Et si ...
12 octobre 2014
Monsieur Ssauve,
J'adore votre citation de Roosevelt. Je crois que l'on arrive à comprendre bien des années plus tard, les décisions qui ont été prises dans le passé.
Congrès à la chefferie du Parti Québécois
... c'était un sacrifice
Démocratie
Est-elle véritable?
Marche de la souveraineté
Militons tous ensemble
12 octobre 2014
Monsieur Ssauve,
J'adore votre citation de Roosevelt. Je crois que l'on arrive à comprendre bien des années plus tard, les décisions qui ont été prises dans le passé.
12 octobre 2014
Monsieur Charles Simon,
Le débat des chefs n'est qu'un simulacre de politique. Rien n'indiquait au débat que le Parti Libéral du Québec serait aussi austère dans sa gestion de l'état. Bien au contraire!
12 octobre 2014
Monsieur Lagacé,
Je n'ai pas lu vos commentaires malheureusement. Tout indique que nous pouvons être trois à présent. Ai-je été de façon moins subliminale? Peu importe, je crois qu'il fallait provoquer la situation à propos du droit ou non de briguer l'investiture comme chef de parti pour Pierre-Karl Péladeau.
M'enfin, je souhaite peut-être un peu trop à une telle alternative, sinon, un autre chef devra être élu. En même temps, les sondages peuvent donner le pouls des gens à propos de l'image de chef en Pierre-Karl Péladeau.
11 octobre 2014
Monsieur Simon,
Mon titre comporte deux petits mots: « Et si ... ». J'utilise le conditionnel. Ce sont de pures spéculations. Prenez le temps de lire! Comment pourrais-je trouver des fondements à ces histoires.
Oui! J'ai écrit ça avant l'annonce de l'ouverture de l'enquête par le commissaire à l'éthique. Ça n'a rien à voir pareil!
La politique n'est pas une entreprise. Mais pourquoi dit-on « caucus »? Pensez-vous que l'on se raconte les intrigues des émissions de télévision de la veille? Ce n'est pas une ligue du « vieux poêle », tout de même!
À aucun endroit j'ai dit que PKP irait en Cour suprême. J'ai dit qu'il est peut-être prêt à aller jusqu'à la Cour suprême. Ça implique qu'il soit aller à la Cour auparavant!
On n'a pas le choix de se compromettre! PKP est un magnat de la presse. Aucune loi n'est spécifique, mais on le sait tout ça que ça reviendra hanter le PQ si on ne règle pas cette question. Si PKP est élu chef et que l'on devient obligé de faire un autre congrès car il doit s'en aller, on va perdre temps et argent, en plus de vivre avec une déception. Qui pourra avoir sa prestance qu'il nous démontre actuellement?
Je vous dirais que la politique n'est pas une entreprise. Elle n'est pas non plus une émission de télé que l'on regarde sur une chaîne spécialisée.
10 octobre 2014
Monsieur Durand,
En fait, j'ai trouvé celui-ci (veuillez ne pas tenir compte du précédent message):
[Point de presse de M. Pierre Karl Péladeau, député de Saint-Jérôme
8 octobre 2014->http://www.assnat.qc.ca/fr/video-audio/AudioVideo-54219.html?support=video]
Est-ce bien lui dont vous parlez?
9 octobre 2014
Monsieur Pierre Bouchard,
Je vous accorde ma « bénédiction » pour votre article. Pierre-Karl Péladeau est dangereux pour les fédéralistes. Pour les péquistes plus « provincialistes », il leur nuit. Ces derniers veulent aussi l'indépendance, mais en temps opportun. Quand? Ils ne le savent pas non plus.
Pierre-Karl Péladeau serait, à mon humble avis, un chef salutaire pour le Parti Québécois. Mais s'il faut qu'il se départisse de Quebecor, il devient comme Mario Lemieux qui jouerait au hockey sans bâton. Il se doit de conserver ses médias. Non seulement car c'est un empire familial, mais c'est un empire médiatique qui pourrait devenir indépendantiste. Pierre-Karl Péladeau n'aurait d'autres avenus que de jouer le jeu hypocrite de la politique actuelle (tel que préconisé par Power Corp. depuis des lustres) en plaçant un chef charismatique répondant aux mêmes qualités que lui; c'est-à-dire réellement indépendantiste et capable de lever son poing.
