Ne touchez pas aux symboles de notre histoire nationale !
4 mars 2017
Le retour du crucifix marque une victoire pour l’identité québécoise. Mais que représente-i-il au juste?
Au départ la société partageait les valeurs fondamentales du christianisme. Mais graduellement ces valeurs se sont transformées en libéralisme économique et droits de la personne sous le contrôle occulte de la franc-maçonnerie. De telle sorte qu’on peut dire :
« Dans une perspective orthodoxe (et là je me réfère au point de vue traditionnel, patristique), les juifs modernes ne sont pas juifs et les catholiques ne sont pas catholiques. Dans les deux cas, nous sommes face à des fraudes très réussies, mais des fraudes quand même. »i
« (…)qu’est-ce que l’Empire anglosioniste sinon la continuation culturelle de l’Empire britannique avec l’ajout récent de l’élément sioniste (...) ? Et ne laissez pas le fait que les protestants et les anglicans ne sont pas des «catholiques romains» vous détourner de la réalité que le protestantisme lui-même n’est que le rejeton de la relation spirituelle entre ses parents latin et juif, exactement comme la franc-maçonnerie – l’idéologie et la vision du monde dominantes aujourd’hui – est la progéniture issue des rapports spirituels entre le protestantisme et le judaïsme pharisien. »
(http://lesakerfrancophone.fr/les-tres-vieilles-racines-spirituelles-de-la-russophobie)
Ajoutez à cela la subversion en cours dans l’Église catholique. (http://reseauinternational.net/coup-detat-au-vatican/) Cette dérive des valeurs explique la collusion que l’on observe entre le christianisme occidental, le sionisme et le wahhabisme.
Avec des mondialistes comme Couillard et Trudeau, nous sommes très mal représentés pour défendre ces valeurs qui ont inspiré l’État québécois jusqu’à la Révolution tranquille comme le mentionne Jean Claude Pomerleau. L’invasion de migrants venant de pays que nous avons participé à saccager et ne partageant pas nos valeurs ne peut qu’engendrer le chaos.
Il ne s’agit pas ici de retourner à la religion autoritaire. L’imposition d’un dogme arbitraire quel qu’il soit signifie la soumission au pouvoir qui l’enseigne. Et le pouvoir est compromis à tous les niveaux. De toute façon, la laïcité de l’État n’est que le respect des consciences.
Mais peut-être qu’on pourrait se souvenir aux prochaines élections de choisir des représentants qui défendent vraiment l’intérêt public et non des intérêts occultes.