L’indépendance se fera avec un programme électoral inédit*
13 janvier 2016
J'ai trouvé ce commentaire de Pierre Charbonneau éclairant.
http://vigile.quebec/Lettre-ouverte-a-ceux-qui-sont#comment114051
Fondation du Québec
Liberté et Justice
Fondation du Québec
Pour que le fond remonte
Avec respect
Cap sur l'indépendance
Il y a jeunes et jeunes
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Avril et 6 mois avant
Cap sur l'indépendance
Élection mandataire en 2018
Suivi des partis québécois
Majeurs et mineurs
Cap sur l'indépendance
À image régionale ou plurinationale ?
Cap sur l'indépendance
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Suivi politique québécois
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Cap sur l'indépendance
Enclencher ou déclencher
Cap sur l'indépendance
Bref exposé et alternative
Cap sur l'indépendance
Élection «mandatoire» 2018
Cap sur l'interdépendance
Poids électoral et âge
Partis politiques québécois
La CAQ et ON en feu !
13 janvier 2016
J'ai trouvé ce commentaire de Pierre Charbonneau éclairant.
http://vigile.quebec/Lettre-ouverte-a-ceux-qui-sont#comment114051
12 janvier 2016
Mon plus fort souvenir de Jean-Paul L’Allier est un soir de Conseil où il avait fait front à un jeune citoyen hors de lui je dirais, pour ne pas dire agressif, baveux. Il l’avait écouté avec calme puis invité à présenter sa demande à l’endroit qui convenait. En deuxième position, la façon dont il avait traité ma demande concernant le financement de notre télé communautaire dans les 90, avant la fusion. Mon troisième, l’avoir entrevu retraité sur le terrain de sa résidence à l’Île, avec vue imprenable sur Québec.
Mon meilleur souvenir de Bernard Landry date du 11 octobre 2001; ce matin là, je l’ai croisé, sans escorte policière, à ma marche matinale sur l’anneau-promenade face au Musée national du Québec, près de la Grande-Allée. Je n’avais jamais été aussi proche physiquement d’un premier ministre du Québec. En deuxième position, Jean Charest à l’inauguration de la Promenade Champlain, un verre de mousseux à la main, un dimanche matin aussi ensoleillé et en troisième, Pauline Marois, un 23 juin, quittant dans le noir, escorté de son conjoint le spectacle musical de la Fête nationale.
Plus tard dans la journée, M. Landry allait assisté à la translation des restes du général de Montcalm au Cimetière de l’Hôpital-général et à l’inauguration du Mémorial de la guerre de Sept ans.
12 janvier 2016
À Gaston Carmichael,
Est-il possible de procéder à un référendum sans avoir à d’abord déloger le PLQ ou éventuellement la CAQ du pouvoir ? Je dirais non. Ça peut nous mener à plus tard que le projet Liberté-Nation de M. Guy Bertrand.
http://www.republiquefederaleduquebec.com
Il faut trouver autre chose et pour le moment, ça ne me semble pas Option nationale ou Québec Solidaire.
À François Ricard,
J’ai essayé de retrouver sans succès ou vous avez écrit qu’il y avait trois ou quatre façons d’accéder à l’indépendance; de mémoire, déclaration unilatérale, élection référendaire, référendum, révolution du peuple.
À Jean-Louis Pérez-Martel,
Vous écrivez en annexe « Ce programme inédit sera présenté à la fin de 2016 par une nouvelle formation nationaliste en assemblée générale avec le seul mandat de réaliser l’indépendance du Québec, ainsi que la rédaction et la ratification par les Québécois de la Constitution de la République du Québec. »
Par formation politique, vous parlez d’un parti politique ou d’un mouvement politique ? Par exemple, un parti présenterait des candidats, un mouvement n’en présenterait pas.
11 janvier 2016
"Par conséquent, si l’on sait que l’État canadien avait affirmé qu’il ne respecterait pas les résultats en cas de victoire du OUI lors des référendums de 1980 et 1995, alors l’autre moyen démocratique le plus redoutable que l’électorat souverainiste a comme légitimité politique, c’est celui d’un plébiscite à travers des élections-référendaires."
Affirmer la deuxième partie de la phrase, c’est l’exposer à la question, à la réflexion et à la conversation écrite ici.
À cet égard, j'ai lu sur le blogue de Jean-François Lisée, là,
http://jflisee.org/le-pq-et-le-referendum-le-parti-doit-entendre-les-quebecois/#comment-62805
Francois Ricard conclut un court commentaire « De plus, une fois au pouvoir, le PQ demandera au peuple de se donner une constitution républicaine démocratique.
Le peuple décidera alors, soit par une élection référendaire ou soit par un référendum, s’il veut adopter cette constitution. »
C’est en commentaire à la position suivante de M. Lisée, 08/09/2014 :
À mon avis, deux avenues seulement sont possibles : rester sourd à l’humeur actuelle des Québécois, revenir immédiatement à la charge avec notre projet, sous une forme ou une autre, aux élections de 2018, se cogner durement la tête sur le mur de l’opinion et ainsi donner pour longtemps les clés du pouvoir aux Libéraux. À moins d’un imprévisible retournement de situation d’ici-là, j’estime que les Québécois fermeront les portes du pouvoir à un PQ qui voudrait mettre, au prochain rendez-vous électoral, l’État au service de son option.