Quand au poker, l'adversaire, en avant de nous, triche, on peut gagner bien honnêtement. Mais quand ce n'est plus possible, il faut tricher nous aussi. Car oui, nous sommes contre le Canada. Ceux qui disent, comme vous dîtes, que ce n'est pas contre le Canada, mais pour le Québec que je désire l'indépendance, on envoie un message aux indécis. S'ils trouvent que le Canada n'est pas si pire « pantoute », ils n'oseront pas trop écouter la vérité à leur dire. Ça devient une question d'amour et non de nécessité.
Si je leur dis que ma sandwich est bonne, s'ils trouvent bonne la leur, ils n'oseront pas me la voler. Si je leur dis que leur sandwich à chacun est toxique à cause de la mauvaise mayonnaise, ils voudront s'accaparer mon sandwich. Pourtant, pour moi, il n'est pas meilleur dans une ou l'autre des situations. Pour les autres, si!
8 octobre 2014
Monsieur Ssauve,
Je ne dirai pas que vous êtes idéalistes. N'en ayez crainte.
Je suis conscient de l'amour. C'est évident que nous nous devons d'éprouver de l'amour, nous les Québécois. Je suis bien d'accord avec cela. Ne craignez rien. J'éprouve beaucoup d'amour pour ma nation et envers les ancêtres ayant suivi Champlain pour ériger ce qui deviendra Québec en 1608.
Mais tel le jour, il existe la nuit. Si on ne vit que le jour, la nuit vient tout bousiller de nos désirs. Nous ne pouvons pas l'exclure. C'est une réalité de la vie.
En tant qu'être humain, je n'ai rien contre un canadien anglais en particulier. C'est la nation qui me dérange. C'est lorsqu'il forme une unité ou un groupe ayant pour but de nous « couler » davantage.
C'est malheureux, mais ce sont les émotions qui gouvernent le monde. Ceux qui n'ont pas d'émotions, ne vivent pas. Ils survivent et répondent aux affres de leur vie.
8 octobre 2014
Monsieur Marineau,
Probablement le Lisée de demain... qui dira vrai. N'oublions pas que Lisée a travaillé pour Parizeau et ... Bouchard. Aujourd'hui, on en connait plus sur les états d'esprits de ses deux hommes politiques. Ils se détestaient. Ils le cachaient. Bouchard a avoué récemment qu'il n'aurait jamais négocié l'indépendance du Québec en 1995 à Ottawa. Il aurait provoqué seulement une onde de choc permettant, d'après lui, au Québec d'avoir plus de privilège au sein d'un Canada uni.
8 octobre 2014
Monsieur Parent,
J'ai énormément d'amertumes pour un gars, comme Jean-François Lisée, qui fut naguère un bon chroniqueur. Il avait même mon respect. Maintenant, il ne l'a plus. La CAQ cherche à faire passer une motion concernant la non permission pour un homme politique de contrôler un organe de presse. Imaginez quoi? Jean-François Lisée votera contre cette motion. Tout un pavé dans la marre en effet qu'il a lancé!
8 octobre 2014
Monsieur Blondin,
Au mois de janvier dernier, une chronique de Jean-Claude Pomerleau sur Vigile relatait un autre épisode du contrôle médiatique exercé par les Libéraux concernant la Caisse de dépôt:
Comment expliquer l’absence d’acharnement sur le crash de la Caisse de dépôt
À la toute fin, on voit un copié-collé de Monsieur Richard LeHir à propos d'un échange courriel qu'il a entretenu avec Monsieur Patrick Lagacé de La Presse. On voit de toute évidence, la convergence des médias appuyant la cause du PLQ. Les entretiens sont frappants.
8 octobre 2014
Monsieur Haché,
J'ai lu votre article. J'ai apprécié lire votre point de vue. Hors, je n'en suis pas d'accord.
