Faut le lire pour le croire

Vigile est devenu un repaire de mange PQ

Bye bye !

Tribune libre

Une sorte d’endroit idéal pour descendre le PQ et ses chefs, les uns après les autres.
Fait que, si j’étais fédéraliste, je subventionnerais Vigile pour qu’il continue longtemps à aider les souverainistes à se cannibaliser.
C’était drôle un bout de temps mais c’est devenu une entreprise de démolition avec quelques enragés irresponsables, insultants pour ceux qui ne sont pas de leur opinion.
Bye bye !


Laissez un commentaire



28 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    12 juin 2009

    M. Gaston Boivin écrit : «les fédéralistes se sont emparés de façon dédaigneuse de ce mot "séparatiste" et il l’utilise de façon démoniaque»
    Comment ça, démoniaque ? On ne doit pas avoir honte de ce qu'on est et ne pas nous cacher dans le placard.
    Au Québec, on a des fédéralistes, des souverainistes avec association ou partenariat, des "confédérationistes", des souverainistes sans association avec le ROC. Ils se qualifient d'indépendantistes, ce qui est la séparation du Québec d'avec le ROC, pour être clair, des séparatistes. Si ce mot avait été si vilain, jamais M. Chaput ne s'en serait qualifié avec fierté et ce n'est pas à l'adversaire de nous priver de nous en servir si ça nous chante.

  • Gaston Boivin Répondre

    10 juin 2009

    @Monsieur Bousquet,
    Ouais! Un séparatiste, c'est un séparatiste! Tout comme un fédéraliste, c'est un fédéraliste et tout comme un confédéraliste, c'est un confédéraliste. Mais pourquoi donc avoir si peur du mot indépendance, est-ce parce qu'il s'accommode si bien des mots "autonomie", souveraineté", et "liberté" (dont celle d'exercer tous les pouvoirs, incluant celui de légiférer dans tous les domaines et de créer sa propre haute cour et de cesser ainsi d'être condamné
    à voir sa législation être rapetissée continuellement par une créature issue d'un pouvoir étranger au sien) et qu'il est totalement allergique aux mots "Soumission" et "domination".
    Quand on discute entre nous, "les séparatistes", on ne parle pas de séparatisme mais d'indépendance et l'on ne se désigne pas comme séparatistes mais comme indépendantistes. D'une part, parce qu'un séparatiste, c'est avant tout un indépendantiste et comme tel, ce mot nous désigne plus pour ce que nous sommes vraiment et il est plus porteur du pays qui est en nous que nous voulons faire reconnaître officiellement que de celui que nous voulons quitter parce qu'il emprisonne le nôtre tout en le niant et en ignorant ce que nous sommes vraimment. D'autre part, depuis Marcel Chaput, les fédéralistes se sont emparés de façon dédaigneuse de ce mot "séparatiste" et il l'utilise de façon démoniaque et , dans ces conditions, il est préférable, somme toute, de leur en laisser l'utilisation si l'on se respecte le moindrement.

  • Gaston Boivin Répondre

    10 juin 2009

    @Monsieur Bousquet,
    Ouais! Un séparatiste, c'est un séparatiste! Tout comme un fédéraliste, c'est un fédéraliste et tout comme un confédéraliste, c'est un confédéraliste. Mais pourquoi donc avoir si peur du mot indépendance, est-ce parce qu'il s'accommode si bien des mots "autonomie", souveraineté", et "liberté" (dont celle d'exercer tous les pouvoirs, incluant celui de légiférer dans tous les domaines et de créer sa propre haute cour et de cesser ainsi d'être condamné
    à voir sa législation être rapetissée continuellement par une créature issue d'un pouvoir étranger au sien) et qu'il est totalement allergique aux mots "Soumission" et "domination".
    Quand on discute entre nous, "les séparatistes", on ne parle pas de séparatisme mais d'indépendance et l'on ne se désigne pas comme séparatistes mais comme indépendantistes. D'une part, parce qu'un séparatiste, c'est avant tout un indépendantiste et comme tel, ce mot nous désigne plus pour ce que nous sommes vraiment et il est plus porteur du pays qui est en nous que nous voulons faire reconnaître officiellement que de celui que nous voulons quitter parce qu'il emprisonne le nôtre tout en le niant et en ignorant ce que nous sommes vraimment. D'autre part, depuis Marcel Chaput, les fédéralistes se sont emparés de façon dédaigneuse de ce mot "séparatiste" et il l'utilise de façon démoniaque et , dans ces conditions, il est préférable, somms toute, de leur en laisser l'utilisation si l'on se respecte le moindrement.

