison de la famille Paquet construite en 1698, près de 50 ans avant l’invasion de la Nouvelle-France par les troupes britanniques, est sur le point d’être détruite. En novembre 2018, le domicile du Patriote René Boileau fut démoli par la ville de Chambly. Mais encore, jusqu’en novembre 2018, Montréal refusait de se conformer à la Loi sur les drapeaux de 1999 qui exige la présence du fleurdelisé à l’Hôtel de Ville.


Anglosphère


À qui profite cet effacement? Nos emblèmes sont remplacés majoritairement par ceux de l’anglosphère. La CAQ a décidé de respecter la promesse du PLQ de donner à l’Université McGill des terrains du Mont royal et l’ancien hôpital Royal Victoria, des symboles patrimoniaux. Pendant ce temps, des nombrils agissent en tant que gardiens de l’anglosphère. Là pour critiquer la grandeur excessive du drapeau du Québec, lors d’un rassemblement de la CAQ. Avec la pandémie, ça continue. Alors qu’on nous dit que «ça va bien aller», des regroupements culturels, sportifs, politiques, familiaux et idéologiques s’effacent, au profit d’entreprises étasuniennes qui gèrent les réseaux virtuels et les conglomérats corporatistes qui analysent toutes les traces, pour mieux prévoir les tendances et intervenir sur ces dernières. On nous force à entrer dans la société sans argent liquide qui offre des opportunités de fraudes informatiques, de récoltes des données et de risques d’un chaos social lors de pannes électriques.


Devrions-nous refuser de jouer à ce jeu? La conquête s’exerce au quotidien. Les symboles sont ici et en les acceptant nous devenons des simples anglocitoyens. Des âmes souvent bonnes et gentilles, fréquentables, volubiles et sympathiques, qui vibrent au diapason de l’anglosphère. C’est ainsi que des journalistes peuvent commenter les problèmes d’intégrations des immigrants, alors qu’ils travaillent pour des médias qui font la promotion presque exclusive de la culture anglophone, comme s’il fallait provoquer un dégoût du NOUS chez les migrants qui n’ont pas la tempérance pour écouter des nombrils chanter le vide. Mais encore, je veux bien qu’on fasse les éloges du fédéralisme et du beau Canada, à la condition qu’on puisse ajouter qu’un peu avant le règne du COVID-19, le contenu culturel francophone était presque inexistant au Canada anglais, à un moment où il s’effaçait du paysage québécois. Qu’à la même époque, Montréal était le lieu sacré servant à étendre les dogmes de la secte vers les régions du Québec, pour nous farcir de rituels d’accompagnement et nous faire accepter que les symboles d’appartenance nationale soient des accessoires qu’on peut échanger, vendre, émousser ou dénaturer, après avoir joué ce jeu avec l’Histoire et la langue.


Les runes


Une fois que nous comprenons le lien entre la fierté d’un peuple et ses symboles, nous avons le choix de nous tenir debout ou de nous faire dire  que «ça va bien aller», en nous laissant prendre au piège du mensonge. Nous sommes asservis à l’anglosphère au point de nous faire appâter par ses symboles les plus inquiétants. J’explique. Nous adoptons les insignes de l’alphabet celtique qui sont utilisés par la secte de Solstice d’été. Plus précisément des runes qui ont accompagné la Révolution tranquille.


Je fais référence au sigle de l’Expo 67 (1967)  qui se compose de 16 lettres évoquant «l’homme». Il s’agit de la rune Alzig qui se regroupe autour d’un cercle associé à la Terre. Une idée de son créateur Julien Hébert (1917-1997), symbolisant la «Terre des hommes». En 1963, ce lien entre la rune et le logo de l’Expo 67 était connu par l’auteur, alors que le Parlement canadien était incapable de faire le rapprochement, si nous faisons exception des députés Gerald A. Regan et Louis-Joseph Pigeon.  Regan voyait dans l’effigie de l’Expo 67 un «symbole beatnik», tandis que Pigeon trouvait qu’il ressemblait «étrangement à l’insigne qu’affiche un certain mouvement qui milite contre les armements nucléaires». Bref, ce logo divise profondément le Parlement en plus de séparer notre monde en deux clans. Alors que l’Homme (Alzig) apparaît en haut du cercle à midi, à six heures le même homme est inversé de 180 degrés. Il s’agit de la rune Yr qui, dans L’Europe païenne (1980) de Marc de Smeth, est associée à l’humain INVERSÉ et à la MORT.


Dans Solstice d’été, Avi Aster rappelle ce double sens de la lettre Yr en renversant de 180 degrés les images de la route suédoise qui mène à la secte, pour reproduite, ce que nous verrions, si nous avions la TÊTE EN BAS. Un jeu de caméra qui suggère que les cinq amis roulent vers la mort. Mais encore, en découvrant que la voiture arrête dans une nature splendide évoquant les années 60, par l’ajout de fleurs et de champignons magiques, je me permets d’ajouter que ces images associent la mort et l’inversion aux années de notre Révolution tranquille et à celles de profonds changements qui ont marqué la planète.


