Ma dernière lettre à Joseph Facal
Monsieur Facal, Vous lirez sans doute ce texte sans jamais l’avouer. Vous n’y répondrez pas, assurément! Mais je m’en fiche. Là n’est pas le but. Mais tout de même, je me dis que si vous étiez le moindrement conséquent et fidèle à vous-même, vous cesseriez de lire Vigile. Mais vous serez sans doute comme celles et ceux qui pourfendent le péché des autres, mais qui s’y adonnent aussi en secret. Vous avez été insu...