Sous le prétexte de mater ce qu’il savait être une poignée de révolutionnaires romantiques, Pierre Elliott Trudeau avait décrété la Loi sur les mesures de guerre et déployé l’armée canadienne au Québec en 1970 pour tenter d’écraser politiquement le mouvement indépendantiste émergent.
Puis, par l’adoption du multiculturalisme comme doctrine d’État lors de l’importation unilatérale de la Constitution canadienne en 1982, P. E. Trudeau visait à emprisonner constitutionnellement le peuple québécois qui aspirait à son indépendance.
En conséquence, l’idéologie multiculturaliste canadienne a contaminé les autres nations occidentales. Par son dessein antinational global, cette idéologie eut un effet catalyseur sur la décadence de l’Occident.
Le monde regarde le Canada, affirme aujourd’hui Justin Trudeau. Tel père, tel fils. Ils partagent le même orgueil idéologique antipeuple. Faisant fi de la réalité historique des nations, ce genre de types haineux entend uniformiser l’humanité en un magma d’individus sans solidarité.
Ainsi, Justin Trudeau veut réprimer le mouvement populaire des camionneurs qui s’opposent à l’obligation « vaccinale », qu’il appliquait avec zèle. À l’encontre même des chartes des droits qui protègent la vie privée, le secret du dossier médical personnel, le consentement libre et éclairé à tout traitement médical, notamment expérimental. Les prétendus vaccins anti-Covid sont à l’origine de nombreux décès de gens jusque-là bien portants. Les droits fondamentaux de la personne ont été allègrement supprimés, alors que le premier devoir d’un État consiste à protéger la vie et la sécurité des citoyens.
Or, la majorité tant des Canadiens que des Québécois veulent la fin des mesures covidiennes liberticides. Le gouvernement Trudeau a d’abord tenté de salir la manifestation des routiers avec de fausses accusations de racisme. Maintenant, il déclare la loi martiale, renommée Loi sur les mesures d’urgence, qu’il prétend d’application limitée dans le temps et géographiquement pour donner des « outils additionnels » aux services de police locaux. Pour l’instant. Mais dont le potentiel illimité transforme dès lors le Canada en État policier.
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