Nos ennemis les médias et l’esprit de désertion
29 octobre 2007
P.S. - Depuis le temps que je cherche l'origine du nom GESCA, je crois l'avoir trouvé! Voici: Groupe d'Éditeurs au Service du Canada Anglais.
Comment pourrait-on justifier une obligation pour le Québec de procéder par voie de référendum avec une telle preuve d'ingérence malhonnête et subversive de la part d'Ottawa.
UN MESSAGE À PAULINE MAROIS ET MARIO DUMONT
Une occasion rêvée se présente à vous pour prendre le pouvoir cet automne, avant qu'il ne soit trop tard.
GESCA c. Vigile.net
Lettre ouverte à Pauline Marois et Mario Dumont
C'est maintenant ou jamais qu'il faut vous unir pour faire la souveraineté
Il n'y a que deux façons d'accéder au statut d'État indépendant reconnu souverain en droit international, soit par une élection à double majorité (majorité de sièges et de votes) ou par référendum.
29 octobre 2007
P.S. - Depuis le temps que je cherche l'origine du nom GESCA, je crois l'avoir trouvé! Voici: Groupe d'Éditeurs au Service du Canada Anglais.
28 octobre 2007
Je suis entièrement d'accord avec votre exposé.
Les fantoches au service de l'empire Desmarais qui écrivent dans les journaux de la société Gesca sont programmés pour démolir tout ce qui dérange le processus machiavélique enclenché par P.E.Trudeau en 1982. La nouvelle Charte et nouvelle Constitution du Canada permettent à Ottawa d'envahir nos champs de compétences par son droit de dépenser et ainsi, graduellement, centraliser tous les pouvoirs à Ottawa. En faisant du Canada un pays bilingue et multiculturaliste, il peut ainsi infiltrer le Québec d'immigrants anglophones pour continuer l'oeuvre de Lord Durham visant à assimiler et minoriser les Québécois francophones.
Quant au journal Le Devoir, l'arrivée de l'éminence grise du PLQ, John Parisella, au conseil d'administration et de Michel David, anciennement au service de Gesca, semble avoir contaminé ce quotidien en faisant disparaître son objectivité.
Les publications Péladeau semblent être au neutre sur la question politique.
Je crois toujours que le PQ doit enclencher le processus d'indépendance le plus tôt possible, aux prochaines élections, en promettant à la nation québécoise que si on portait le PQ au pouvoir avec une majorité de sièges et de votes, l'Assemblée Nationale donnerait suite à leur choix et leur volonté en déclarant l'indépendance du Québec. Ça devrait être le thème principal de la prochaine campagne électorale.
Tout le processus d'un référendum contrôlé par Ottawa serait évité. De plus, si on ne réussit pas cette fois-ci, on recommence au prochain suffrage.
Il faudrait quand même s'assurer que seuls les vrais citoyens du Québec aient le droit de voter, pour ne pas se faire voler comme en 1995.
26 octobre 2007
Ouf!!! Comme ça doit puer dans les réserves du West End de Montréal, du West-Island et de l'Outaouais où les améranglais ont tellement peur qu'ils font dans leurs culottes.
Ils ne s'attendaient pas à une contre-offensive à leurs attaques contre le fait français québécois. Je crois qu'ils ont réveillé la fierté des québécois et ils vont en payer le prix.
Est-ce que nous voyons la naissance d'un régime matriarcat avec une Dame Marois plus fière, plus tenace et plus rassembleuse que nous espérions? Je le souhaite.
24 octobre 2007
Une attitude bien typique de nos bons québécois!
Depuis qu'elle est élue chef du PQ, on n'arrête pas de lapider Mme Marois. Elle devra peut-être se réfugier à Hérouxville où c'est défendu. L'encre du projet de loi 195 n'était pas encore sèche qu'on lui est tombé dessus à bras raccourcis. Les chefs des autres partis politiques, les journalistes entretenus par les financiers fédéralistes, la minorité anglophone du Québec et les porte-paroles du Canada anglais ont tous crié haut et fort que le projet est illicite, antidémocratique, contre la Charte des droits du Canada, etc... Même certains péquistes notoires y ont mis leur grain de sel.
