La mauvaise couleur

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QS veut des quotas ethniques : le communisme racial de la nouvelle gauche

La transformation des sociétés occidentales causée par l’immigration massive est la grande question de notre temps. Chaque jour, d’une manière ou d’une autre, on la rencontre et quoi qu’en disent les bonimenteurs autorisés du système médiatique, la diversité n’est pas toujours une richesse.


Diversité


Elle peut être source de tensions, surtout quand certains défenseurs du multiculturalisme en viennent à diviser la population en catégories raciales, et cela, paradoxalement, au nom de l’antiracisme. Elle l’est encore plus quand elle place ces groupes en concurrence et donne des privilèges particuliers aux nouveaux venus, que l’on cherche à faire passer pour de la discrimination positive.


On apprenait hier que Québec solidaire entend ainsi privilégier massivement les populations issues de la diversité pour les nouvelles embauches dans la fonction publique. Elles n’y seraient pas assez représentées. Il faudrait conséquemment leur réserver un traitement préférentiel. Pour QS, il ne faut pas embaucher les gens selon un critère de compétence, mais pour remplir des quotas. Quant aux Québécois « à l’ancienne », ils devront accepter de ne pas être vraiment dans la course. Ils ont la mauvaise couleur de peau. Désolé ! Les Blancs sont de trop ! Si ce n’est pas du racisme, qu’est-ce que c’est ?


Montréal


La Ville de Montréal va dans le même sens. Pour favoriser des candidats issus de la diversité, elle révisera ses règles d’embauche traditionnelles. Selon les responsables de la Ville, les pratiques actuelles d’embauche seraient coupables d’encourager la discrimination systémique.


On retrouve ici le détestable procès en racisme mené contre la société d’accueil. La population a beau avoir exprimé de mille manières son opposition au concept de racisme systémique, la bureaucratie multiculturaliste poursuit son implantation dans les institutions, et particulièrement à Montréal où la mairesse y est favorable.


Au nom de la diversité, on explique aux natifs qu’ils sont de trop. S’ils protestent, on les accusera de racisme. Comme d’habitude.