Le programme immigrationniste radical du Canada vient de se révéler au grand jour.
Le gouvernement de Justin Trudeau a annoncer vouloir faire venir un million (1 000 000) d’immigrés au Canada dans les trois prochaines années. Alors qu’aucune étude ne valide la nécessité économique de l’immigration massive telle que nous la connaissons, le gouvernement canadien souhaite décupler le nombre d’immigrants reçus dans la Confédération.
Le Canada recevra presque un million d’immigrant dans les trois prochaines années selon la stratégie à long terme établie aujourd’hui par le gouvernement libéral dans ce qui est appelé « la plus ambitieuse politique d’immigration dans l’histoire récente du pays ».
Entendons-nous bien.
Il ne s’agit plus ici d’une simple volonté d’augmenter l’immigration afin de palier à un manque de main-d’oeuvre. Il s’agit ici de mettre en place un programme d’ingénierie sociale visant à construire une société utopique fondée sur le multiculturalisme menant à une transformation radicale de la composition sociale, culturelle et ethnique du pays.
D’ici 30 ans, les Canadiens-français seront minoritaires au Québec (Source)
Le Grand Remplacement ou le changement de population
Le programme du gouvernement du Canada repose sur une volonté de mettre en place un changement de population, soit ce que l’écrivain français Renaud Camus a eu l’intelligence de désigner comme le Grand Remplacement.
Voilà comment l’intéressé défini l’expression qu’il a inventé.
Oh, c’est très simple : vous avez un peuple et presque d’un seul coup, en une génération, vous avez à sa place un ou plusieurs autres peuples. C’est la mise en application dans la réalité de ce qui chez Brecht paraissait une boutade, changer de peuple. Le Grand Remplacement, le changement de peuple, que rend seule possible la Grande Déculturation, est le phénomène le plus considérable de l’histoire de France depuis des siècles, et probablement depuis toujours.
La France en 2017
Le Grand Remplacement simplement rendu possible par la Grande Déculturation, soit par l’effondrement culturel de l’Occident.
C’est ce que j’ai appelé moi-même l’enseignement de l’oubli, l’industrie de l’hébétude, la Grande Déculturation. On en revient toujours à la formule que je rabâche exagérément, mais il y a de quoi :
« Un peuple qui connaît ses classiques ne se laisse pas mener sans révolte dans les poubelles de l’histoire ».
Malheureusement, ce que dit Renaud Camus de la France s’applique également au Québec.
Le Québec en 2017
Le Québec menacé par l’utopie multiculturaliste
Contrairement à ce que les idéologues libéraux ont toujours tentés de nous faire croire, le Québec – issu du Canada français – s’est toujours distingué en Amérique du Nord comme une société particulièrement homogène. Homogénéité linguistique, homogénéité confessionnelle, homogénéité culturelle et même – malgré ce que le récit libéral-libertaire tente de nous faire croire – homogénéité ethnique.
Nous sommes un peuple particulièrement homogène sur le plan des origines ethniques (Source)
Dans cette Amérique du Nord multiconfessionnelle, multilingue et multiethnique, le Québec s’est toujours démarqué par son maillage national particulièrement bien ficelé. Le Québec a toujours été « tissé serré ».
En raison de la matrice culturelle catholique et française qui a servi de creuset à l’élaboration de la société québécoise, en raison de notre encerclement par des populations anglo-protestantes, en raison de notre condition minoritaire au Canada, nous sommes un peuple particulièrement solidaire, facilité en cela par notre homogénéité linguistique, confessionnelle, culturelle et ethnique.
École Val-Alain, 1978-1979
Cela est en train de changer de manière radicale en raison des politiques irresponsables d’immigration massive que nous subissons.
École Camille-Laurin, 2015-2016
Le mensonge diversitaire
Loin de ce que les idéologues fanatiques de la diversité tentent de nous faire croire, la diversité ethnoculturelle n’est pas une force, mais bien une faiblesse pour les sociétés.
Des dizaines d’études récentes ont démontré que la coexistence de plusieurs groupes ethniques au sein d’un même espace social tend non seulement à miner la confiance des citoyens envers les institutions, mais qu’elle détruit également à moyen terme la cohésion sociale. La diversité accrue augmente par ailleurs les risques de conflits inter-ethniques. Nombre d’études démontrent que plus l’on accroit la « diversité » au sein d’une société, plus cette dernière tend à se fragmenter. La diversité, passé un certain seuil, n’est plus une « force » comme on tente de nous le faire croire, elle serait plutôt une véritable bombe à retardement. À l’instar du communisme, dont il se veut une excroissance, le mensonge multiculturel s’effondre aujourd’hui sous nos yeux, écrasé par le poids de ses contradictions.
L’utopie diversitaire, promue autant par la gauche libertaire que par la droite néolibérale, a notamment comme objectif de briser le tissu social des sociétés pour les jeter dans des conflits perpétuels liés aux revendications communautaires des différentes populations habitant le territoire. Remarquons également que les sociétés les plus multiethniques sont également parmi les plus violentes (Amérique centrale, Caraïbes, Afrique du Sud, Brésil, États-Unis, etc.).
La diversité est un facteur de fragmentation sociale qui facilite les comportements criminogènes
Imposer le débat sur l’immigration dans la sphère publique
Nous ne le répéterons jamais assez : le Canada est le pays subissant le plus important changement ethno-démographique de tout l’Occident.
En raison des accords existants entre le gouvernement du Québec et du Canada, l’État québécois doit recevoir une partie conséquente des immigrants sélectionnés par le fédéral en proportion de sa population. La substitution démographique que nous subissons est donc directement une conséquence de notre soumission à l’ordre canadien actuel.