  • Archives de Vigile Répondre

    10 juin 2009


    Signor Perez,
    Quel auteur célèbre a dit: "Les femmes, en se contredisant,
    ne se contredisent jamais".

    Giuseppe Verdi a composé à ce sujet un opéra connu: La donna
    è mobile...
    Je ne suis pas Doctus-ès-femmes, loin de là. J'aime trop mon
    statut d'homme et j'ai trop joui du plaisir de casser la
    gueule à des hommes pour y renoncer. Lorsque j'ai peur d'un
    homme, c'est de moi-même que j'ai peur, non de l'autre. J'ai déjà attendu mon homme pendant trente ans pour lui régler son compte. Sans haine ni rancune bien entendu. Lorsqu'un homme a besoin d'apprendre à vivre, il faut le lui montrer une journée ou l'autre.
    Par contre, j'admire les femmes pour leur capacité de s'adapter à des conditions changeantes et de ne pas se laisser piéger par les mots comme font les hommes.
    Ce sont des hommes et leurs fixations sur les mots qui ont inventé l'Inquisition et ce sont encore les hommes fixés sur des mots abstraits et idéologiques qui provoquent d'indescripibles désordres alors qu'ils prétendent imposer une loi et un ordre donné.
    Ce sont les mots pour les mots qui mènent une foule d'hommes chez les psy, souffrant de ce que Freud a appelé névrose obsessionnelle, désordre mental causé par les fixations sur les mots pour les mots. Il est parfois impossible d'en sortir. (Cf, Bemerkungen über einen Fall von Zwangsneurose. Freud 1904)(Je l'ai étudié à Vienne.Très intéressant)
    Certes, il existe des mots qui ne créent pas d'obsessions. Ce sont les mots statutaires et les mots principes qu'on utilise en géopolitique et en stratégie d'État. Ce ne sont pas des termes idéologiques, mais dynamiques.
    Ces mots sont relationnels, comme l'existence qui est relation en acte et en puisasance. Ils ne sont pas rationnels et fixes.
    Ce que Madame Marois a dit il y a deux ou trois ans est dit et passe. Ce qu'elle dit maintenant témoigne d'un changement de contexte et de situation dont elle prend peu à peu conscience alors que des militants restent fixés sur les mots pour les mots.
    Avec elle. j'ai utilisé un mot principe: REVIREMENT, que vous ne trouverez dans aucune idéologie. Elle a acquiescé et elle en a compris le sens.
    Elle voit ce que je vois: que le Canada est en train d'imploser. Un autre mot-principe qui ne provoque aucune fixation.
    Voyez comment John Ibbitson, qui s'en rend bien compte, est en train de devenir fou avec son idée fixe sur le Bloc.
    Vous ne le voyez pas? Vous ne voyez que des théories et des idéologies? Géographe, je n'ai aucune idéologie. Je vois ce qui est et ce qui devient.
    Certes, vous n'avez pas lu le livre de l'italienne Maria Bellonci sur la vie de Lucrèce Borgia. C'est dans ce livre que j'ai appris à écrire Yativa de la manière dont elle l'écrit et que j'ai appris autre chose que ce que j'avais déjà appris à l'U de M au sujet du clan Borgia, que vous qualifiez de "noble".
    Vous comprenez que, prolétaire du quartier Saint Henri à Montréal et élevé sur les bords du canal lachne, la noblesse, m'importe peu. Comme mes parents et grands parents ont beaucoup insisté sur une scolarisation avancée, alors je me suis adapté.
    Comme officier de l'armée avec l'OTAN en Allemagne, j'ai travaillé avec la noblesse prussienne, des Junkers, des Kroll, des von Brûhl et des von Kleist et je me suis bien entendu avec eux comme il convient de le faire en toutes circonstances.
    Maria Bellonci écrit comme une auteur italienne préoccupée par ce qui s'est passé dans son pays et dans la papauté alors que le clan espagnol (appelez-le noble si vous voulez) dominait la scène politique et religieuse des débuts de la Renaissance.
    Comme géographe spécialisé et sans idéologie, je ne me contredis pas. Alors remettez le bûcher pour une autre fois.
    JRMS