Donnons donc une chance à Madame Marois de faire ses preuves.
Laissons-lui le temps de rassembler les souverainistes québécois pour qu'elle puisse prendre le pouvoir avec une majorité suffisante pour enclencher le processus d'indépendance.
Je crois qu'elle est plus rusée et plus tenace que l'on croit et je lui fais entièrement confiance. L'intuition et la détermination féminine lui serviront certainement pour réussir là où d'autres ont échoué.
24 octobre 2007
Les anglophones nous attaquent de toutes parts pour faire disparaître la langue française au Québec et les valets québécois de sa majesté la reine d'Angleterre veulent nous empêcher de nous défendre.
Madame Marois a le courage de répondre par la bouche de ses canons, comme l'a fait Frontenac en 1690 quand Sir Willian Phipps a voulu attaquer Québec.
On voit très bien la panique s'emparer du clan fédéraliste et si on n'arrête pas la menace d'assimilation des Québécois francophones immédiatement, demain il sera trop tard. Il faut être aveugle pour ne pas voir que les fédéralistes se servent de l'immigration comme un des moyens insidieux de nous assimiler. Ils augmentent les quotas d'immigrants tout en diminuant les fonds pour leur permettre de s'intégrer à la population francophone du Québec.
Madame Marois ne devrait pas reculer devant l'offensive menée pas les journalistes de Gesca et autres journaux contrôlés pas des intérêts fédéralistes, dont le Devoir fait maintenant partie depuis que le C.A. de ce journal accueille d'influents fédéralistes.
Si Madama Marois tient son bout, le Parti Québécois remontera dans l'estime des souverainistes qui ne savent plus à quel parti se vouer pour obtenir notre indépendance.
M. Charest veut empêcher la présentation du projet de loi mais je crois que seul un vote majoritaire de l'Assemblée Nationale pourrait l'empêcher.
13 octobre 2007
Pourquoi tant d'arguties autour d'une question référendaire qui ne pourra être posée aux québécois que si elle est validée par le pays duquel on veut se séparer, selon la Loi sur la Clarté de Stéphane Dion.
Il n'y a qu'une seule façon de faire du Québec un pays indépendant; il faut procéder par la voie électorale à double majorité. Il peut y avoir une coalition des partis indépendatistes pour obtenir une majorité de sièges et de votes, ce qu'il leur serait assuré en se basant sur les résultats des dernières élections.
S'il n'y avait pas de coalition, les partis en faveur de l'indépendance pourraient signifier leurs intentions par la voie des médias et sur leurs affiches électorales. Les candidats s'engageraient formellement à voter pour l'indépendance à l'Assemblée Nationale s'ils étaient élus.
Avec plus de 50% des votes et d'élus en faveur d'un Québec indépendant, le peuple aura donné à l' Assemblée Nationale le mandat de réaliser l'indépendance.
Il ne reste plus qu'un geste de bonne volonté de la part des chefs de partis qui pourraient se partager les honneurs et passser à la postérité pour avoir réussi là où leurs prédécesseurs ont échoué.
J'ai expédié un texte à cet effet qui a paru dans Tribune libre fin septembre.
11 octobre 2007
Tant que les partis souverainistes du Québec seront divisés et que leurs chefs n'auront d'autres ambitions que de viser la job de Premier Ministre d'une province canadian,on peut oublier l'indépendance du Québec.
Seul un pacte de coalition entre les partis souverainistes leur permettrait de prendre le pouvoir lors de la prochaine élection, avec une majorité de sièges et de votes, si on se fie aux dernières élections où le PQ,l'ADQ et le QS réunis ont récolté plus de 62% des sièges et des votes. Un tel résultat lors d'un vote référendaire leur donnerait un mandat reconnu en droit international pour établir une nouvelle constitution pour le Québec indépendant.
L'union fait la force et c'est le temps ou jamais de réunir les souverainistes maintenant que toutes les conditions gagnantes sont arrivées. Mme Marois et M Dumont, notre sort est entre vos mains. Vouloir c'est pouvoir; alors profitez de l'occasion pour dire aux Québécois que vous voulez leur donner un pays pour qu'enfin nous soyons maîtres chez nous.
