Le constat est dur. Un constat d’échec. Vingt ans après le référendum de 1995 — et quatre jours après le séisme électoral de lundi —, le mouvement indépendantiste se trouve bel et bien dans un « champ de ruines », pour reprendre l’expression de Jacques Parizeau.
Cet aveu sans complaisance vient de l’avant-garde indépendantiste du Québec, le jeune parti Option nationale (ON), fondé par Jean-Martin Aussant. Le chef d’ON, Sol Zanetti, appelle à « refonder » le mouvement par une vaste consultation des sympathisants indépendantistes de tous les horizons.
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OPTION NATIONALE
Pour cesser de «déprimer»

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