  • Archives de Vigile Répondre

    10 juin 2009

    M. Yvan Parent écrit : «Dans un courriel que j’ai reçu de lui, M. Bousquet disait que dans sa jeunesse il était un jeune séparatiste. À ma connaissance aucun indépendantiste ne se définit comme séparatiste, c’est un terme utilisé par les fédéraux pour faire peur aux moineaux»
    M. Parent, vous avez probablement oublié qu’un des pères de l’indépendance du Québec, M. Marcel Chaput avait écrit un livre en 1961 où il se qualifiait de séparatiste « : Pourquoi je suis séparatiste, suivi de quatre autres écrits politiques/Marcel Chaput; préface de Michel Venne, Bibliothèque québécoise, Montréal, 2007, 263 pages (Première éd., Montréal : Éditions du Jour, 1961)»
    Ce n’est pas Trudeau ou Chrétien qui a inventé ce mot là. Ils s’en servaient bien pour amplifier leurs propos, mais un chat est un chat et un sourd est un sourd, pas seulement un mal entendant. Si un Québécois veut se séparer du ROC mais qu’il a peur de se dire séparatiste, c’est qu’il a peur de faire peur.

  • Archives de Vigile Répondre

    9 juin 2009

    M. Parent
    Quelle est votre solution ?
    On a compris votre exposé concernant le PQ passé ou actuel, mais encore...
    Jeter le PQ aux poubelles de l'Histoire, recommencer à neuf ?
    Ce n'est pas très écologique et toujours conforme à la même pratique du consommer/jeter après usage. Aujourd'hui on ne jette plus les contenants, on s'en sert pour mettre du contenu, on le consomme et on l'utilise à nouveau pour du nouveau contenu, le même ou un autre...
    Quel est votre contenu et dans quel contenant voulez vous le déposer si le PQ n'est plus apte à le recevoir ce contenu. Et, comment ferez vous l'UNION de toutes les composantes de la mouvance souverainiste seule capable de faire face à l'UNION canadianisatrice ?
    Le PQ-Rentre-dedans ce n'est pas participer au débats en cours en se contentant de blâmer. Hors le blâme il y a l'analyse, les post-mortem à faire, le leçons à tirer et... de cette critique doit émerger l'énoncé de ce qu'il reste à faire et du comment de ce faire. Il n'est pas question de s'abstenir de critiques, de constats, fussent-ils sévères, et encore, il y a un temps pour le faire, mais il est question de refuser, de combattre le PQ-Rentre-dedans divisif qui fait l'affaire trop bien des canadianisateurs.
    Le PQ-Rentre-dedans c'est quand le blâme est systématique, omniprésent, sans nuance, abusif, sans autres considérations, même à la veille des élections, et pendant ce temps les canadianisateurs sont au pouvoir. Qu'est-ce qu'on y gagne... le saccage de la CDPQ ? C'est ça le programme du PQ-Rentre-dedans.
    Pour le reste, il y a la critique, et ça tombe bien, nous pouvons hors élections maintenant débattre pour faire des prochains rendez-vous électoraux à Rivière-du-Loup, à Montréal, à Ottawa et à Québec des élections à chaque fois décisives, de plus en plus décisives. Il n'en tient qu'à nous.
    Quel est votre Programme ? Et, comment parvenir à faire sur l'essentiel l'UNION souverainiste qu'il faut pour emporter l'adhésion de ce peuple souverain du Québec qui nous est cher ?
    Votre abstinence sera aussi parlante que votre parole. Elles nous indiqueront si vous êtes partisans canadianisateurs du PQ-Rentre-dedans de la division ou critique honnête et constructif de ce qu'il nous faut édifier ou ravaler, pour la suite des choses. Et, les changements cosmétiques sont à bannir, autant ceux qui veulent plaquer sur le PQ l'insignifiance du discrédit tout azimut, que le placage de mesures et plans d'action incomplets et insuffisants.
    Nous sommes d'accord, ce qui est sur la table est incomplet et insuffisant, mais encore...
    Voir aussi dans la même veine ma contribution au titre :
    A tous les lecteurs et lectrices de VIGILE - Nestor Turcotte 9 juin 2009

