L'aide sociale : pas un mode de vie acceptable pour l'immigré

Après 5 licenciements en 1 an, l'immigré doit quitter

Plusieurs milliers d'immigrés à l'aide sociale permanente

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Tribune libre

Il serait normal et logique qu'un immigré récent qui atteint 5 renvois d'emplois en un temps limité doive quitter le pays pour incapacité à répondre aux besoins du marché et aux critères d'excellence des employeurs.


Cet immigré doit alors être évalué pour être rapatrié dans son pays d'origine où on espère qu'il était plus fonctionnel.



On ne peut permettre à aucun immigré de devenir un fardeau social chronique et de se mettre à vivre de généreuses prestations d'aide sociale sur une base permanente. On a suffisamment des nôtres qui sont dans cette triste situation (bien sûr il n'est pas question de ceux qui sont inaptes à l'emploi). Ce filet social a été mis au point pour venir en aide aux nôtres, pas pour des étrangers profiteurs qui empochent avidement le magot peu après leur arrivée.



Après 5 pertes d'emploi, l'immigré démontre sans conteste qu'il ne peut s'intégrer au fonctionnement concret du marché du travail québécois.


Accordons-lui une limite de temps d'un an pour faire ses preuves. 5 emplois perdus en une seule année, c'est un signe évident qui ne trompe pas.


Qu'il se considère heureux qu'on lui accorde 5 chances de faire ses preuves (mais pas une de plus) car ce serait alors de l'abus évident.


Et peu importe la raison, s'il ne peut donner satisfaction à aucun employeur, il doit alors quitter le Québec.



Que ce soit pour cause de:


- rendement nul au travail, productivité insuffisante


- incapacité à travailler en français


- fainéantise, paresse, absence de motivation


- manque d'esprit d'équipe


- incapacité à fournir le même rythme de travail que les autres


- vol de temps


- parce qu'il chipe de la marchandise, du matériel


- en raison d'exigences religieuses innombrables et injustifiables dans nos entreprises laïques



Bref, peu importe que ce soit pour les raisons citées ou pour toute autre raison irrecevable par l'employeur, un immigré qui n'arrive pas à gagner sa vie convenablement au point de devenir rapidement un poids mort permanent pour la société doit être renvoyé dans son pays d'origine sans délai pour y travailler comme avant.



Car ce n'est certainement pas une fois rendu ici qu'on lui accordera le loisir de mener la vie de pacha aux crochets de la généreuse société d'accueil qu'il croit que nous sommes. Non, pas question. Ne nous laissons pas manger la laine sur le dos. On ne leur doit rien, mais alors là rien du tout après tout. C'est à eux qu'il revient de nous démontrer leurs capacités dans un délai raisonnable d'un an, ou de quitter en cas d'insatisfaction répétée des employeurs.



L'immigration, ce n'est certainement pas un engagement du pays hôte à prendre en charge un individu à vie et à subvenir à tous ses besoins en moyennant rien en retour, comme plusieurs le voudraient bien...



En effet, bon nombre d'immigrants se voient enchantés de gagner à la loterie de la belle vie passée à ne rien faire, pour se voir grassement entretenus par l'ensemble des contribuables québécois. Il n'en feront pas de cas de conscience...



Plusieurs d'entre eux arrivent à soutirer des sommes de plus de 1000$ par mois en prestations sociales combinées, ce qui représente chez eux le salaire de plusieurs mois de travail.


De telles sommes obtenues sans avoir à lever le petit doigt leur permettent de vivre ici dans un grand luxe relatif, comparé au niveau de vie du tiers-monde d'où ils viennent, là où l'électricité, l'eau courante et les toilettes n'existent pas toujours.


C'est par cet habile tour de passe-passe qu'on passe ainsi du bidonville de tôle à la grande métropole moderne, et de la hutte de paille au HLM princier en comparaison de ce qu'ils ont connu.



Et c'est sans parler qu'ils savent se faire habiller et meubler gratuitement par les organismes de charité, qu'on leur recommande d'aller dévaliser sans scrupules les banques alimentaires, en se disant pour se justifier que c'est précisément pour venir en aide à de pauvres gens comme eux que tout cela existe. Ah, l'art de faire pitié, comme ça peut rapporter parfois!


Et n'oublions surtout pas toute la gamme des services gratuits offerts par l'État dont ils se montrent très friands, au point de faire allonger indûment les listes d'attente à notre détriment. Instruction gratuite, éducateurs spécialisés, soins médicaux à vie gratuits, coût des médicaments défrayés, chirurgie coûteuse, traitements spécialisés à vie, orthèses et prothèses, soins dentaires, il n'y a rien de trop beau pour l'immigrant du tiers-monde insatiable, comme une mouche voletant au-dessus d'un buffet à volonté.



Et certains d'entre eux auront l'impudence et l'hypocrisie de rejeter la faute de leur inemploi sur le dos des employeurs québécois qu'ils rendront responsables de leurs échecs répétés en leur attribuant tous les torts! "Nous sommes tous prêts à travailler et mériter honnêtement notre salaire, mais ce sont les méchants employeurs et les méchants travailleurs québécois qui discriminent contre nous. Nous n'y sommes pour rien là-dedans".



Ils sont actuellement des centaines de milliers à profiter des failles du système d'attribution de l'aide sociale. Bien aguerri sera le journaliste d'enquête qui réussira à obtenir les chiffres exacts chez les ministères concernés, omerta oblige.


Car tout ce qui peut démontrer les failles du système d'immigration et le gaspillage éhonté qui en est la conséquence est tabou.



Dans le discours officiel bien-pensant, inclusif et multiculturaliste, on cherchera toujours à sauver les apparences en nous faisant accroire hypocritement que tout immigrant du tiers-monde sous-développé est utile, indispensable et profitable, un atout et un pseudo enrichissement pour notre société, alors que dans les fait cela s'avère être tout le contraire...



Les statistiques révèlent année après année un taux de chômage disproportionné chez les immigrants, le triple de la population native, alors qu'il devrait frôler le zéro, ce qui confirme qu'un trop grand nombre d'entre eux se complaisent à profiter des avantages des généreuses prestations d'assurance-emploi et d'aide sociale. Une mauvaise habitude est si vite prise et reste comme une tache tenace...



La population québécoise native qui en fait les frais depuis trop longtemps commence à comprendre toute la fausseté d'une telle propagande éhontée, conçue pour nous induire en erreur et nous tromper effrontément.


5 chances de faire leurs preuves la première année, pas une de plus.


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Réjean Labrie880 articles

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Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.

Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.

Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.

L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.

Près de 900 articles publiés en ligne ont été lus un million et demi de fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période dépassant 15 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.





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