2 octobre 2007
Comme j'écrivais dans ma lettre ouverte à Mme Marois et M Dumont, publiée le 1er octobre dans la section Tribune Libre, il n'est pas encore trop tard mais c'est maintenant ou jamais. Si nos chefs de partis n'agissent pas avant les prochaines élections pour former une coalition pour l'indépendance, alors il sera trop tard.
29 août 2007
C'est le même Claude Garcia, alors président de la Standard Life, qui, lors du référendum, a menacé de déménager sa compagnie à Toronto si le Québec devenait souverain.
S'agit-il d'un plan machiavélique pour déménager la direction d'Hydro-Québec en Ontario pour ensuite faciliter le projet de construction d'une ligne de transmission traversant le Québec pour amener l'électricité du Labrador vers l'Ontario, sans aucun bénéfice pour le Québec, ce à quoi s'objecte, avec raison, le gouvernement québécois.
22 août 2007
Je suis entièrement d'accord avec M. Boileau. Si le PQ ne change pas de cap avant les prochaines élections, je n'aurai d'autre choix que de le laisser tomber pour joindre le Parti Indépendantiste en voie de formation, avant qu'il ne soit trop tard et que nous soyons réduits à une faible minorité ethnique dans le Canada anglais.
23 juillet 2007
La seule partie du Canada actuel qui date de plus de 400 ans est le Canada français (Québec) découvert par Jacques Cartier qui en prit possession au nom du Roi de France en 1534. (433 ans)
Champlain a pris possession de Terre-Neuve et de l'Acadie en 1603 (404 ans) mais ce territoire tomba aux mains des Anglais entre 1710 et 1745. La Nouvelle-Écosse et le Nouveau- Brunswick ne font partie du Canada que depuis 1867.(140 ans) Terre-Neuve n'en fait partie que depuis 1949. (56 ans)
C'est la Ville de Québec, première ville du Canada français, fondée par Champlain en 1608, qui fêtera ses 400 ans en 2008.
Le Canada français fut conquis par les Anglais en 1759 et abandonné par les Français en 1763 (244 ans).
L'Ontario n'existe que depuis 1791, (216 ans) lorsque la Province of Québec fut agrandie et divisée en deux parties, le Haut-Canada (Ontario) et le Bas-Canada (Québec).
L'expansion du Canada par les provinces de l'ouest et les Territoires du Nord-Ouest se fit entre 1870 et 1905. Sans l'annexion de Terre-Neuve en 1949, le Canada anglais d'aujourd'hui n'existe que depuis 102 ans.
Le Québec, l'Acadie et Terre-Neuve sont les seules provinces canadiennes qui peuvent célébrer plus de 400 ans d'existence en toute légitimité.
23 juillet 2007
Comment peut-on comparer deux choses complètement distinctes?
L'histoire du Québec remonte à 1534 quand Jacques Cartier a découvert le Premier Canada dont le territoire était celui du Québec actuel plus le Labrador.
Ce sont les colons français et leurs descendants qui ont peuplé et développé le Premier Canada. Ils ont fondé la ville de Québec en 1608 et Montréal (Ville-Marie) en 1642.
Les Anglais nous ont pris notre pays par les armes en 1759 et
la France nous a abandonnés à notre sort en 1763.
Les Anglais nous ont minorisés dans le Canada anglophone d'aujourd'hui et nous traitent comme une monorité ethnique. Ce n'est pas un accommodement raisonnable que nous voulons; nous sommes les descendants des fondateurs du pays et nous voulons qu'ils nous rendent ce pays qui nous appartient en toute légitimité et qu'ils nous laissent vivre en paix, comme de bons voisins.
Les différentes ethnies immigrées ou nées au Canada d'aujourd'hui, ou au Québec, sont venues de leur plein gré et ont accepté d'observer nos lois. Quand ils contournent nos lois au nom d'une religion du moyen-âge, (kirpans, foulards, écoles qui ignorent les règlements du Ministère de l'éducation, etc..) ils ne peuvent être comparés à la majorité québécoise qui veut qu'on lui rende son pays.
Personne ne suit Lionel Lemay. Soyez le premier!