L'implosion du Canada
3 juillet 2010
En attendant la fin du Canada on a assisté en 2009 à la fin du Canada de Trudeau:
http://www.vigile.net/La-fin-du-Canada-de-Trudeau
JCPomerleau
VIDÉO
L'incapacité des souverainistes à saisir les forces historiques en jeu sur la question du nationalisme
Analyse du sommet de l’OTAN à Vilnius les 11 et 12 juillet 2023
À l’occasion de la Journée nationale des patriotes
L’Histoire à l’endroit
La solution finale, du rapport Durham au projet Initiative du siècle
3 juillet 2010
En attendant la fin du Canada on a assisté en 2009 à la fin du Canada de Trudeau:
http://www.vigile.net/La-fin-du-Canada-de-Trudeau
JCPomerleau
28 juin 2010
Les pions Sarkosy et Charest ont une chose en commun: Ils ont franchi la ligne rouge entre la corruption et la trahison des intérêts nationaux.
http://www.vigile.net/Les-pions-Sarkosy-et-Charest
JCPomerleau
25 juin 2010
Changement de paradigme: Les 2 constats suivant :
Le référendum gagnant ne mène pas nécessairement à la souveraineté, cela dépend du rapport du force entre les deux État au moment de passé à l’acte.Le changement de statut ne résulte que d'un rapport de force favorable (Géopolitique 101). D’où l’importance de bâtir ce rapport de force.
Ce constat mène à une autre considération : Le déterminant de la politique c’est l’État (qui seul agit avec envergure : M Sauvé). C'est donc les assises de l'État du Québec qu'il faut consolider pour en augmenter le potentiel et le placer dans un rapport de force favorable ave l'État canadien..
Deux constats simples qui mènent à un changement de paradigme salutaire dans la stratégie à adopter pour réaliser la souveraineté.
On a gaspillé deux cartouches référendaires, pour déboguer l’idée de souveraineté dans l’imaginaire populaire (1980 était une catharsis; 1995 a ébranlé le Canada ). Une troisième cartouche tiré à tort nous ferait flirté avec la catastrophe historique alors qu'elle n'offre pas de garantie de résultat: Pile on perd face il gagne.
Le peuple le sait d’instinct, c’est pourquoi le référendum est devenu un repoussoir très utile aux fédéraliste.
Nous n’avons pas à prendre ce risque inutile pour un résultat illusoire. il faut comprendre que la souveraineté se réalise de facto avant d’être formaliser de jure (par Référendum ou autrement):
Le Plan Marois résulte de ces 2 constats incontournables.
Selon moi ce Plan est le bon parce qu'il ramène le projet souverainiste dans le champs du réel, reste à savoir si la direction politique du plan a la détermination pour le mener à terme ? Dans les derniers moi des signes me laisse croire que oui.
D'abord l'attitude de l'opposition durant la dernière cession qui devrait se poursuivre. Et ce qui se dessine comme programme pour 2011.
..................
D'où vient la division. Simplement du fait que certains font une lecture rationnelle de la politique (une majorité démocratique mène nécessairement à la souveraineté), alors qu'il s'agit d'un phénomène relationnelle: Fait d'intérêt de rapport de force te d'efffectivité.
JCPomerleau
23 juin 2010
Qu'est-ce qu'il y a de difficile comprendre dans les constats suivant:
Le référendum gagnant ne mène pas nécessairement à la souveraineté, cela dépend du rapport du force entre les deux État au moment de passé à l'acte.D'où l'importance de bâtir ce rapport de force.
Ce constat mène à une autre considération: Le déterminant de la politique c'est l'État (qui seul agit avec envergure: M Sauvé).
Deux constats simples qui mènent à un changement de paradigme salutaire dans la stratégie à adopter pour réaliser la souveraineté.
On a gaspillé deux cartouches référendaires, pour déboguer l'idée de souveraineté dans l'imaginaire populaire. Une troisième cartouche tiré à tort nous ferait flirté avec la catastrophe historique. Le peuple le sait d'instinct, c'est pourquoi le référendum est devenu un repoussoir très utile aux fédéraliste.
Nous n'avons pas à prendre ce risque inutile pour un résultat illusoire. il faut comprendre que la souveraineté se réalise de facto avant d'être formaliser de jure (par Référendum ou autrement).
C'est cela que propose le Plan Marois.
Qui y a t il de compliqué là dedans ?
22 juin 2010
Michel Rolland
Il y a le Plan vers la souveraineté et la direction politique du plan. Beaucoup de personnes confondent les deux. La souveraineté, il ne s'agit plus d'en parler (comme en 1960), il s'agit de la faire.
Le Plan Marois est un changement de paradigme, je dirais salutaire, parce qu'il ramène le projet dans le champs du réel: Le changement de statut ne résultera que d'un rapport de force favorable entre deux États; Le Québec et l'État fédéral.
Dès que l'on a fait de ce POINT un incontournable (quelqu'un a t il des objections ?), on comprend qu'il faut bâtir ce rapport de force. C'est ce que propose le Plan Marois (Constitution du Québec et indépendance énergétique, etc. Bref une deuxième révolution tranquille).
