Récemment on a pu lire sur Vigile des textes que j’ai écrits sur les médias et Le Devoir en particulier. En commentaire ou en texte principal, quelques personnes se sont insurgées contre le fait que je m’en prenais à ce si bon journal. Au départ j’ai toujours mentionné que les autres médias importants comme La Presse et Le Journal de Montréal, de Québec et les autres quotidiens régionaux faisaient exactement la même chose. J’ai particulièrement ciblé Le Devoir pour des raisons que j’ai déjà expliquées, entre autres son hypocrisie parce que se prétendant un journal libre, ce qu'il n'est manifestement pas.
Pour l’instant, la vérité dans les grands médias, ça n’existe pas. Ils sont tous contrôlés et laissent filtrer que l’information que leurs propriétaires veulent bien laisser passer, vraie ou carrément fausse.
J’ai aussi dit que Le devoir, au niveau culturel, était sans comparaison avec les autres feuilles de chou, La Presse, organe de propagande connu de Power Corporation (Le Devoir est aussi par personne interposée sous sa botte) et Québécor qui se permet dans un de ses grands quotidiens de Toronto de salir le Québec, les pires saletés jusqu’à maintenant. Que faire alors, là est la grande question à propos de laquelle je dois vous avouer: je n’ai pas vraiment de réponse.
Dans Le Devoir que je connais un peu plus car j’y suis abonné, il est d’une clarté limpide que la politique locale est traitée mensongèrement souvent par abstention ou déformation. La population sait de plus en plus que dans un journal, la position des articles, les photos utilisées influencent le lecteur. Je mentionnais récemment comment la position en troisième page d’un article appuyant François Legault et sa photo le faisant apparaître comme un grand homme va certainement influencer le lectorat surtout qu’un peu plus loin, on en voyait une de Pierre Curzi et Louise Beaudoin tellement mauvaise qu’il devenait claire que Le Devoir avait sciemment voulu dévaluer ces deux personnages en passant une photo si mauvaise que même un écolier expérimentant sa nouvelle caméra n’aurait même pas produit. Que Le Devoir ait laissé passer ça est un aveu notoire de culpabilité de sa désinformation courante.
Tant qu’à la formation politique de Jean-Martin Aussant, l’Option Nationale qui offre un programme infiniment mieux structuré et intelligent que le CAQ, c’est le silence total. Dans le code de désinformation officiel et largement utilisé, c’est la ‘’technique no 1, l’Évitement’’. On dit :’’ Ne pas écouter la controverse, ne pas la voir, ne pas en parler. Si elle n’est pas rapportée, elle n’existe pas et il n’y a pas lieu de s’en occuper’’. La ‘’technique no. 2’’ serait aussi à mentionner : ‘’Superficialité’’. On dit : ‘’N’abordez la controverse qu’en périphérie, sur les points mineurs, voire pittoresques. Éviter soigneusement les points clés de l’argumentation’’. Des techniques comme ça il y en a 25 que je mettrai sur Vigile s’il y a une demande.
Ça, c’est pour la petite politique d’ici, mais, en ce qui a trait à la politique de guerre, aux mensonges utilisés pour l’amorcer et pour justifier les horreurs qui en découlent, c’est carrément décapant et ça, c’est la spécialité de Serge Truffaut du Devoir. Regardez dans ce journal tous les articles signés AFP, l’Agence France Presse ou Reuters ou même La Presse Canadienne c’est de la bouillie pour les chats, on vous bourre le crâne de ce qu’on veut que vous croyiez. Particulièrement l’Agence France Presse (AFP) qui inonde de mensonges les pages du Devoir que celui-ci, bien sûr, ne prend pas la peine de vérifier, c’est du copier/coller de ce que l’oligarchie veut que l’on croie.
Ce phénomène de désinformation de guerre a été rapporté par plusieurs sources indépendantes. À la fin de ce texte, je vous ai inclus l’adresse de l’une d’entre elles. Tenez-vous bien, c’est décoiffant. Vous comprendrez pourquoi je m’en prends souvent au Devoir prétentieux et à Serge Truffaut, son ‘’père Ovide’’, son rapporteur officiel. Vous aurez compris que cela n’innocente pas les autres médias. Je n’ai pas vingt ans mais jamais je n’ai vécu dans une société où la population ne se retrouvait à ce point nageant dans le mensonge étatisé, officialisé. La pseudo popularité de Legault nous en offre un exemple éloquent.
Ivan Parent
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