Je n’affirme pas que l’époque de l’Expo 67 fut malsaine. Elle fut seulement l’exemple d’une séduction mémorable qui a précédé la division, l’intolérance et la dépersonnalisation. Ce cortège de drames, de défaites et de bévues qui laissent l’impression que l’Expo 67 fut la dernière grande réussite québécoise. Une œuvre prestigieuse qui devança des moments troubles de l’histoire, la Loi des mesures de guerre de Trudeau, les référendums perdus, ce foutu stade olympique inachevé qui ne cesse d’envahir l’actualité depuis 1976, l’état des routes, les urgences des hôpitaux, l’éducation qui fabrique des anglocitoyens, le REM de la Caisse de dépôt de Micheal Sabia, etc. Je ne tente pas de dénigrer le Québec. J’ai seulement l’impression d’une volonté machiavélique à nous enfoncer dans les méandres de l’incompétence, afin d’en faire un trait caractériel pouvant nourrir l’intolérance de ce que nous sommes. Quelque chose qui commence sérieusement à ressembler au remplacement de la devise «Je me souviens» emprunté à l’arpenteur et géomètre Eugène-Étienne Taché (1836-1912) par «Attendre pour ne rien faire».


Revenons à la rune Yr. Elle est passée des Celtes vers Angleterre, lors d’une manifestation pour le désarmement nucléaire, tenu le 21 janvier 1958, qui fut organisée par des militants liés au Clergé et les Quakers. Cela se fait par le soutien d’un dessin du Britannique Gerald Holtom (1914-1985). Bien que ce dernier affirme s’être inspiré des lettres N et D (Nuclear Disarmament) de l’alphabet sémaphore de la Marine britannique, son œuvre reste un calque runique que vous connaissez certainement? Il s’agit du symbole de Paix et d’amour qui a accompagné de nombreux mouvements révolutionnaires, la culture psychédélique, des protestations contre la ségrégation raciale, la guerre et d’autres associations populaires, pour ensuite se retrouver sur des affiches publicitaires de la campagne du OUI, lors du référendum de 1995.  Mais encore, le 24 mars 2020, en voyant une jeune femme s’exprimer sur la pandémie devant les caméras de TVA, avec ses deux grosses boucles d’oreilles à l’effigie du symbole de Paix et d’amour, j’ai eu l’impression d’un spectacle surréaliste rappelant la mort laissée par la COVID-19.


 



Changements


Un autre symbole particulièrement intrigant est apparu dans l’espace public en 2018 par le soutien d’un logo créé en 2001, encore une fois par un dessinateur londonien. Il est associé au groupe de désobéissance civile britannique Extinction Rebellion qui s’est fait connaître à Montréal lors de manifestations du 8 octobre 2019 (pont Jacques-Cartier).  Il s’agit de la représentation d’un sablier qui se retrouve dans Solstice d’été, plus précisément dans les fresques évoquant L’Histoire d’amour d’Adèle et sur les souliers de Dani. Il s’agit de la rune Dagaz qu’on a fait pivoter de 90 degrés.


Cette rune est associée au changement. Ce petit mot définit assez bien cette invitation récente à modifier notre façon de vivre pour lutter contre les transformations climatiques, qu’on nous a martelées en 2019, pour revenir avec la crise amérindienne, en février et mars 2020, pendant que la COVID-19 s’étendait sur Europe. Plus subtilement, ces changements sont religieux. Contrairement à ce que nous croyons, la Révolution tranquille n’a pas séparé l’État de la religion, mais seulement de l’Église. Je m’explique. Les runes qui ont envahi notre espace public sont des symboles religieux qui tirent leurs origines du dieu Odin, l’équivalent celte de Zeus et de Jupiter, celui qui créa l’ancien alphabet alors qu’il était suspendu la tête en bas, durant 9 jours. Un évènement rappelant Thot, le dieu égyptien de l’écriture. Celui qui fut suspendu au-dessus d'un cercle, pendant qu’un scribe lui transmettait des informations.


Est-ce que le sigle de l’Expo 67 fut lié à ce paganisme ou fut-il le fruit du hasard? Il est difficile de différencier les changements qu’on nous impose avec ceux qui se manifestent naturellement.  Dans un cas comme dans l’autre, les symboles décident de notre opinion. Laquelle? Ici et maintenant, on efface des icônes catholiques, dont le crucifix de l’Assemblée nationale, au nom de la loi 21 sur la laïcité, sans réserver un sort similaire aux symboles anglicans limitrophes, au point de se demander si nous comprenons le sens de ces gestes, plus particulièrement lorsque le rêve de fonder un pays consiste avant tout à se débarrasser des plaies de l’invasion britannique qu’elle soit celte, orangiste ou anglicane.