La direction politique du plan est elle assez déterminée et imprégnée d'une doctrine d'État assez claire pour le mener à terme ? Mes gros doutes sur Mme Marois à cet égard se dissipent de plus en plus à mesure que se précise le plan. De toute manière la partie est présentement engagée et je vois pas l'utilité de tirer dans nos rangs au moment ou le contexte nous sert une occasion historique d'une poussée hors de la cage. Car il n'y a qu'une cage et c'est celle là: La cage à castor canadienne.
JCPomerleau
22 juin 2010
Michel Roland
Naif Normand Lester. Il fait une lecture géopolitique du Plan Marois.
Les naifs sont ceux qui ignorent deux points essentiels qui ont mené au changement de paradigme dans le choix de la stratégique à suivre pour arriver à la souveraineté:
UN: Le choix démocratique majoritaire ne garantie en rien le changement de statut (la souveraineté). Seul un rapport de force favorable entre l'État du Québec et l'État canadien mène à un changement de statut.
DEUX. Le déterminant de la politique c'est l'État.Le Plan Marois vise a donner de la consistance à notre État afin de bâtir un rapport de force favorable.
La naïveté s'est de croire qu'il suffit de magnifier le pays dans le verbe et de foncer, tête baisser, le tout pour le tout, en ignorant les forces qui s'y opposent, pour le voir advenir.
Le peuple a écarter d'instinct ce scénario de l'aveuglement idéologique jusqu'au boutiste qui tient de la crispation rationnelle plus que de du réalisme politique.Ceux qui confondent littérature et géopolitique tardent à le comprendre. À cet égard le Plan Marois ramène le projet dans le champs du réel et fait l'adhésion avec la stratégie voulue par le peuple.
Le Plan est le bon (je l'ai commenté en 2008 dans Le Devoir):
http://www.vigile.net/Pauline-l-important-c-est-Larose
La question porte sur la direction politique de ce plan. Y a t il une volonté ferme d'incarner ce plan dans des politiques d'État ? Des signes commencent à pointer que OUI.
JCPomerleau
21 juin 2010
Normand Lester; La clé pour comprendre le Plan Marois, Sun Tsu:
http://qc.news.yahoo.com/s/yahoocanada/100621/canada/lester__r_f_rendum___la_prochaine_fois_doit__tre_la_bonne__parce_qu_elle_va__tre_la_derni_re
JCPomerleau
16 juin 2010
Un TGV Québec New York: Même les fédéralistes du Québec travaillent à faire avancer le projet. Quand l'intérêt prime sur l'idéologie.:
"Fasken Martineau annonce que Raymond Chrétien a été nommé comme représentant officiel du Gouvernement du Québec auprès des autorités des États de New York, de la Nouvelle-Angleterre et du Gouvernement des États-Unis"
(...)
"Sa nomination s’inscrit dans le cadre des discussions visant le développement des couloirs ferroviaires reliant Montréal à Boston et Montréal à New York.
« Il s’agit d’une opportunité exceptionnelle pour les relations économiques avec notre voisin américain, pour le positionnement du Québec et de sa métropole sur le littoral est des États–Unis, et pour le rayonnement économique et culturel du Québec à l’échelle nord-américaine », a déclaré Raymond Chrétien, associé et conseiller stratégique chez Fasken Martineau et ancien ambassadeur du Canada en France, aux États-Unis, en Belgique, au Mexique et au Congo."
http://www.droit-inc.com/article4055-Train-Montreal-Boston-New-York-Quebec-choisit-Chretien.
......
JCPomerleau
7 juin 2010
M Le Hir, vous faites une contribution essentiel pour que l'on comprenne la vrai nature du régime libéral: Ils ont franchi la ligne rouge entre la corruption et la trahison des intérêts supérieurs du Québec dans le cas de la Caisse de dépôt et de l'Hydro Québec.
J'aimerais ajouter cette information concernant les coûts de réfections:
Les coûts de réfection de Gentilly 2 a été volontairement sous estimé pour faire accepter le projet. En fait, selon M Daniel Breton, critique en matière de politique en matière d'énergie (il a produit avec le collectif MCN21) le plan pour l'indépendance énergétique du Québec), le coût final de Gentlily 2 sera de l'ordre de 6 milliards de dollars !
On trouve cette information dans ce livre:
http://mcn21.org/le-livre-mcn21/
JCPomerleau
2 juin 2010
À quand une enquête sur l'agence de notation DBRS de Toronto ?
......
Une audition publique de la Commission d'enquête sur la crise financière (FCIC) américaine à New York mercredi a révélé des pratiques douteuses au sein de l'agence Moody's (MCO) , une institution réputée, prise pour cible.
Cette commission indépendante créée par la loi en mai 2009, et qui doit rendre ses conclusions en décembre, avait choisi d'interroger d'anciens et actuels salariés de la vénérable Moody's, la plus ancienne des agences de notation.
«Moody's a été une usine à "triples A"», la meilleure des notes qui puisse être attribuée à un titre de dette, a affirmé le président de cette commission, Phil Angelides.
