Bordel, est-ce qu’on peut discuter?!
Pour mon plus grand malheur, la sortie de Pauline Marois visant à museler nos intellectuels souverainistes est arrivée une semaine trop tôt. Ma chronique étant prévue pour le 10 février, je me suis demandé s’il serait pertinent de commenter sa saute d’humeur, puisque de toute façon, tout aurait déjà été dit. Frustré, donc, et pas à peu près. À ma grande surprise, on a eu droit à tout. Cela m’a convaincu de me mouil...