Fitzgibbon engage un ami comme PDG d'Investissement Québec

Ça sent les ti-zamis!

Trois musulmanes en faveur du projet de loi 21

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Tribune libre

Selon certaines sources fiables, le nouveau PDG d’Investissement Québec (IQ), Guy LeBlanc, brassait des affaires personnelles jusqu’à tout récemment avec son nouveau patron et ministre de l’Économie, Pierre Fitzgibbon. Anciens collègues chez PricewaterhouseCoopers, les deux hommes étaient également actionnaires de la même entreprise jusqu’au 10 avril. Toutefois, au Registre des entreprises du Québec, des décisions se sont précipitées ces dernières semaines afin qu’ils mettent un terme à leurs liens d’affaires.


Appelé à commenter la situation, l’attaché de presse du ministre a indiqué que celui-ci n’avait rien à se reprocher. «Ce sont des connaissances de longue date. Depuis le 1er octobre, date des élections, M. Fitzgibbon a démissionné de tous les conseils d’administration où il était administrateur», a fait savoir Mathieu St-Amand. Tous les placements et les actions détenus par le ministre de l’Économie ont également été transférés dans une fiducie sans droit de regard.


Quant à la rémunération annuelle du nouveau PDG d’Investissement Québec, Guy LeBlanc, elle pourrait bondir de façon importante pour atteindre les 800 000 $, en hausse de 50 % (+ 277 000 $) s’il atteint les objectifs de performance.


Quoique n’ayant aucun doute sur les compétences de Guy LeBlanc à titre de nouveau PDG d’IQ et que le fait d’être un ami personnel du ministre Fitzgibbon ne fait pas de lui un candidat de second ordre, la situation devient compromettante lorsque l’on apprend que M. LeBlanc était partenaire d’affaires avec le ministre responsable d’IQ, et que l’heureux nouveau titulaire recevra une rémunération deux fois plus élevée que son prédécesseur. 


Dans un temps pas si lointain, François Legault aurait clamé son indignation devant pareille nomination sous les libéraux, une détestable ambivalence entre l’opposition et le pouvoir. Pour reprendre un terme qu’il affectionnait particulièrement dans l’opposition, le fait de bénéficier d’une forte majorité de Québécois est-il en train de rendre M. Legault « arrogant » ?


Enfin, selon les mêmes sources, Guy LeBlanc n’était pas le premier choix des chasseurs de têtes embauchés à grands frais (60 000 $) pour trouver le nouveau PDG d’Investissement Québec. Le ministre de l’Économie aurait ainsi préféré M. LeBlanc à d’autres candidats retenus par la firme Odgers… Ça sent les ti-zamis du temps du défunt gouvernement libéral!  


https://www.journaldequebec.com/2019/04/18/pierre-fitzgibbon-et-guy-leblanc-ils-brassaient-des-affaires-encore-au-debut-du-mois




Legault en remet...


https://www.msn.com/fr-ca/actualites/quebec-canada/conflits-dintérêts-legault-veut-assouplir-les-règles-du-code-déthique/ar-BBW4ULb?ocid=spartandhp


Une nomination qui donne des munitions à l'opposition


https://www.journaldequebec.com/2019/04/18/nouveau-pdg-dinvestissement-quebec-qs-demande-au-commissaire-a-lethique-denqueter

 


Trois musulmanes en faveur du projet de loi 21


Djamila Addar, Leïla Bensalem et Leïla Lesbet ont toutes les trois fui leur pays natal suite à la montée de l’intégrisme islamiste dans les années 80-90. Impliquée dans le milieu de l’enseignement, elles militent depuis plusieurs années pour l’interdiction des signes religieux dans les écoles, « Le voile est lourd de sens. Pour moi, c’est le porte-étendard des islamistes », déclare Leïla Bensalem. « C’est quelque chose d’oppressant, de dégradant pour les femmes », ajoute-t-elle.


Aux yeux de Djamila Addar,  « la foi n’est pas dans les apparences, elle est dans les gestes qu’on pose, et non pas dans un bout de tissu ». « Ce voile n’a jamais fait partie de notre culture et encore moins de notre religion », dit Mme Lesbet qui précise être issue pourtant d’une famille « très pratiquante ».


« Contrairement à ce que beaucoup ont dit, je trouve le projet de loi très modéré, renchérit Mme Bensalem. C’est un projet très important, car c’est l’aboutissement, enfin, de la Révolution tranquille des années 60. »… Une leçon d’histoire nationale du Québec de la part d’une musulmane!



Henri Marineau, Québec


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Né dans le quartier Limoilou de Québec en 1947, Henri Marineau fait ses études classiques à l’Externat Classique Saint-Jean-Eudes entre 1959 et 1968. Il s’inscrit par la suite en linguistique à l’Université Laval où il obtient son baccalauréat et son diplôme de l’École Normale Supérieure en 1972. Cette année-là, il entre au Collège des Jésuites de Québec à titre de professeur de français et participe activement à la mise sur pied du Collège Saint-Charles-Garnier en 1984. Depuis lors, en plus de ses charges d’enseignement, M. Marineau occupe divers postes de responsabilités au sein de l’équipe du Collège Saint-Charles-Garnier entre autres, ceux de responsables des élèves, de directeur des services pédagogiques et de directeur général. Après une carrière de trente-et-un ans dans le monde de l’éducation, M. Marineau prend sa retraite en juin 2003. À partir de ce moment-là, il arpente la route des écritures qui le conduira sur des chemins aussi variés que la biographie, le roman, la satire, le théâtre, le conte, la poésie et la chronique. Pour en connaître davantage sur ses écrits, vous pouvez consulter son site personnel au www.henrimarineau.com





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