[Carré rouge, marée rouge. (Texte Non-Fini)]
Je vrille dans la ville
_ qui brille,
Chaque soir
_ j'explore la
_ faune urbaine
_ et constate
_ la ville en peine
Je m'imprègne
_ de l'ambiance
_ qui règne
_ dans les rues
_ de cette ville qui saigne.
L'enseignement sur pause,
_ Les militants s'opposent
_ à cette hausse. Et si
_ nous perdons cette cause,
_ c'est la fosse garantie.
J'me suis épinglé su'l coeur ce carré rouge
_ qui engendre autant d'peur que les marées rouges.
_ Je n'ai qu'une chose à dire à tous ces tarés;
_ Quand t'auras fini d'te marrer, bouge !
À chaque soir,
_ dans les rues sombres de Montréal
_ L'armée vêtue de noir
_ abuse de son pouvoir.
À chaque soir,
_ notre espoir d'avoir, un jour
_ un pays libre disparait peu à peu
_ dans le noir.
Comme disent Loco Locass;
_ On est Québec et mat !
_ Mais on est un peuple de masse,
_ on est un peuple pat.
Pas question qu'on dérape
_ Même si'on est victime de rapts
_ de libertés.
Attention à la tension car
_ on va maintenir la pression
_ tant et aussi longtemps qu'il
_ y aura oppression, et que
_ les étudiants seront privés
_ d'leur éducation.
...
- Antho L.A.
Carré rouge, Marée rouge
Petit poème traitant de la grève étudiante
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