J’observe depuis quelques jours un spectacle désolant et dangereux s’approprier les tribunes télévisions pour faire la promotion de la Drag…auprès de nos jeunes enfants, rien de moins.

Vendredi le 7 avril , à l’émission Le monde à l’envers avec Stephane Bureau, il y invite un producteur de Drag pour nous parler du côté inoffensif de présenter des spectacles pour des jeunes enfants de 3 à 8 ans. Et pourtant ce type prend le temps d’expliquer que le Drag n’est que du burlesque qu’on présente à des adultes depuis des décennies. Et que tout est dans le ton, la manière pour offrir des spectacles burlesques à de plus jeunes publics. Tout est parfaitement innocent, il n’a pas de problème à faire ça. Il semble le savoir.

«L’Assemblée nationale se porte à la défense des drag queens» titre La Presse le 4 avril dernier.

Voici le résumé de la nouvelle que La Presse publie:

(Québec) Le Québec se distingue des politiques du Tennessee dans sa relation avec les drag queens. Si l’État américain limite désormais leurs spectacles dans les lieux publics, les parlementaires québécois soulignent au contraire que les contes qu’elles racontent aux enfants dans les bibliothèques font de la province « un exemple de l’égalité et de l’équité pour les communautés de la pluralité de genre à travers le monde ».

D’abord au Tennessee les spectacles sont limité aux 18 ans et plus. Dans l’article on ose rajouter «un exemple de l’égalité et de l’équité pour les communautés de la pluralité du genre»

S’habiller en femme par un homme c’est une question d’égalité? Égalité envers qui?

Question: En quoi s’habiller en femme du genre poupounne respecte les femmes dans notre société d’aujourd’hui? L’exemple est de devenir des Dolly Parton portant de faux cheveux argenté; de faux-cils extra-long, du maquillage qui devient un barbouillage, accompagné de faux-ongles trois fois la longueur d’un ongle normal et le tout avec une jolie robe en décolleté? C’est ça l’image de la femme qu’on aime donner?

Si on s’habille en «Indien» ou en chanteur noir, la on fait de l’appropriation culturelle. Mais s’habiller en femme pour la dégrader, est acceptable et voté à notre Assemblée nationale!?

Honte à l’Assemblée nationale en entier d’avoir voté une motion pour inclure des Drag Queens dans la communauté LGBTQ! Honte à chacun d’entre eux!

Dimanche soir, le 9 avril, on en rajoute une couche, À tout le monde en parle avec comme invité(e) Barbada qui encore vient vanter les mérites de présenter ces spectacles à des jeunes enfants de 3 à 8 ans. Il (elle) va aussi loin que de comparer les Drag Queens avec des immigrants et des réfugiés!  Elle (il) ose même se comparer à la communauté LBGTQ!

Question: En quoi, le fait de s’habiller en femme par un homme tombe sous la rubrique de la sexualité d’une personne? S’habiller en femme ne vient même pas près de ressembler à, par exemple, des lesbiennes. Le désir de s’habiller en de fausse-femmes ne se situe même pas près de la sexualité. Elles (Ils) blesse l’image qu’ils projettent des femmes; des femmes qu’elles sont bonnes qu’à se grimer pour se soumettre aux hommes?

Il (elle) ose comparer sa fétiche adulte d’habillement à la «diversité»! C’est rendu que les Drag Queens se comparent à des noires, à des asiatiques à des arabes. Des noires, des bruns, des blancs des hommes et des femmes, des Ukrainiens fuyant la guerre!

Avec l’émission présentée à Radio-Canada par une Drag Queen, elle remplie son mandat de l’inclusion! À quand une émission présenté à des enfants de deux hommes gais s’embrassant?

Et pourquoi pas deux lesbiennes se caressant les cheveux, une noire et une blanche? Vous ne trouvez pas que ceci serait bon pour le développement de nos jeunes cerveaux, les 3 à 8 ans? Oublier qu’est-ce que ces expositions peuvent faire à de jeunes se cherchant comme être humain d’abord, en introduisant l’inclusion de leurs sexualités? N’est-ce pas une bonne idée!

Et si on cessait de vouloir toujours tout inclure en compartimentait à chaque petite différence de chaque être humain?  Le dommage psychologique chez un jeune cerveau en développement, on en parle pas? On ne parle pas de l’effet négatif sur le développement normal d’un enfant de voir, de chercher, de se questionner sur le pourquoi qu’un homme s’habille en femme en écoutant sa petite voix oh si féminine . On assume bien des choses en exposant indument ce genre de spectacle pour adultes, à des enfants. Et si ça dérangeait le jeune dans son développement?

Guy A Lepage le sait-il? Et Stéphane Bureau a-t-il une étude secrète sur le sujet sur le bienfait ou les dégâts d’une telle permissivité envers notre jeunesse?  Nos élus politiciens ont-ils étudiés cette question en commission parlementaire?

Tous ces gens, pour de fausses raisons d’inclusion, de diversité, et de liberté se donne le droit d’exposer des Drag Queen à des jeunes enfants sans aucune analyse fondamentale sur le sujet fait par des professionnels et des gens qui peuvent parler sur les effets négatifs de cette exposition aux enfants peuvent avoir. Personne ne sait, mais on acceptent tous comme des momies sans se poser la moindre question. C’est honteux! C’est choquant!

Comment osent-ils, les politiciens, parler en notre noms, aux noms de tous pour permettre ces spectacles d’adultes de burlesque sans mettre un âge minimum pour voir de telles performances?

«Personne n'est obligé d’aller voir ces représentations» qu’on répond. Et on fait quoi lorsque ces spectacles sont présentés dans le cadre des cours d’école? Ça revient aux parents d’organiser leur journée pour éviter que leurs enfants voient les Drag Queens en performance dégradantes? Et le petit ne peut pas aller à la bibliothèque du coin lorsque ces gens se présente dans leur localité?

N’a-t-il plus une once de morale descente dans la société d’aujourd’hui? Doit-on tout accepter?

Sources:

https://www.washingtonexaminer.com/restoring-america/community-family/why-drag-queen-performances-are-not-appropriate-for-children

https://www.heritage.org/gender/commentary/the-lefts-goal-creating-new-generation-drag-kids

https://www.city-journal.org/the-real-story-behind-drag-queen-story-hour