  • Archives de Vigile Répondre

    9 juin 2009


    Il est absolument pénible de lire certains commentaires sur le texte déprimant de Gilles Bousquet. Ça vole bas. Lisez bien le texte, le commentaire de M. Sergio de Rosemont. Si on critique le P.Q. c’est que ce parti nous a trahi, il a trahi son but premier, sa raison d’être, si vous n’arrivez pas à comprendre ça, les Gilles Bousquet et comparses déprimants, c’est que Vigile est devenu une congrégation de conquis, de oui mais et de p’têt bin qu’oui, p’têt bin non.
    Ouvrez-vous les yeux, les oreilles et l’intelligence et voyez les dernières déclarations de Mme. Marois. Lisez bien avec ouverture d’esprit et vous verrez que ce qu’elle propose au fond en allant chercher des pouvoirs à Ottawa est de gouverner une PROVINCE pas un pays. Pourtant, l’expérience, les événements prouvent que le fait de quêter des supposés pouvoirs et des subventions ne fait qu’allonger les lamentations de Jérémie, arides et destructrices. C’est ça que vous appelez un P.Q. dynamique et indépendantiste. La belle affaire, elle a parlé de référendums. Elle a donné à Ali Baba Charest des munitions et, bien sûr. Il s’en sert. Au lieu de dire pourquoi on devrait avoir l’indépendance pour motiver la population, elle se rend elle-même ridicule et vous avez la crédulité de penser qu’Ottawa va nous prendre au sérieux ? C’est totalement risible et qu’on le veuille ou non, actuellement c’est ça le P.Q.. C’est le P.Q. qui l’a élue. Nous critiquons le P.Q. parce qu’il n’est plus que l’ombre de lui-même. Il y a quelques jours j’ai cru l’espace d’un instant que Mme Marois avait repris contact avec une grande qualité, le courage, mais en fouillant dans ses récentes déclarations on voit que ce n’était que de la poudre aux yeux et vous voudriez qu’on l’encense ? Revenez sur terre les Bousquettistes attristants.
    Dans un courriel que j’ai reçu de lui, M. Bousquet disait que dans sa jeunesse il était un jeune séparatiste. À ma connaissance aucun indépendantiste ne se définit comme séparatiste, c’est un terme utilisé par les fédéraux pour faire peur aux moineaux. Faire l’indépendance c’est se prendre en main, se réunir, s’autodéterminer, se séparer c’est couper, s’isoler créer un brisure. La nuance est importante. Comprenne qui peut.
    Ivan Parent