10 janvier 2016
Vous marquez plusieurs points,
Je m'améliore comme Québécois à vous lire, c'est dire...
Au sujet de Stéphane Gobeil, Josée Legault plane longuement sans plant à planter, sans plan aussi, ce n’est pas son gagne pain et beurre. Je n'ai rien contre le pain ni le beurre, consommés avec modération.
J'envie la façon qu'elle a de tricoter clair, serré serré.
Sur ce sujet d’actualité, elle fait un constat un peu long à lire mais combien instructif, historique et mince d’espoir :
http://www.journaldemontreal.com/2016/01/07/au-dela-du-cas-stephane-gobeil
dont ce paragraphe :
« Enfin, côté CAQ, on fait miroiter aux francophones le miroir aux alouettes d’un nationalisme «décomplexé» au sein du Canada en sachant fort bien – le contraire serait tout de même étonnant -, qu’il n’y a plus le moindre interlocuteur hors Québec le moindrement intéressé par cette marchandise depuis les échecs de Meech, de Charlottetown et la victoire du Non au référendum de 1995. »
Tout de gault go go, je me répète comme l'Autre faisait : Au sujet de Stéphane Gobeil, Josée Legault plane longuement sans plant à planter, sans plan aussi, ce n’est pas son gagne pain et beurre.
Mieux écrire en commentaire ici que là où dans une galaxie à inventer ?
8 janvier 2016
« Nous ne pouvons nous permettre un autre échec référendaire. »
Sur ce point en fin de votre article, je ne suis pas d'accord; je pense complètement comme dans ce commentaire ici ailleurs de Jean-Jacques Nantel.
http://vigile.quebec/Lettre-ouverte-a-ceux-qui-sont#comment113911
7 janvier 2016
Tendres, Braves, et dans l’ordre inverse, pour faire sinon égalité, soucis paritaire où faire mieux que les personnages politiques Jean Charest, Pauline Marois et Philippe Couillard.
(pour faire foncièrement androgyne plutôt que femelle ou mâle, pour rejoindre féminité et masculinité, où l’adaptabilité superpose de façon asymétrique et fonctionnelle le talent personnel tant génétique que culturel depuis la nuit des temps, dont je ne suis pas, ce qui a assuré la survie de l’humain et sa place écrasante maintenant mais inquiétante donc non-enviable parmi les animaux)
J’accueille comme bonne pour le peuple plurinational québécois cette nouvelle concernant Stéphane Gobeil, naïvement, sans plus de connaissances et d’expérience donc d’explications, où vous avez sans doute des réserves pour vos connaissances particulières et vos préférences politiques.
La politique est affaire de conversation, dont l’écrite, d’émotion, de raison et de musculation; pour la rime, j’aurais écrit muscles.
- Question ?
-
- Action !
En dernier paragraphe, bonne question au PQ. Qui doit y répondre : 1 - son chef, PKP; 2 - son Conseil national; 3 - un congrès national; 4 - aucune de ces réponses; 5 toutes ces réponses.
Je pars un compteur.
5 janvier 2016
Depuis 45 ans que le PQ est dû pour un changement. François Ricard ici plus bas, 31 décembre 2015.
En 2011, le PQ était dû pour quatre changements d’après Alain Dubuc :
http://www.lapresse.ca/debats/chroniques/alain-dubuc/201110/27/01-4461896-au-suivant.php
C’est fait pour le PDG depuis mai 2015.
Qu’en est-il maintenant de sa marque, de son produit et de son marché ?
Que diriez-vous d'un changement de nom (marque) pour ramener à René Lévesque et signifier indubitablement que, désormais, ce parti ne prétend plus au monopole du produit Indépendance ?
4 janvier 2016
J’envisageais court et ça s’est chargé.
Sans vouloir faire retour à Joseph-Mignault-Paul Sauvé, 1960, mais plutôt suite à Bernard Drainville, 2014…
http://bernarddrainville.org/drainville/2014/08/13/province-ou-pays/
Suite aussi à Bernard Landry ? Comme notre célèbre compatriote Céline Dion, je ne sais pas.
http://www.repertoiredesartistesquebecois.org/Paroles.asp?IdParole=156
Attention aux paroles de Céline, selon son « toi » patriotique.
La musique j’imagine plus que les paroles va chercher ailleurs sur Youtube proche 10 millions d’auditeurs ! C'est à retenir comme hypothèse d'hymne national pour faire époque. À ce sujet, mon alternative est Le plus beau voyage de Claude Gauthier.
… Désormais, parlons de provincialistes plutôt que de fédéralistes, ça réduit de 75 % le nombre d’éventuels irrelevants adversaires dans un contexte de Déclaration américaine de l’indépendance de 1776. Et, si ce n’est pas suffisant, pour faire plus récent, de Charte de l’Atlantique, 1941. Merci Robert Dutil, vous m’êtes d’utile à agréable, pour ne pas être idiot utile.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Charte_de_l%27Atlantique
La politique est affaire de conversation, d’émotion et de raison.
