Le plus grand premier ministre du Québec
22 décembre 2021
VIDÉO
L'incapacité des souverainistes à saisir les forces historiques en jeu sur la question du nationalisme
Analyse du sommet de l’OTAN à Vilnius les 11 et 12 juillet 2023
À l’occasion de la Journée nationale des patriotes
L’Histoire à l’endroit
La solution finale, du rapport Durham au projet Initiative du siècle
22 décembre 2021
10 décembre 2021
Le rapport à venir de la coroner risque de faire fléchir le gouvernement Legault qui, évidemment, a jusqu’à maintenant refusé. Ça se comprend. Ils vont faire tout ce qu’ils peuvent pour éviter d’avoir ça dans les pattes dans une année électorale. Pourtant, rien de moins serait acceptable.
Cependant, de l’autre côté de l’Outaouais, il y a aussi au moins autant matière à enquête et le public y a aussi droit.
https://www.journaldemontreal.com/2021/12/10/incompetence-a-nos-frontieres
1 décembre 2021
« Contrairement à ce qui a été dit par la presse après son arrestation le 2 juillet 2022, »
La date de son arraestation ???
22 novembre 2021
« Manœuvre de diversion? »
Non, une manoeuvre pour évecter Pierre Karl Példeau du projet :
Selon Luc Lavoie, l’on verrait alors une possible tentative pour déloger le président de Québecor.
21 novembre 2021
11 novembre 2021
9 novembre 2021
Il n’y a pas que l’Alberta qui est en quête d’une plus grande autonomie: sa voisine, la Saskatchewan, semble connaître sa propre poussée d’autonomisme. Prenant exemple sur le Québec, le premier ministre est allé jusqu’à dire que la province «doit être une nation dans une nation».
(...)
«La Saskatchewan va commencer à faire tout ce qui est en son pouvoir pour faire valoir notre autonomie, pour mettre en valeur nos muscles provinciaux», a ajouté M. Moe.
Sa déclaration fait suite au congrès du Saskatchewan Party tenu en fin de semaine, au cours duquel les délégués ont exprimé leur frustration par rapport à la direction prise par le gouvernement fédéral sur le plan des changements climatiques et de la transition énergétique
(...)
En effet, la question de l’énergie est centrale dans cette prise de position: si l’Alberta reste la principale province pétrolifère au pays, la Saskatchewan se classe au deuxième rang. Autant dire que l’extraction et l’extraction de combustibles fossiles y jouent un rôle économique de premier plan.
Il faut toutefois souligner la dissension entre la province et le fédéral dépasse la question énergétique.
Le Saskatchewan Party s’est entendu pour réclamer plus d’autonomie dans d’autres secteurs, incluant la sécurité et la police, les pouvoirs de taxation, l’immigration, les armes à feu ainsi que les relations internationales.
C’est la première fois que des sentiments autonomistes s’expriment aussi clairement dans la province des prairies. À ce chapitre, elle se fait l’écho de l’Alberta de Jason Kenney, qui s’est souvent servi de la différence québécoise pour arguer en faveur d’une plus grande autonomie par rapport à Ottawa.
https://www.journaldemontreal.com/2021/11/09/la-saskatchewan-nouvelle-nation-au-canada
6 novembre 2021
2 novembre 2021
Le piège référendaire tendu par les mandarins fédéraux à Claude Morin (Mes premiers ministres) aurait pu être éviter si on le gouvernement Lévesque avait suivi vos conseils.
On vit maintenant avec les conséquences désastreuses pour notre nation.
Un seul ministre avait prévenu la direction du Parti québécois de cette tragédie prévisible dès 1979 et proposé une stratégie pour sortir du piège référendaire : Rodrigue Tremblay (La régression tranquille du Québec, chapitre 3). Ouvrage ignoré des médias et sur lequel l’auteur revient dans cette capsule (à 8 min 4 s et suivantes) :
Référence : https://www.youtube.com/watch?v=0F1aSNm8jCw&t=2644s
Cette naïveté face à la « démocratie canadienne » n'a jamais quitté le PQ, mené depuis le début par des utopistes détachés de la dure réalité que suppose le projet souverainiste.