  • Archives de Vigile Répondre

    9 juin 2009

    À monsieur René Marcel Sauvé,
    Nous sommes esclaves de nos écrits et de nos paroles et maître de nos silences
    Vous écrivez : « Seul à défendre Madame Marois. Vous isolez les phrases hors texte et hors contexte. »
    Espérant que cette preuve soit suffisante pour rebattre ce que vous affirmer :
    (...) les divergences qui ont persisté et qui persistent encore au PQ ne nous ont pas empêchés de regagner l’opposition officielle avec une représentation parlementaire de 51 députés. Qui résiste gagne , dit-on. Effectivement, cette volonté de la famille souverainiste de résister pour libérer le Québec de la tutelle centraliste d’Ottawa doit prévaloir avant tout autre intérêt particulier ou intérêts des groupes organisés à l’intérieur du parti (...)*.
    Mme Pauline Marois fait partie de cette famille souverainiste ?
    JLP
    _______________
    *. Extait de Aux frustrés* du PQ (publié à Vigile.net).
    Note. Monsieur René Marcel Sauvé, pour vous rappeler vos propres contradictions, voici une de celles-là : « (…). Ce n’est pas madame Marois qui prendra le risque de le leur rappeler (…). Et tant mieux lorsqu’une population en ignore les principes, surtout au Québec, où tout le monde doit être aimable et gentil comme notre chère Pauline Marois, alors que nos propres pouvoirs d’État sont en jeu. Soyez sûrs et certains que notre charmante dame ne se mouillera pas les pieds ». Extrait de votre article intitulé Madame Marois a décidé de ne rien décider (publié à Vigile.net jeudi 6 mars 2008).

  • Archives de Vigile Répondre

    9 juin 2009

    Bonjour
    C'est à vous de choisir.
    Si vous continuez avec nous:
    « Il est indispensable de se sacrifier quelquefois. C'est l'hygiène de l'âme. » (Jean Cocteau 1889-1963)
    Si vous décidez de partir:
    « L'absence est le plus grand des maux. » (Jean de La Fontaine 1621-1695)
    Salutations à tout le monde.

  • Archives de Vigile Répondre

    9 juin 2009


    Seul à défendre Madame Marois. Vous isolez les phrases hors
    texte et hors contexte.
    JRMS

  • Archives de Vigile Répondre

    9 juin 2009

    @ MichelG
    Vous avez écris «
    Cette tactique fédéraliste est toujours la même : se déguiser en indépendantiste pur et dur et attaquer à tous coups le Parti Québecois en incitant à toutes les divisions ADQ, QS, PI, et autres groupuscules supposés souverainistes en ayant pour seul but de faire réélire et réélire Charest . Et ces serpents anti Québecois fédéralistes pensent que nous ne nous en rendons pas compte et se trouvent intelligents. Diviser pour règner est leur slogan Ces divisionnistes fédéralistes commandités savent que pour détruire la nation Québecoise il doivent nous priver de tous les médias dont Vigile et semer la discorde permanente entre les indépendantiste contre le PQ en nous faisant perdre notre temps.
    »
    À vous lire Seul le Parti Québécois aurait le droit de ce dire « SOUVERAINISTE »
    alors qu'on a affaire qu'à un parti autonomiste qui semble vouloir devenir qu'une copie de l'ADQ !
    Que connaissez-vous de Québec solidaire pour nous insulter MONSIEUR en nous traîtant de serpents anti Québecois fédéralistes ?
    Nous au moins NOUS SOMMES DES SOUVERAINISTE on fait pas semblant comme au Parti Québécois !
    Comme c'est bizarre n'est-ce pas ? Lorsque les péquistes et leurs petit club privé
    du SPQ-Libre se permet de bitcher et de vômir leur mépris sur les petits tiers partis
    ha là tout est beau on chiâle pas .
    Par contre si quelqu'un ôse remettre la monnaie de sa pia$te au PQ à là mais là
    on on crie au scandale !
    Donc si j'ai bien compris 2 poids 2 mesures , ce qui est bon pour le PQ n'est pas bon pour les autres n'est-ce pas ?
    Monsieur le péquiste votre parti a eu 30 ans , oui 30 ans pour le prouver que vous
    étiez vraiment un parti souverainiste .
    Si le Parti Québécois ne s'aurait pas trahis et trahis le peuple en foutant dans le
    13 ème tirroir les 2 raisons de sa création soit d'être souverainiste et social-démocrate
    alors sûrement qu'il y aurait pas autant de reproches contre lui !
    Merci de l'Attention porté à mon message
    Sergio de Rosemont
    Membre de Québec solidaire Rosemont
    http://sergio_de_rosemont.monblogue.com/

  • Archives de Vigile Répondre

    9 juin 2009

    Tout seul et mal accompagné... ?
    « Ne me laissez pas seul dans le champ de bataille monsieur Bousquet... » JRMS
    Êtes-vous vraiment tout seul monsieur René Marcel Sauvé (JRMS), dans ce champ de bataille que serait devenu Vigile.net ?
    Jean-Louis Pérez

