Dernière heure: aucune crise au PQ aujourd’hui!

Pacte électoral - gauche et souverainiste



Ça arrive dans les meilleures familles, pas vrai?
Quarante-huit heures après la fugue de trois de siens, et 24 heures après le départ d’un quatrième, Pauline Marois est prête à reprendre presque tous ces gens-là.
Presque?
Ah, bon, OK, Lisette aussi.
Magnanime Pauline.
Ils lui plantent un couteau dans le dos.
Ils lui disent qu’elle ne l’a pas du tout.
Mais pas du tout: autoritaire, électoraliste cheap, opportuniste, manque d’écoute, un air irrespirable…
À part ça, rien de grave? J’en oublie?
Et elle leur dit: OK, je vous comprends, j’ai fait des erreurs, revenez les enfants.
On ne dira pas qu’elle n’est pas fine.
Moi, personnellement, je l’aurais pris personnel, comme qui dirait…
Imaginez quatre démissionnaires qui diraient ces choses-là de… Je prends un nom au hasard… Bernard Landry? Jacques Parizeau? Lucien Bouchard?
Aïe…
Bien entendu, le PQ étant le PQ, on devise déjà du mérite de réintégrer les brebis égarées et tout un chacun s’ouvre de ses états d’âme à tous vents.
Et on apprend, logiquement, que le caucus est divisé sur cette idée. Qui ne le serait pas?
Mais quand même, 24 heures sans crise péquiste, ça fait presque drôle.

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Pacte électoral - gauche et souverainiste

{{un projet de pacte électoral }} Entre idéologie et stratégie On devrait retrouver 2 grands volets dans l’action indépendantiste. - démontrer les avantages pour le Québec de devenir indépendant - démontrer les désavantages pour le Québec de demeurer dans la fédération canadienne. _ Le PQ ne fait ni l’un ni l’autre. Tout ce que l’on entend, ce sont des propos vagues et timides sur... "le pays"... puis, le vide. - [Source->http://www.vigile.net/La-logique-pequiste#forum59925] ----

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