Un autre a sonné la cloche pour réveiller le mouvement et tenter de le recadrer dans la réalité — Gérald Larose (« Si j’étais chef... (sans prétention aucune) », Vigile Québec, 24 décembre 2007) :
« Congédier le référendisme. Notre rêve n’est pas de tenir un référendum, mais bien de construire un pays. »
« D’abord une constitution. On la voudra la plus simple possible, rédigée d’une manière ouverte de telle sorte qu’elle puisse migrer dans le Québec souverain en garantissant la continuité du fonctionnement des institutions. »
« Le français langue de l’État québécois. Le français sera déclaré langue de l’État du Québec. »
Référence : https://vigile.quebec/articles/si-j-etais-chef-sans-pretention-aucune-au-poste
Ce texte — qui a eu l’effet de me sortir de l’idéalisme référendaire —, je l’ai commenté dans Le Devoir le 18 janvier 2008 : « Pauline, l'important, c'est Larose… » :
« Le PQ est à un tournant: ou bien il incarne sa politique dans l'État, ou bien il perd de sa pertinence. C'est là qu'on verra si, pour Pauline, l'important, c'est Larose. »
Référence: https://www.ledevoir.com/opinion/idees/172217/libre-opinion-pauline-l-important-c-est-larose
Le plan Larose, mais pas de direction politique au niveau pour diriger ce plan. Et de moins en moins… pour sortir du piège référendaire. Ce qui explique la désaffection de plusieurs péquistes, qui au nom d’un réalisme politique en sont arrivés à partager le constat de François Legault :
Au lendemain de l’élection d’un gouvernement libéral en 2014 : « Le pays imaginaire nuit à bien des égards au pays réel. Il faut en être conscient. Il faut y réfléchir. »
Référence : http://app.vigile.quebec/articles/si-j-etais-chef-sans-pretention-aucune-au-poste
Au bout du parcours Joseph Facal conclu aujourd'hui : « Le PQ en danger de mort ».
« La première raison est que le PQ traîne comme une croix ses deux terribles défaites référendaires. »
Référence : https://www.journaldemontreal.com/2021/11/02/le-pq-en-danger-de-mort
31 octobre 2021
Monsieur Bélair,
Merci de vos commentaires qui démontrent que vous avez bien lu le texte, dont vous relevez un angle mort : le passif de Duplessis et de l’Union nationale.
L’objectif de ce texte était de revenir à l’essentiel, sans s’attarder à l’accessoire. Des considérations secondaires auraient allongé le texte inutilement sans ajouter à l’essentiel : la montée en puissance de la nation sous Duplessis.
« Qu’est l’énoncé, sinon un moyen. » Georges Bataille
Concernant l’essentiel, il faut retenir de vos commentaires :
Le conservatisme.
Vigile estime avoir démontré que c’est dans ce cadre politique que nous avons relevé le défi existentiel et mené la nation dans une montée en puissance jusqu’à 1960. Un constat s’impose : la suite est moins concluante.
Le droit à l’autodétermination.
Ce droit ne résulte pas du fait que les Patriotes aient soumis les 92 Résolutions à la bienveillance de la Couronne britannique. Il résulte de la capacité d’un État à le faire apparaître (Duplessis) et d’une stratégie pour le rendre effectif (Johnson), c’est-à-dire en faire une affaire d’État. Ce qui reste à poursuivre, mais que les stratèges souverainistes n’ont pas encore compris.
René Lévesque.
Essentiellement, au nom de son idéal démocratique, il a enfermé le mouvement souverainiste dans un cadre stratégique déconnecté de la réalité, donc perdant et aux conséquences désastreuses pour la nation. Le reste est accessoire.
