Vigile soutient Lisée
8 septembre 2017
J'ai l'impression de revivre 1976. Une fois c'est assez, non ?
Oserons-nous le faire et pousser plus loin pour chanter notre liberté?
Il y a eu la révolution orange. Il y a eu la révolution de velours. Pourquoi pas la révolution bleue ?
8 septembre 2017
J'ai l'impression de revivre 1976. Une fois c'est assez, non ?
12 mars 2017
Le PQ a tué le PQ. Je l'ai écrit il y a quelques années. Je ne pensais pas avoir raison à ce point-là.
Lors du prochain scrutin, et même avant, Martine Ouellet va parler de l'indépendance dans un autre parlement; Nadeau-Dubois va en parler fortement à Québec et Jean-François Lisée va inviter le reste de ses militants (?) à ne pas en parler avant 2022.
Tirez la conclusion: ceux qui voulaient nous libérer, en réalité, ont manqué à leur mission. Nous nous sommes trahis nous-mêmes.
21 janvier 2017
J'ai déjà écrit sur ce site, plusieurs fois, que l'erreur historique du parti de René Lévesque, a été d'introduire l'idée d'un référendum dans la programme de 1974.
Il y avait dans cette position la démobilisatoin des indépendantistes. Attendez, on vous dira quand ce sera le temps de se battre.
Si le PQ doit survivre ( puis-je en douter ) les nouveaux batailleurs devront inscrire dans le programme la démarche suivante: lorsque le Parti indépendantiste (à fonder) prendra le pouvoir avec la majorité des voix et la majorité des sièges, le parti aura l'obligation de décréter l'indépendance du Québec.
Si le PQ - ou ce qui en reste - l'indépendance serait faite. Il n'y a pas pire démobilisation que l'attentisme. Lisée dit: Attendons jusqu'en 2022.C'est le retour à une formule qui, non seulement n'est pas la bonne, mais qui n'a fait que dérailler le projet.
11 décembre 2016
Je le redis et je l'ai écrit depuis deux décennies: le PQ a tué le PQ. Si le PQ est mort, les indépendantistes doivent s'organiser autrement. Il faut un chef déterminé (Où est-il?). Il faut se trouver un nom qui frappe l'imagination. J'avais proposé, il y quelques jours, le Parti de la Libération du Québec. Un PLQ nouveau. Un PLQ rassembleur.
Je souhaite bonne chance à ceux qui voudront continuer la lutte. Mes 76 ans ne me permettent pas d'en faire encore plus que ce que j'ai déjà fait.
Le député de la circonscription où j'habite, leader de l'Opposition, ne parle pas d'indépendance. Ce qui l'intéresse, c'est le départ de Lisée pour essayer de prendre sa place. Ce serait un deuxième enterrement du PQ.
11 décembre 2016
Je le redis et je l'ai écrit depuis deux décennies: le PQ a tué le PQ. Si le PQ est mort, les indépendantistes doivent s'organiser autrement. Il faut un chef déterminé (Où est-il?). Il faut se trouver un nom qui frappe l'imagination. J'avais proposé, il y quelques jours, le Parti de la Libération du Québec. Un PLQ nouveau. Un PLQ rassembleur.
Je souhaite bonne chance à ceux qui voudront continuer la lutte. Mes 76 ans ne me permettent pas d'en faire encore plus que ce que j'ai déjà fait.
Le député de la circonscription où j'habite, leader de l'Opposition, ne parle pas d'indépendance. Ce qui l'intéresse, c'est le départ de Lisée pour essayer de prendre sa place. Ce serait un deuxième enterrement du PQ.
25 novembre 2016
Il y a des lustres que je dis que le PQ est dirigé par des non-indépendantistes.
Le dernier chef indépendantiste a été le GRAND et UNIQUE Parizeau.
3 octobre 2016
Alexande Cloutier et Jean-Françcois Lisée sont des fédéralistes déguisés. Le premier ne sait pas quand; le deuxième sait tellement qu'il met cela en 2022. Pourquoi pas 2032?
