Belle langue mal aimée, le francais
Défis de l'acceuil des immigrants au Québec
Non à une francisation "béyescisante"
"Je regrette ces 3 années passées à l'école de francisation. Oui je parle le français, parfois mieux que des voisins natifs d'ici, mais la caissière au Super C ne prend pas mes mots pour du cash", se plaint une francisée et bénéficiaire de l'aide sociale, en attente désespérée d'un emploi. Ça fait des années que j'entends le monde autour de moi, parler de la francisation comme une stratégie efficace d'intégration de...