  • Jean-Yves Durocher Répondre

    9 juin 2009

    Je suis heureux de constater que M. Parizeau est devenu un mange PQ,
    Regardez bien le clip suivant
    http://www.tagtele.com/videos/voir/39184
    et remarquez que M. Parizeau nomme Vigile deux fois... Positivement en plus...
    Remarquez que son discours avait comme but de dire que l'Indépendance est au plus haut point dans des sondages internes du BLOC, mais que l'opinion des électeurs envers le PQ et le BQ n'est pas tellement haute. Il est donc mange PQ, C.Q.F.D.
    En passant il n'y a pas plus de 150 personnes qui ont regardé ce discours, avec les cents dans la salle, cela ne fait que 250 personnes qui savent ce qui se passe...
    C'est bien beau se lire, mais il faut aussi écouter ce que les Manges PQ ont a dire..

  • Archives de Vigile Répondre

    9 juin 2009

    Monsieur Bousquet,
    Puis-je vous redire ce vers de Miron:
    «J'arrive à ce qui commence».
    Dans tous les moments cruciaux de notre histoire, c'est une guerre qui se livre; c'est précisément nos ennemis, jusque dans les officines d'un premier ministre, prétendument de tous les canadiens, voire issu de notre peuple, qui le disent, s'en réclament...
    Comprenez le salaire longtemps secret que le Parti Libéral donne à son chef! Le premier ministre du Québec est l'homme de main de tous ce qu'il y a de «canadianisateur». Qui finance cette «bourse au rendement»?
    Que des confusionnaires vous démoralisent, vous attaquent, décrient nos rares forces, comment s'en étonner?
    Courage, monsieur Bousquet. La dernière période ne fait que commencer. Le prochain morceau du casse-tête, c'est la mairie de Montréal.
    Il nous est donné maintenant de faire l'histoire. Le compte à rebours est commencé.
    Vous lire nous solidarise! Persistez: «Nous arrivons à ce qui commence»!
    Gaëtan Dostie

  • Archives de Vigile Répondre

    9 juin 2009

    M. Bousquet, je trouve bizarre que maintenant que le PQ a fait un virage à 180 degré vers un plan plus musclé, suite aux critiques des militants, vous choisissez ce moment pour vous retirer.

  • Archives de Vigile Répondre

    9 juin 2009

    Humaniste hollandais (1469-1536) :
    « Si l’on consulte l’histoire, l’on voit que jamais l’État ne fut si mal gouverné qu’aux périodes où le pouvoir était tombé aux mains des philosophards et des plumitifs. »(Grand Papa)

    Preuve que ce n'est rien de nouveau, mais suggérez vous que les philosophards et plumitifs qui écrivent sur Vigile ont le pouvoir de l'État entre les mains ?
    Je n'ai pas encore vu les Bouchard-Taylor ou leurs lieutenants institutionalisés venir commenter sur Vigile !

  • Archives de Vigile Répondre

    9 juin 2009

    Bonjour M. Bousquet, je peut vous dire avec certitude qu'il y a un groupe qui est sincère dans ses actes et c'est le RRQ , vous avez probablement remarquer que quand il parle les gestes suivres contrairement à d'autre groupe ou organisation indépandistes ou souverainiste.
    Lucien Lalonde

  • Archives de Vigile Répondre

    9 juin 2009

    Bonjour M. Bousquet,
    Je suis d'accord aussi avec vous. Et j'ai souvent admiré le courage que vous aviez de vous situer en porte-à-faux de ce discours, je serais portée à dire de fond, que l'on retrouve systématiquement ici, hélas. Heureusement, il y a des "résistants" à ce PQ-rentre-dedans, comme dit " Archambault. Et il y a des critiques objectives comme la dernière de M. Barberis-Gervais devant le Plan pour un Québec souverain.
    J'aurais envie de vous dire: "ne lâchez pas!" car sans être toujours d'accord avec vos propos ou vos arguments, je trouve que vous êtes le seul à oser parfois réagir à ces excès et vous le faites à votre façon, unique. Et ce même lorsque l'on vous soupçonne ou vous accuse d'être fédéraliste... Moi, tout comme vous, je soupçonne d'autres formes d'action ou de discours d'être - consciemment ou non - de précieux soutiens au fédéralisme. Les "tirs amis"?
    Bonne journée
    Nicole Hébert