L’obscurantisme et la pauvreté intellectuelle sous Duplessis.
La plus grande campagne d’alphabétisation de population eut lieu sous Duplessis par la création de milliers d’écoles de rang. Le collège classique a formé les élites politiques, dont tous les membres de « l’équipe du tonnerre » et ceux du premier conseil des ministres du Parti québécois en 1976, sauf Claude Charron. Comparer la prestation de ces politiciens avec ceux d’aujourd’hui n’est pas à l’avantage de ces derniers.
La violence envers la classe ouvrière.
Il faut rappeler que le salaire de la classe ouvrière a doublé en 10 ans sous le règne de Duplessis. Que des grèves, il y en a eu sous tous les partis politiques. La violence lors de celle d’Asbestos de 1949 est due à l’instrumentalisation de cette grève par les Trudeau, Marchand et autres agitateurs qui ont entraîné les travailleurs à franchir la ligne rouge, ce qu’ils n’auraient pas fait normalement. Le but des agitateurs fut d’en tirer un bénéfice politique, dont on sait maintenant à quoi il devait servir.
Les reliquats du conservatisme : Bouchard, Legault.
En fait, c’est le premier qui a incité le deuxième à fonder le parti de la CAQ après avoir fait le constat que le référendisme était un cul-de-sac. Cela dit, Legault avec sa vision bleu poudre n’a pas la carrure d’un Duplessis ou d’un Johnson, même s’il y trouve une inspiration.
Vigile fait le constat que le cadre stratégique adopté par les stratèges souverainistes depuis 50 ans nous a conduit dans le cul-de-sac actuel. Il est donc nécessaire de soumettre ce cadre à un regard critique sans concession. Mathieu Bock-Côté a déjà dit après une autre défaite : « Il faut être lucide jusqu’à la cruauté. »
C’est animé par ce sentiment d’urgence que nous cherchons le plan vers la sortie de secours.
« L’art est long et le temps est court. » Hippocrate
30 octobre 2021
Quand un constitutionnaliste souverainiste, en accord avec la Cour d'appel, nie le statut d'État du Québec, précisé dans le titre de la Loi 99 :
Cour d'appel sur la Loi 99 :
« En ce qui concerne « l’État du Québec », il s’agit d’une expression politique que certains qualifieraient de pompeuse. Elle peut certes en agacer plusieurs, mais elle n’a aucun effet juridique.» [Paragraphe 105]
Cette appréciation de la cour suppose que le législateur a parlé pour ne rien dire. Or cette position est reprise par Me André Binette :
Le droit à l’autodétermination interne des nations du Québec
( mon souligné en gras)
« La loi 99, dont le titre officiel un peu pompeux est la Loi sur l’exercice des droits fondamentaux et des prérogatives du peuple québécois et de l’État du Québec »
15 octobre 2021
Si un médicament existe pour réduire drastiquement les effets de la pandémie, et qu'on interdit aux médecins traitants de l'utiliser parce qu'il ne coûte presque rien pour protéger les intérêts des bigs pharmas. Peut-on alors parler de négligences criminelles ?
Si la pandémie est si grave que les autorités doivent prendre tous les moyens pour la combattre, y inclus des mesures liberticides jamais vues en Occident, dans le but de sauver des vies, disent-ils.
Quand est-il de l'angle mort de cette stratégie : le curatif ?
Les médicaments pour réduire drastiquement les méfaits du Covid-19 existent pourtant. Pourquoi les populations l'ignorent : black-out des médias.
Voici la démonstration qu'on peut réduire la pandémie de 97 à 99 % dans quelques semaines avec l'ivermectine. Le cas de certains états en Inde :
https://www.zerohedge.com/covid-19/indias-ivermectin-blackout
https://www.zerohedge.com/covid-19/ivermectin-truth-totalitarianism
J'en parle ici à 12:58 :
https://www.youtube.com/watch?v=Rz_N9KF-iyU