Le Canada anglais ne fait pas que nous empêcher de légiférer sur le voile intégral islamique ou nous détester pour des raisons socio-économiques : il nous impose sa noyade migratoire.
Lévesque avait compris le problème de l’immigration massive dès 1970
En raison de la propagande immigrationniste des médias de masse, il est du devoir de chaque patriote lucide d’imposer le débat sur l’immigration au sein de la société québécoise. Afin de réveiller les consciences et de secouer l’apathie politique des Québécois, il est important que chacun d’entre nous diffuse les études catastrophiques qui annoncent la marginalisation démographique des Canadiens-français d’ici 20 ans.
Il faut suffisamment libérer la parole de la population afin de forcer les partis politiques à tenir un discours plus musclé sur l’immigration. Nous devons obliger les politiciens et les élites à se commettre sur ce sujet.
Si vous êtes membre d’un parti politique, d’une association étudiante ou d’un syndicat, parlez d’abord aux éléments les plus sensibles à la question identitaire. Parlez-en également à vos parents, vos amis, vos collègues. Amenez-les à dévoiler leur malaise sur l’islamisation de la société, sur l’anglicisation du Québec, sur le multiculturalisme. Soyez toujours à l’écoute des remarques qui peuvent indiquer une prise de conscience de la question identitaire.
Pour amener un sujet à se réveiller, il faut procéder par étape.
Étape 1 : l’argument économique
Introduisez d’abord votre interlocuteur aux arguments économiques sur les coûts de l’immigration au Québec : 20 milliards pour le Canada et 5 milliards de dollars par année pour le Québec.
Richard Le Hir, éveilleur de conscience sur la question migratoire
Soulignez également qu’il n’y a aucune étude au Québec affirmant que l’immigration est bénéfique sur le plan économique. Si vous souhaitez approfondir votre connaissance sur le sujet, lisez l’ouvrage Le remède imaginaire. Pourquoi l’immigration ne sauvera pas le Québec par Dubreuil et Marois afin d’étoffer votre argumentaire sur la question.
Après avoir fait un premier travail de déminage sur la question économique, vous pouvez enchaîner sur le désastre que représente le multiculturalisme.
Étape 2 : le multiculturalisme
La critique du multiculturalisme est désormais largement répandue dans la société québécoise, notamment parmi les souverainistes les plus politisés. La gauche laïcarde elle-même est très réceptive à la critique du multiculturalisme en raison de son anti-clérialisme et de son féminisme qui voit dans l’islamisme une atteinte à l’égalité homme-femme.
Une bonne formule à retenir est la suivante : « le multiculturalisme est l’inversion du devoir d’intégration ». C’est-à-dire qu’avec le multiculturalisme, ce n’est plus l’immigrant qui doit s’adapter à la société d’accueil, mais bien la société qui doit accommoder les immigrants. L’exemple qui frappe l’esprit est celui de l’impossibilité d’interdire le niqab dans la fonction publique en raison de la doctrine multiculturaliste de l’État canadien.
Vous pouvez ensuite enchaîner en indiquant que la France laïque, tout autant que la Grande-Bretagne multiculturaliste subissent les mêmes problèmes : islamisation de quartiers entiers, attentats djihadistes, insécurité, émeutes ethniques, etc.
Le problème ne réside donc pas dans le modèle d’intégration, mais dans l’immigration massive.
Étape 3 : le changement de peuple
Vous pouvez ensuite introduire votre interlocuteur au problème de la substitution ethnique des Canadiens-français. Même si c’est un sujet tabou, les Québécois – fussent-ils dépolitisés – ne veulent pas devenir minoritaires. Il s’agit ici d’une simple question d’instinct : à moins d’être infecté par ce virus mortel qu’est la haine de soi gauchiste, aucun peuple ne veut devenir minoritaire sur son propre territoire.
Votre interlocuteur sera sans doute sceptique face à vos déclarations, car elles vont totalement à l’encontre de ce que la propagande immigrationniste nous déverse dans les oreilles depuis plus de trois décennies. Il vous sera donc possible de l’envoyer vers cette incroyable étude:
Le Grand Remplacement annoncé
Vous pouvez également consulter cet article qui décrit fort bien les quatre étapes par lesquels passent les immigrationnistes lorsqu’ils sont confrontés aux faits.
- Mais voyons, il n’y a pas d’immigration massive.
- C’est vrai qu’il y a un peu d’immigration…
- Évidemment, l’immigration massive est bien réelle…
- D’ailleurs, l’immigration massive est une très bonne chose !
Bref, on débute la conversation par la négation du phénomène, puis on passe à sa validation, pour terminer par sa défense totale et complète. Voilà la force de l’idéologie : elle a pour effet de masquer le réel pour mieux le transformer afin qu’il ne dérange pas le confort mental de l’idéologisé.
« S’il nous est impossible de nier le Grand Remplacement, alors défendons-le ! »
Faire partie du combat
Il est primordial que chacun d’entre nous participe à éveiller les consciences sur la lutte contre l’immigration massive, combat central pour l’avenir du Québec. Il faut en parler à nos familles, à nos amis, à nos patrons, à nos collègues, à nos employés. Il s’agit d’imposer notre vocabulaire au grand public :
- L’immigration n’est pas une richesse, c’est un coût !
- La diversité n’est pas un bienfait, c’est un facteur de division !
- Société multiculturelle = société multiconflictuelle !
- Immigration choisie = changement de population !
Il faut refuser le changement de peuple. Il faut refuser d’être remplacés.
Il nous faut arrêter le Grand Remplacement.
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