  • Archives de Vigile Répondre

    9 juin 2009

    Fait que, si j’étais fédéraliste, je subventionnerais Vigile pour qu’il continue longtemps à aider les souverainistes à se cannibaliser.(Gilles Bousquet)
    Avez-vous déjà fait cette proposition au PQ l'orsqu'il était au pouvoir ? Ou faut-il absolument être fédéraliste pour subventionner un média au Québec ?

  • Archives de Vigile Répondre

    9 juin 2009

    Ce qui nous fait cruellement défaut c'est une DOCTRINE D"ÉTAT.
    Doctrine: "unité de pensée" Sun Tsu
    Cette unité ne peut se faire que si on refait corps avec notre État.
    UN: Pour en reprendre le plus tôt possible le contrôle pour arrêter le saccage du PLQ.
    DEUX: Pour poser des actes afin de lui donner toujours plus de consistance et augmenter sa potentialité. Le changement de statut ne peut découler qu'un rapport de force favorable, d'où l'importance critique de la potentialité de notre État..
    Pzas trop compliqué.
    JCPomerleau

  • Michel Laurence Répondre

    9 juin 2009

    Vous avez tous les deux raison.
    Il y a une différence entre critiquer le PQ pour le faire bouger, lui faire réaliser qu'il a longtemps été dans le champ (même Monsieur Parizeau l'a dit samedi dernier aux IPSO) et la critique négative qui ne vise qu'à diviser.
    Relisez le communiqué du PQ de dimanche dernier (Le Plan) et vous en concluerez qu'elle même y a fait beaucoup de PQ "bashing".
    Dans un texte intitulé Et si le drapeau du Québec pouvait parler il nous dit : « Reconnaissez-vous, unissez-vous, rassemblez-vous, arborez-moi fièrement partout et en tout temps, je saurai être votre phare dans la nuit, votre soleil dans le jour. Je vous le dis et vous demande de vous en souvenir, rien n’est plus triste qu’un drapeau sans pays ! »
    Nous qui voulons survivre et grandir comme Québécois, nous qui voulons que la langue française survive et progresse en Amérique du Nord, nous qui voulons un pays, nous devons nous rassembler et nous transformer en un tsunami populaire qui balaiera toute opposition sur son passage.
    Non pas un parti politique, mais un mouvement citoyen rassembleur qui saura unir tous les Québécois et les partis politiques souverainistes et indépendantistes.
    Ce tsunami, commence déjà à se lever, il s’appelle le Rassemblement pour l’indépendance nationale, le R.I.N. !

  • André Taillon Répondre

    9 juin 2009

    M.Bousquet, démolir pour mieux reconstruire voila ce que vous devriez percevoir à travers la grogne Québécoise.
    J’ai ressèment démoli ma vieille maison je n’avais pas le choix il y avait trop de pourriture qui n’était pas visible de l’extérieur. J’ai conservé que la fondation qui était en parfaite condition. Aujourd’hui j’ai une maison toute neuve.
    VOILÀ ! Ce que les gens de la base désirent enlever la pourriture de ce parti pour mieux reconstruire notre PAYS !
    André Taillon

  • Michel Guay Répondre

    9 juin 2009

    Cette tactique fédéraliste est toujours la même : se déguiser en indépendantiste pur et dur et attaquer à tous coups le Parti Québecois en incitant à toutes les divisions ADQ, QS, PI, et autres groupuscules supposés souverainistes en ayant pour seul but de faire réélire et réélire Charest . Et ces serpents anti Québecois fédéralistes pensent que nous ne nous en rendons pas compte et se trouvent intelligents. Diviser pour règner est leur slogan
    Ces divisionnistes fédéralistes commandités savent que pour détruire la nation Québecoise il doivent nous priver de tous les médias dont Vigile et semer la discorde permanente entre les indépendantiste contre le PQ en nous faisant perdre notre temps.