(...)
La loi de réforme de la régulation financière, actuellement discutée entre Sénat et Chambre des représentants, prévoit d'encadrer plus strictement les agences de notation. La Commission européenne a pour sa part proposé mercredi de les faire superviser par une autorité unique dans l'Union.
http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/services-financiers/201006/02/01-4286119-moodys-a-ete-une-usine-a-triples-a.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS1
JCPomerleau
29 mai 2010
Au sujet de Coventree et des PCAA et de la Caisse. Voici un extrait de mon texte qui porte sur le rôle de l' agences de notations, DBRS de Toronto. Le tout en lien avec le commentaire de M Benoît Lajeunesse:
http://www.vigile.net/Le-Quebec-floue-de-plus-10
(...)
Coventre
Coventree, par qui le malheur du papier commercial arrive, fait maintenant l’objet d’une plainte de la Commission des valeurs mobilières de l’Ontario, qui lui reproche d’avoir trompé le marché (misleading). Entre autres, d’avoir caché des informations à ceux qui transigeaient ces titres. Mais pas à tous, certains auraient été avisés, juste avant l’effondrement du marché en Août 2007, de la vraie nature des problèmes liés aux PCAA non bancaires (les initiés de Toronto) ; et d’autres se faisaient dire que tout va bien, madame la Marquise, dont la Caisse. Ce qui explique qu’elle a été la dernière à en acheter alors que les initiés de Toronto "dumpaient" sur la Caisse leurs produits qu’ils savaient toxiques :
« The Ontario Securities Commission is out to make a case that when it came to ABCP, there was grim but realistic information available to market insiders, while a shiny, happy picture was painted for the rest of the investing world. » (Remarque : ABCP est le terme anglais pour PCAA)
http://www.theglobeandmail.com/blogs/streetwise/abcp-allegations-are-dynamite/article1392424/
Donc jusqu’à la toute fin, Coventree se servira de la Caisse comme un déversoir pour ces produits qu’elle savait toxiques. Comment expliquer que la Caisse, qui a une expertise de renommée internationale, ait pu se faire instrumentaliser par cette "binerie" de Toronto, dont elle avait été le principale actionnaire lors de l’émission public d’action (2006). Incompétence ou autre chose ? Qui a fait quoi ? Quand ?
L’audition de la plainte contre Coventree se poursuivra en janvier devant la Commission des valeurs mobilières de l’Ontario. L’occasion pour les médias du Québec de se rendre à cette audience pour braquer des micros sous le nez des administrateurs mis en cause. Histoire de leur poser quelques questions : Qui a fait quoi et quand pour que cette petite « binerie » de Toronto réussisse à instrumentaliser la Caisse pour qu’elle devienne, son principal actionnaire, ce qui lui a permis de devenir le plus gros promoteur de PCAA non-bancaire au Canada : 16 milliards de dollars ! Et ensuite en faire son meilleur client, ce qui a occasionné des pertes de milliards de dollars.
Je doute cependant que la meute de journalistes qui pourchassaient Vincent Lacroix, redirigent leurs ardeurs vers l’Ontario pour tirer la situation au clair. Et nous expliquer comment le Québec s’est fait flouer de plus de 10 milliards par Toronto !
***
Dans un texte publié en Février 2009, juste avant la publication des résultats désastreux de la Caisse, j’avais identifié DBRS et Coventree comme étant les principaux responsables des pertes liées au PCAA non bancaires. J’avais ajouté à l’époque :
"Il faut préciser au passage que Coventree est présentement sous enquête de la part de la Commission de valeurs mobilières de l’Ontario pour cette émission publique d’actions en 2006, à laquelle a participé la CDPQ. Les résultats de cette enquête serviront sans doute d’argumentaire pour la création d’une commission des valeurs mobilières unique au Canada, comme le souhaite le gouvernement Harper. Tout se tient. Il faut ajouter que la perte possible de "notre" Commission des valeurs mobilières serait évidemment un dommage "collatéral" qui s’ajouterait au bilan désastreux de la Caisse. Un malheur ne vient jamais seul."
http://www.vigile.net/Quebec-sink
...........
JCPomerleau
4 novembre 2008
La baisse marqué du rendement de la Caisse de dépôt aura des conséquences multiples qui vont finir par nous affecter tous:
http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/national/200811/03/01-35884-le-bas-de-laine-des-quebecois-malmene.php
Si les marchés rebondissent, suite à une courte récession, si c'est le cas la Caisse va se replacer d'ici quelques années, et les conséquences de la baisse seront résorbées. Mais la crise sera plus profonde que celle due à la bulle des techs en 2000. Dans ce scénario les conséquences des pertes de la Caisses sur l'ensemble de la situation financière du Québec sera très sérieuse. Et c'est ce scénario qui est le plus probable selon Nouriel Roubini, l"économiste qui a tout vu venir:
http://www.rgemonitor.com/roubini-monitor/254168/bloomberg_october_27_2008__roubini_sees_significant_downside_risk_for_equities
JCPomerleau