Québec solidaire est un échec
5 avril 2014
Très, très intéressant comme analyse.
Nous avons besoin d'une équipe intègre
À l'ère de la délibération permanente
Pour décoder le discours de François Legault
5 avril 2014
Très, très intéressant comme analyse.
5 avril 2014
En allant voter ce lundi, en mettant mon vote dans l’urne, j’aurai une pensée pour tous ceux et pour toutes celles qui ont lutté pour qu’advienne ce pays tant souhaité : Groulx, Papineau, De Lorimier, Borduas, Lévesque, Miron, Payette, Aquin, Vaillancourt, Duceppe, Beaudoin, Feretti, D’Allemagne, Vallières. Et la liste n’est pas exhaustive. Une pensée et un hommage pour leur vaillance!
28 mars 2014
Y a pas d'erreur! C'est exactement ce que nous avons vécu et ce que nous risquions de voir arriver si nous avions eu la mauvaise idée de voter pour un gouvernement autre que péquiste. Mais cela n'arrivera pas!
Nous aurons un gouvernement majoritaire du Parti québécois le soir du 7 avril. Et ce, tout simplement parce que notre peuple n'en peut plus de la corruption libérale, n'en peut plus de cet irrespect total de nos us et coutumes, n'en peut plus de cet affront à notre démocratie.
Nous vaincrons parce que la plateforme électorale du Parti québécois s'adresse à l'ensemble de la population et rejoint ses préoccupations les plus essentielles.
28 mars 2014
Entièrement d'accord avec vous, monsieur Le Hir! Aucune alternative à ce constat.
11 mars 2014
Compte tenu que Radio-Canada-CBC et La Presse-Gesca sont nettement du côté des fédéralistes, notamment et principalement libéraux, et ce, depuis de nombreuses années, il est pertinent que le Journal de Montréal, le Journal de Québec et TVA, en autres, se dotent maintenant d’une ligne éditoriale qui reflète une vision souverainiste et indépendantiste, dans le droit fil de la pensée de son fondateur et de celle de son actuel actionnaire majoritaire. Cette pratique est juste et bonne, dans une démocratie digne de ce nom, afin de refléter la réalité politique d’ici.
L’idée de Couillard de vouloir bâillonner monsieur Péladeau, un de ses adversaires politiques les plus importants, de le châtrer, de l’émasculer en quelque sorte, quant à l’expression de sa vision politique, en lui demandant de vendre ses actions dans Québecor et en l’obligeant à taire toute influence qu’il aurait, est complètement farfelue et signe son impuissance à faire accepter ses propres idées – malgré les sondages-bidon, les émissions de politique biaisées et les éditoriaux de ses petits amis – du fait bien simple qu’elles ne rencontrent pas les aspirations profondes de la majorité de la population.
24 février 2014
Monsieur Ricard,
J’aime le ton de votre billet, en ce qu’il appelle à l’action. Je constate que plusieurs des collaborateurs et des collaboratrices de Vigile sont, comme vous, des éveilleurs de conscience.
À ce moment-ci de notre évolution, et tout près d’une bataille importante pour notre destin collectif, il me semble, à mon humble avis, qu’il faut accélérer la marche de l’histoire. À cet effet, nous devons nous engager résolument à mettre en harmonie nos visions, nos conceptions, nos prises de conscience et nos actions concrètes, et ce, sans relâche.
Si je me fie à la créativité dont font preuve les associés-es de Vigile dans leur couverture de la réalité québécoise, il n’existe aucun doute, dans mon esprit, que nous saurons trouver les moyens pour parvenir à nos fins et voir advenir nos meilleures espérances.
Je plaide pour que nos constats soient le fer de lance de notre praxis.
Marcel Bernier
24 février 2014
Y a-t-il eu une conquête en 1760? Je ne sais pas, nous ne savons pas, nous n’y étions pas.
Maintenant, de colporter de tels bobards dans les manuels d’histoire pour perpétuer une mise en tutelle d’un peuple par un autre peuple est complètement sidérant.
Il faudrait quand même dire et redire que nous sommes en 2014 et qu’il est de première importance de se mettre à jour quant à l’évolution politique et sociale de notre collectivité.
28 janvier 2014
Les beaux esprits se rencontrent, selon l'adage.
Quoi qu'il en soit, je persiste à m'intéresser grandement à votre conception politique et je vous lis assidûment. À ce titre, je crois sincèrement que vous contribuez à alimenter la réflexion de vos concitoyens et de vos concitoyennes.
Je suis le cheminement de votre engagement, depuis le début de votre contribution à Vigile, et je constate qu'il se densifie selon l'axe d'un réel approfondissement et d'une réelle acuité sur notre situation. Il y a là une échappée belle vers une désaliénation et une prise de conscience sur les possibilités de notre émancipation nationale.
N'ayez crainte : la pertinence de votre analyse ne peut que vous confortez dans la poursuite de votre combat, qui est le combat de tout un peuple!
28 janvier 2014
Une des femmes les plus articulées que j'ais eu le bonheur de lire sur le sujet de la laïcité, je suis très heureux qu'elle ait accepté de se joindre à l'équipe de Vigile. Merci.
21 décembre 2013
J'aime bien votre point de vue, monsieur Godin, et je serai heureux de vous lire, tout autant que les multiples collaborateurs et collaboratrices œuvrant sur Vigile, permettant ainsi qu'il devienne de plus en plus un phare de conscientisation.
D'ailleurs, excusez du peu, ce Vigile, à l'opposé de certains médias qui prônent la négligence (n'est-ce pas l'opposé de la vigilance) devient le pendant québécois de Médiapart, qui n'en finit plus de mettre en relief les désinformations, les intoxications et les distorsions de la presse grand public.
6 décembre 2013
Monsieur Simard,
Votre analyse et vos constats sont d'une luminosité étincelante.
Non! Il n'est pas dit que nous allons sombrer dans l'obscurantisme.
La France a eu ses Lumières, à nous maintenant de vivre notre Nitescence.
4 décembre 2013
La mauvaise pièce est terminée.
Nous en sommes à une nouvelle étape de notre émancipation nationale.
Heureux, enfin, que ce triste personnage ait quitté la scène.
Imaginez! Cet individu, suite à une faillite familiale, s'est constamment investi à se refaire une respectabilité, dans la plus pure saga de parvenus, achetant des médailles, se faisant octroyer des titres qu'il ne méritait pas, se conduisant comme les nababs américains du siècle dernier en investissant dans les arts (déductible d'impôt) jusqu'à se servir du musée des Beaux-Arts comme salle de réception.
Et que dire de Gesca, cet empire médiatique qu'il contrôlait, tellement qu'il en est venu à acheter la conscience d'un Pratte ou d'un Dubuc pour vomir sur notre projet d'indépendance.
Désolé! Mais l'argent n'achète pas tout, et surtout pas l'honorabilité. Ni le respect de ses concitoyens et de ses concitoyennes.
Dernier acte dans l'édification posthume de sa petite personne : la transmission d'une cérémonie commémorative par Radio-Canada-CBC.
C'est d'un ridicule achevé et d'une bassesse innommable!
Oui! Une oraison funèbre pour un traître à la nation par une société de propagande.
Rien de nouveau sous le soleil!
Personne ne suit Marcel Bernier. Soyez le premier!