  • Archives de Vigile Répondre

    8 juin 2009

    Bonjour
    Je suis d'accord avec votre texte.
    ÉRASME
    Humaniste hollandais (1469-1536):
    « Si l’on consulte l’histoire, l’on voit que jamais l’État ne fut si mal gouverné qu’aux périodes où le pouvoir était tombé aux mains des philosophards et des plumitifs. »
    Il faut se permettre maintenant et ensemble l'avenir que nous voulons.
    Salutations à tout le monde.

  • Jean-François-le-Québécois Répondre

    8 juin 2009

    Mange PQ?
    Je ne sais pas... Certains contributeurs, oui, je dirais. Mais une question légitime se pose: est-ce le parti en question, aurait fait quelque chose pour s'attirer un tel traitement?
    Écoutez, au moment où j'écris ceci, le PQ demeure le seul parti politique qui peut enlever le pouvoir à Charest, c'est un fait. Alors, aux prochaines élections, je voterai peut-être bien pour le PQ, comme je l'ai fait aux dernières (même en voyant le navire Boisclair couler).
    Maintenant, il est vrai qu'avant ses toutes récentes déclarations, Mme Marois avait passé à peu près tout son temps à la tête de l'opposition officielle, sans prononcer une seule fois publiquement les mots souveraineté ou indépendance ...
    On pourrait remonter encore un peu plus loin dans l'histoire récente du parti, et parler de l'ère Boisclair... Je crois qu'on pourrait en dire long sur la campagne qu'il a menée. Notamment en participant à un sketch d'un goût bien douteux, avec deux humoristes d'une médiocrité sans précédent... C'est hélas l'une des principales choses dont le public se souviendra, concernant André Boisclair; je n'aimerais pas être à sa place, je l'avoue.
    Respectons le PQ pour les bonnes et grandes choses qu'il a fait pour le Québec, oui, mais avouons que si tant de critiques ont été adressées à la dite formation politique, depuis un certain temps, c'est parce qu'il avait certaines mises au point qui devaient y être faites, au PQ!

  • Christian Montmarquette Répondre

    8 juin 2009

    Si le PQ ne s'était d'abord trahi lui-même et était demeuré fidèle à l'indépendance et à la sociale-démocratie, il n'y aurait jamais eu une telle division.
    C'est à se demander qui divise qui...
    Salutations militantes tout de même,
    Christian Montmarquette

  • Archives de Vigile Répondre

    8 juin 2009


    Raison de plus pour rester monsieur Bousquet et défendre
    notre cause. Voyez comment j'ai été écorché lorsque j'ai
    écrit à propos de ma rencontre avec Pauline Marois à Laval
    dernièrement.
    De tempérament bilieux et colérique, ce qui revient au
    même j'aime la bagarre surtout lorsqu'elle va loin et dure
    longtemps. Qui veut se battre avec moi est sûr d'être bien
    servi.
    Ne me laissez pas seul dans le champ de bataille monsieur
    Bousquet. J'ai vécu cette solitude dans l'armée seulement
    pour apprendre qu'on ne gagnera jamais de guerre de cette
    manière.
    JRMS

  • Archives de Vigile Répondre

    8 juin 2009

    Effectivement M. Bousquet, les fédéralistes doivent se réjouir de voir autant de division dans notre mouvement... Je lisais quelqu'un récemment qui écrivait qu'il voulait fonder un (autre) vrai parti indépendantiste. Selon moi, cette personne doit être un fédéraliste déguisé en indépendantiste car c'est là une excellente stratégie pour éparpiller le vote souverainiste et ainsi faire élire de nouveau les libéraux. Il faut absolument que cesse toutes ces querelles et que naisse enfin une grande coalition de toutes les forces indépendantiste pour qu'enfin nous puissions espérer avoir bientôt notre pays!
    Unis nous vaincrons!