Le français se porte bien... dans l'imaginaire libéral et la tromperie aussi... dans les communications réelles de ce gouvernement libéral avec les citoyens
Il est étonnant que la ministre St-Pierre ait pu juger s'il y avait lieu d'intervenir ou non sur la base d'informations aussi incomplètes. À moins, bien entendu, que le gouvernement Charest ait décidé de n'intervenir sous aucun prétexte.
L'absence de véritable pression par le gouvernement et par la population a donc favorisé ce relâchement d'abord indicible.
"Prose libérale"...
«Antoine, si on n'était pas là, tu sais ce que je te dirais, hostie! Deux trimestres consécutifs... C'est niaiseux, c'est comme le prix des pintes de lait, christ, c'est quoi, ce genre de politique-là? Appelons un chat un chat.» En fin d'après-midi, devant toute la presse politique, M. Bachand a cru nécessaire de s'excuser d'avoir utilisé «deux mots d'Église».
Il ne servirait à rien à la direction du PQ de nier qu'il y a dans ce qu'elle s'apprête à proposer une rupture, non pas avec l'objectif ultime de la souveraineté, mais avec la démarche consacrée par le dernier congrès.
Lettre à Gérald Larose et Denis Monière
Avant de discuter des moyens, on doit discuter de la nature même du projet
Detroit n'ouvre qu'une fenêtre sur l'automobile de demain
Décrire la "dynamique conflictuelle du Proche et Moyen-Orient" sans même faire allusion au "danger sioniste", c'est étonnant. Plus étonnant encore, le faire sans être sur le "payroll des services secrets américains"... Ça ne saurait tarder...