Mais encore, je dois rappeler qu’avant que le COVID-19 soit au centre de nos préoccupations quotidiennes, nous vivions l’impression que la secte n’aime pas nos symboles, notre économie, notre modèle sociétal, nos services sociaux, nos réussites, notre langue et notre culture. J’ajouterai que la secte dédaigne les racines chrétiennes et qu’elle s’est certainement réjouie que la Révolution tranquille des années 60 ait profité à la mort de Dieu pour mieux paver la voie d’un renouveau religieux attaché à la tradition celte des îles britanniques. Lequel? Des chrétiens affirment que la rune Yr serait liée à la croix inversée aux bras cassés, ou lapôtre Pierre, le premier pape de l’Église catholique, fut crucifié la tête en bas. Cela implique qu'il y aurait une apparence de conflit entre le paganisme celte et le christianisme.


Cette impression s’exprime depuis à travers une inversion des valeurs qui affecte l’ensemble de notre société. Bien que cette réaction nourrisse l’esprit des chiens de Pavlov, les artisans des rituels d’accompagnement et ceux du langage associatif inculqué qui associent le conservatisme chrétien à des tarés, la réalité reste.  Les grandes tendances qui sont nées de la Révolution tranquille peuvent s’interpréter comme des héritages païens. Ajoutons   que la première manifestation de désobéissance civile de Extinction Rebellion s’est tenue à Londres le 31 octobre 2018, soit à la Samain, une commémoration religieuse celte liée à l’Halloween qui marque le début de l’ère sombre et la fin de l’ère claire, entre les trois jours du Lugnasad et ceux du Yule. Est-ce un hasard ou le fruit d’une volonté de Extinction Rebellion à célébrer une fête païenne?


Il y a près de 1700 ans, les runes sont passées officiellement de l’alphabet vers les symboles magiques. Ajoutons que le mot celte rüno (rune) veut dire «secret», «mystère» et «incantation». De là, l’attribution de vertus surnaturelles aux runes, que ce soit Alzig, Yr ou Dagaz, peut-elle impliquer l’organisation de rituels lors de fêtes sacrées? Dès les années 60, le Québec a été la terre de prédilection d’un nombre effarant de nouvelles religions et de sectes, siégeant souvent dans l’anglosphère, ainsi qu’à un engouement pour la sorcellerie et le satanisme. Le tout fut soutenu par des psychotropes afin de nous rappeler les liens millénaires entre ces derniers et des cérémonies païens. L’association est inévitable. Terence McKenna (1946-2000), un anthropologue, un ethnobotaniste et l’auteur de La nourriture des dieux (1992), croit que la consommation de champignons magiques a contribué à la naissance de nombreux cultes païens. Gail Bradbrook, une docteur en biophysique moléculaire diplômée à l’Université de Manchester, doit certainement être d’accord avec lui. En 2016, avant de devenir la cofondatrice de Extinction Rebellion, elle s’est offert un petit rituel initiatique reposant sur l’usage de ces trois hallucinogènes, en compagnie d’un chamane: le Ayahuasca (yagé), l’iboga (ibocaîne) et le kambo, un poison sécrété par une grenouille d’Amazonie. Un rite de passage qui semble l’avoir séduite, puisque depuis elle prône la consommation de drogue psychédélique pour changer le monde.


Je n’ai rien contre cette consommation. Au contraire, elle indique une tendance franche à vouloir vivre des expériences spirituelles. Ce qui peut par contre inquiéter est le fait que les drogues végétales sont étroitement associées à un état de conscience altéré qui facilite la pratique de rituels magiques, d’arts divinatoires ainsi que les communications avec les esprits et les invocations. C’est bien, tant et aussi longtemps que nous ignorons que la Bible des chrétiens interdit ces pratiques.


De là, je dois terminer cette deuxième partie en précisant que je ne fais que présenter des éléments de réflexion dont on ne sait s’ils sont des hasards ou s’ils cachent quelque chose qui nous échappe. Si c’est le cas, est-ce pour éviter de voir notre monde sous un angle qui nous laisserait l’impression d’être peu de chose ou est-ce la peur de se découvrir le complice de nos défaites? Je ne peux dire. Peut-être que certains pourront réfléchir au sens réel de la Révolution tranquille et à la disparition de nos symboles au point de constater que nous serions dans un monde dont la grande compétence consiste à fabriquer des Dani selon les attentes de la secte. Peut-être que tout cela est simplement douteux. Peu importe ce que vous pensez et croyez, je vous retrouve dans moins de 72 heures, avec la ferme intention de changer votre perception du monde.


 




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