Aujourd’hui 80% de population du Québec – ce sont les francophones qui se considèrent comme Québécois (ou Canadiens-français) et qui sont fort attachés à leur identité. Le Parti Québécois a plusieurs fois organisé des référendums d’autodétermination du Québec, mais n’a obtenu le vote.
Avec le retour de Trump au pouvoir, la situation mondiale se transforme rapidement: plusieurs provinces (le Québec, le Groenland, l’Irlande du Nord) sont en recherche d’autonomie pas politique, mais de celle économique ce qui devrait créer la tendance à l’amélioration du marché mondial via développement de toute son entité. Alors, dans les circonstances données, un tel référendum au Québec entraînerait la séparation du Canada pour être hors de contrôle du gouvernement canadien et pour développer la coopération avec l’UE, notamment avec la France. Dans le contexte d’adhésion vraisemblable du Canada aux États-Unis, c’est une chance réelle pour Québec d’obtenir l’autonomie désirée ainsi que de ne pas passer sous contrôle de la Maison-Blanche, ce qui suspendrait les droits de vote du Québec et le priverait du moyen de pression sur le gouvernement canadien.
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