(pamphlet)
Le premier octobre 2018.
Je me souviens que je sauve ma nation et embarque sur la frégate péquiste! Ce sont les Anglais : pourfendeurs de Canayens rabelaisiés, qui sont un peuple sans histoire et sans culture !
Un Enfer eut suffi, mais bon… Certes, il vaut mieux un enfer sans anglais qu’un ciel avec cent! Vaut mieux un impôt en séances de torture que de payer la dette du Haut-Canada. – Certes Victorius, ce Haut-Canada phagocyteur et mange-Canayens, la double gueule de la colonisation, trappe à ours des patriotes, et chaque fois que nous voudrons reprendre possession de notre CANADA, c’est avec sa peau et ses symboles mêmes que les anglo-britanniques vont nous combattre, baptisant le canada volé de 1867 ; ils emportèrent de force tous les Canayens dans la trappe schizophrénique de contrats d’affaires économiques imposés, et comme les loyalistes n’ont pas de nom, ils ont baptisé ce contrat Canada qui d’ailleurs n’a, à ce jour, qu’une version anglaise. Qui souhaite traduire un viol…? Un peuple n’est pas une entente d’exploitation économique, on a intimidé et empêché de voter le peuple de la Judée du St-Laurent. Et quelques années plus tard, on a volé son hymne de la Saint-Jean-Baptiste. Le vol d’un nom, surtout quand le maître prend celui de l’esclave, scelle le sort d’une minorité, rend confus les identités, et laisse le mal schizophrénique s’installer à demeure, un viol est une action d’intimité non consentie, il écrase la dentelle des contours de l’identité pour en faire une boue fangeuse où l’assimilateur lui demeure au sec, chanteur de son viol chaque fois avec l’Ô Canada de Lavallée-Routhier dans le Oh! Canada bâtardisé. Oh! n’est pas Ô, le voleur en flagrant délit qui crie ou s’interroge d’un Oh! mais Ô confère au sublime : Tadoussac, Capitale du Nouveau Monde, rien à voir avec ces fourbes d’anglais pâles comme camembert crémeux, et qui ne pratique que le sexe de conquête, bref, ils ont la teinte le plus souvent de gland à la pénombre. Un França, c’est rose, c’est ben trop en santé pour franchement se côtoyer, on fait venir alors un médecin politique en Durham pour avoir un diagnostic de condamnation, après on pourra tuer le chien, nommer le crime et le mal, une notion de civilisation à l’anglaise, et emprunter au lexical pathologique, un autre stratagème. Même aujourd’hui, le Durham contemporain, Sir Charles Taylor, va faire une commission médico-politique sur le mutisme indépendantiste, ses plaies de lit, ce repli persistant qui est un T.O-C clinophile de colonisé, lève-toi et prends pays, avant que le toubib ne trouve la pharmacon délétère, la posologie, dit-il, est de le civiliser en le principe de l’accommodement civique. Mais il avait oublié, le Sir en hautes sphères du Château à palissades McGill, l’accommodement forcé de 1760 qui faillit prêt tout exterminer, de ce qui reste de tissage serré en mode survie, et il faudrait que la Cabane à sucre soit maintenant onusiée, et perdrait le bébé avec l’eau d’érable. ¨Un peuple sans culture et dont l’histoire n’est qu’immigration¨ et il ajoute, Sir Taylor, ¨un peuple qui a peur d’être changé…¨ Oui, et alors, qui n’a pas peur de mourir, et vous les censeurs réfléchis à la Durham et Taylor, votre médecine de mort, elle ne s’applique pas aux autres membres de l’ONU, double standard de ces branleurs tranquilles se servant de leur porte-voix de dignité intellectuelle pour ne plus avoir à nourrir le geôlier, celui qui a tort de croire qu’il a encore une existence en ce pays, et par surcroît, d’aucuns veulent toujours en avilir le sang bleu de la carotide st-laurentienne, en notre Judée, oui des traîtres d’ici, libralistes et Caqnanistes, et des Taylor d’ici et d’ailleurs veulent empoisonner l’eau tranquille du harfang blanc dans la pharmacon délétère du pétrole des champs bitumineux. Après cet historique premier octobre 2018 de la fatiguée histoire canayenne, oui, on va reparler de ce poison aux Québécois, oui, la boisson noire dans le fleuve, telle elle notre prochaine plaie d’Égypte!
À moins que… jeunes, ressaisissez-vous, ne vous pardonnez pas de ne pas savoir, de croire la mort supérieure au sentiment national!!! Surtout, n’allez pas du côté des Solidaires sectaires favorisant grandement les politiques sales de ces ramsès d’Ottawa.
Je vote PQ, car l’insubmersible volonté trouve sa force dans la vérité qui se défend toujours d’elle-même!
Pourquoi cette joie au cœur, bien loin de la constante noyade annoncée, exulte toujours au PQ, c’est bien là le fait que sous ses hospices c’est déjà le goût de la liberté, celle-ci s’y trouve déjà!!!
Normand McCluskey
(extrait de Titanhabitus, Tome II, livre religiopoliticométaphysique, disponible en 2019)
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