Le Parti Québécois a été originellement fondé pour amener le Québec à son indépendance du Canada. Que l'on mette en force ou non l'Article 1 du programme du parti, le fait demeure que 99% des gens ne lisent jamais ou non même pas connaissance de l'existence d'un programme pour un parti politique. Inévitablement, le Parti Québécois apparaîtra toujours comme un parti indépendantiste ou souverainiste aux yeux de l'électorat.
Que l'on modifie l'Article 1 du programme ou non par la nouvelle formulation émise par Pierre Cloutier récemment, nous perdrons le pouvoir aux prochaines élections si nous voulons taire le fait que le Parti Québecois est un parti indépendantiste. Le Parti Québécois ne peut pas être un parti ambivalent. Il ne peut pas être tiède. Il ne peut pas être « Noir » un jour et « Blanc » la semaine suivante. Il ne peut pas se permettre de vouloir diriger la province de Québec en tant que province pour une partie d'un mandat et de faire un pays pour une autre partie du même mandat. Il doit choisir. Il aime ou non le Canada.
Le cinéaste Pierre Falardeau a déjà exprimé ce que je ressens dans son film « 15 février 1839 » à propos si on aime, on n'aime pas ou on hait les Anglais:
C'est le passage où un patriote lance:
- « J'les hais les bâtards ... J'les haïs! »
L'Irlandais, Harkin, lui lance:
- « Pas assez! T'es haïs pas encore assez. Jamais tu pourras les haïr comme moé j'les haïs ... Tout c'qu'y nous ont fait en Irlande ... Je les haïs, là, tu peux pas savoir ... C'est comme du feu ... Icitte! ... Touche ... Touche ... Mais fais attention ... Tu vas te brûler ... »
Pierre Falardeau aurait eu la missive de Gaston Miron d'écrire une scène poignante concernant la haine que l'on éprouve de vivre déjà en 1839 à propos des Anglais. Près de 200 ans plus tard, des gens tendent à vouloir se départir de cette haine, pour passer à autre chose. Ont-ils raison? Probablement. Mais un peuple désirant son indépendance doit éprouver de la haine envers ses oppresseurs. S'il n'en éprouve plus, il sera son sujet tout le reste de sa vie, même s'il dit qu'il ne les aime pas.
La haine et colère des patriotes s'expliquent. Aux élections générales de 1834, le Parti Patriote a remporté 77 des 88 sièges. Hors, malgré son élection majoritaire, il ne possède aucun pouvoir de la chambre haute. Le gouverneur possède tous les pouvoirs décisionnels. le Général John Colborne s'en chargera ...
Les Patriotes s'insurgent contre les Britanniques. Leur révolte est écrassée sauvagement. Des villages entiers ont été saccagés. Ils ont été jugés par des tribunaux militaires expéditifs, tandis que les Patriotes anglais n'ont été que déportés au lieu d'être exécutés. Douze Patriotes seront pendus au lieu de subir la déportation car ils étaient francophones. D'autres furent aussi déportés.
Comment ne pas haïr nos ennemis?
8 octobre 2014
Monsieur Chartrand,
Madame Françoise David se définit comme « une souverainiste par défaut. Ce que je veux dire par là c’est que si le Canada anglais me faisait une proposition de fédéralisme réellement asymétrique donnant au Québec les moyens politiques, fiscaux, économiques et culturels de ses choix, j’accepterais. »
Pour ma part, je ne considère nullement que Québec Solidaire est un parti indépendantiste. Pour s'accaparer une partie de l'électorat, ce parti est prêt à jouer double-jeu.
Lors des élections de 2012 (il n'y a pas si longtemps), au moins 50% des gens sondés qui votaient Québec Solidaire, voteraient « Non » à un référendum portant sur l'indépendance du Québec.
Québec Solidaire est le parti le plus ambivalent que je puisse connaître.
Source: [Choisissez votre Parizeau (N° 232 - septembre 2004)]
Personne ne suit Mario Boulet. Soyez le premier!