@ André Gignac,
J’appuie votre remerciement à François Ricard et votre appréciation à Normande Imbeault.
Une législature majoritaire dure quatre ans, pas encore d’urgence, il en reste encore presque trois.
Vite un chef de mouvement plutôt que de parti ? Pourquoi pas, un mouvement est autrement règlementé qu’un parti côté financement. Avantageusement ?
Il y a lieu de départager la gérance des affaires pluri-nationales courantes et celle d’une démarche menant à notre présence aux Nations unies, en ces temps précaires, pour ne pas écrire pré-guerre.
2 janvier 2016
Il faut des gens et des idées qui nous amèneront à rêver de quelque chose de vraiment nouveau, quelque chose de neuf.
Le tableau joint donne à se questionner sur l’équité intergénérationnelle de notre système de représentation politique. Des Allemands et des Japonais y songent. Je travaille à l’idée.
J’y ai inclus en dernière colonne les pourcentages que vous nous fournissez sur les intentions de vote pour ou contre la souveraineté du Québec.
Le tableau révèle que les 65 et plus sont, à 34 %, les moins favorables à ce que notre territoire gradue de province à pays; ils sont largement supérieurs aux autres strates d’âge en poids référendaire, en nombre et en prévalence de leur droit de vote.
Vous noterez que les moins de 18 ans n’ont pas de poids référendaire; ils dominent largement les autres strates en années-personnes à vivre, en espérance de vie.
Avec le réchauffement de la planète et l’endettement collectif que nous connaissons, je souhaite un rééquilibrage, non seulement du poids référendaire mais aussi du poids électoral.
30 décembre 2015
Merci pour les statistiques intergénérationnelles, j'y reviendrai.
L’humain est un animal grégaire; le meilleur ou le pire, c’est selon.
Le mouton aussi. Paix mes agneaux, féminin agnelles, paix mes brebis, masculin béliers. Ceci écrit sans vouloir vous mettre en crisse ou en croix, voire en crois ou meurs, Madame Ferretti des premières heures n’est pas une moutonne :
http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/mouton_moutonne/53008
J’arrive au coeur de mon commentaire : un bélier doit-il suivre ses moutons ou une brebis son bélier en chef ?
Bêê… oui, ordinairement. Mais il revient aux béliers ou brebis de manifester leur insatisfaction et à ce jeu, il y a des brebis et béliers plus actif.ves que d’autres.
***
Il y a chef et il y a guide, par exemple Abraracourcix et Panoramix.
Parenthèse, j’ai lu qu’Hitler fut d’abord un guide puis par le cours des choses, il est devenu un chef, avec le succès que l’on raconte puis le désastre. C’était à une autre époque.
Que diriez-vous de Jean-François Lisée pour guide. Je trouve qu’il écrit solide et solidaire. Pas pour chef. De ce côté, plutôt Martine Ouellet et au moment opportun. Elle me fait penser à Margaret.
Dans Karl Marx ou l’esprit du monde de Jacques Attali, 2005, que j’aurais intitulé Les Marx, sans son épouse Jenny... comme j’intitulerais une autre histoire Les Péladeau, de la page 455 je retiens pour réflexion à partager : ce sont les individus qui font l’Histoire, et non les masses.
L’affirmer, c’est poser la question de qui sont faites les masses. En tout cas, ça rend la tâche de créer l’Histoire plus simple à réaliser.
20 décembre 2015
Le Québec ne manque pas de compétence en politique internationale et économique; vite de même, à vous lire.
La révolution russe en 1917 a réussi parce qu’à l’intérieur de trois semaines, des personnes compétentes étaient au bon moment au bon endroit. Je n’ai pas vécu, j’ai lu, c’est aux archives, dans mon grenier ou garage, je ne lis pas sur ce à tous les jours mais ça concerne le profond. Je retrouverais le nom de l’auteur, que ce soit ou pas Jacques Attali.
Ma première question naïve est où en sommes-nous maintenant des luttes anticolonialistes des années avant 1970 ? Ma réponse est nous n’en sommes plus là, que diable. Nous en sommes au Nord-Sud. Nous en étions je dirais, du bord d’elles, celui des suites de l’Empire sur lequel le soleil ne se couchait jamais, ou ne se levait jamais, je ne me rappelle plus, jusqu’en 1982. Et encore… J'en crois Robert Dutil, La charte de l'Atlantique, La Juste Inégalité, 1995.
Ça se nomme britannique, et le mot britannique qui fait du bien à certains majoritaires et mal à d’autres minoritaires, et l’inverse, fait parti de l’expression incontournable ou pas « Amérique du Nord britannique. Est-ce que l’Écosse, nation compagne de fortune ou d’infortune, veut encore de ça ? Et à quel escient ?
Personne ne suit Robert J. Lachance. Soyez le premier!