Il reste une femme merveilleuse qui a du coeur au ventre et qui veut se battre dès maintenant. Notre Madeleine de Verchères. Alors, ceux et celles qui vont voter, n'hésitez pas, ne vous trompez pas: elle est de la trempe d'un Pierre Bourgault que le PQ n'a jamais voulu qu'il soit élu à Québec. Si vous ne posez pas ce geste, dans quelque jours, il sera trop tard. Il vous faudra enterrer vos rêves avec la nomination d'un nouveau chef qui ne sait pas où il va et qui ne veut pas que ça se fasse dans un avenir rapproché. Martine est le SEUL choix pour ceux qui croient de toute leur âme que le pays à faire n'est pas dans l'attentisme mais dans le coeur qui veut le faire.
24 juin 2016
Albert Camus a écrit: "L'indépendance c'est d'abord le refus de toute négociation." Si le Québec veut prendre ce chemin, il fera l'indépendance. On se tient debout ou pas. Tout le reste n'est que verbiage et vendeurs de vent.
13 octobre 2015
Relisez LES INSOLENCES DU FRÈRE UNTEL (publié en 1960) et du même auteur DOSSIER UNTEL, Éditions du Jour,1973, pp.115-203. Les réformes se sont multipliées: rien n'a changé. La loi 101 ne protège pas la langue française. Ceux qui veulent bien la parler et bien l'écrire deviennent les sauveurs de la langue de Molière.
Un outil à mettre dans les mains de tous les étudiants: une grammaire commune. Puis, apprentissage sytématique du vocubulaire et retour à la dictée quotidienne.
C'est trop simple. Le ministre de l'Éducation ne pourra pas appliquer la loi du bon sens.
Nestor Turcotte- Matane
16 juin 2015
La volte-face du PQ
Le PQ semble avoir oulbié qu'il a mis un candidat dans la circonscription de Nicolet où se présentait M. Aussant, dans le but de le faire battre. Un bel exemple de luttre fatricide...
16 juin 2015
On semble oublier que le PQ a mis un candidat péquiste dans la circonscription afin de faire battre M. Aussant.
19 octobre 2014
L'indépendance doit sortir du peuple. Le poing en l'air ne suffit pas. Celui qui songe à faire du Québec un pays, doit l'incarner dans ses gestes quotidiens. Gandhi a libéré l'Inde de l'empire britannique. Il était issu du peuple et vivait comme le peuple. Son arme? Le jeune et la prière.
Vaclav Havel a réussi la révolution de velours. Il faut lire ses écrits pour se convaincre qu'il était avec le peuple, le faisant vibrer par ses discours qui transcendaient la partisanerie. Il a accompli sa mission en 6 mois. Puis est retourné à ses occupations. Avec le peuple.
Et je pourrais citer le Timor oriental. etc...Péladeau est sans doute un homme qui a réussi en affaire. Il faut s'en réjouir. Mais, je le crois loin du peuple. Je le sens froid. Je le vois cherchant à critiquer l'adversaire plutôt qu'à projeter une lumière par en avant. Selon moi, il n'incarne pas le visionnaire dont le Québec a besoin. Il est déjà tomber dans la critique acerbe et intempestive. Bref, je ne vois pas, dans la brochettes d'aspirants à la chefferie, quelqu'un qui pourrait tracer LA VOIE.
Faire l'indépendance, c'est entreprendre un grand chantier social. Il faut des travailleurs mais il faut surtout un contre-maître, prêt à mettre les mains à la pâte. Et surtout, sortir d'une vision simpliste d'attaques envers ceux qui gouvernent. Car si on veut qu'une majorité adhère à ce chantier, il faut convaincre ceux qui n'y participent pas de venir oeuvrer avec ceux y sont déjà.
Parizeau a dit que l'idée d'indépendance est un champ de ruines. En acccord avec lui. Recontruire ne sera pas facile car ceux qui oeuvraient, paraît-il, sur le chantier, n'avaient aucun plan. Ils avaient surtout peur de dire qu'ils n'en avaient pas. Ils ont préféré le goût du pouvoir à l'oeuvre difficile à accomplir. Ces gens-là cherchent à gagner des élections pour faire avancer une cause qu'ils camouflent de crainte de ne pas être élu.
Si l'indépendance doit se faire, il faut espérer un rassembleur qui se pointera, non pour sa gloriole, non pour en tirer quelques avantages pécuniers, mais tout simplement pour accomplir une mission et par la suite, se fondra avec son peuple, en oubliant jamais qu'il n'a été qu'un catalyseur et donc, un bâtisseur comme les autres.