Paul Saint-Pierre Plamondon dénonce le wokisme de Québec solidaire
26 novembre 2024
Et bien d'autres choses en plus que la bonne écriture d'un patronyme...
François Champoux, Trois-Rivières
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Après avoir examiné votre cas, les membres de l’équipe Vigile ont conclu que vous faites preuve de cyberharcèlement ou de trollage. Vos textes ne seront donc plus affichés sur notre site.
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Texte impertinent considérant la mission de Vigile. Merci de votre compréhension.
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Votre article ainsi que votre commentaire sont REFUSÉS. Comme justification, il suffira de paraphraser un personnage qui avait le sens des réalités : vous pouvez sauter sur votre chaise comme un cabri en disant « Gare à l’exclusion ! gare à l’exclusion ! gare à l’exclusion ! », mais ça n’aboutit à rien et cela ne signifie rien. Finalement, dès lors que vous avez « hitlérisé » — ou hystérisé — le débat, vous avez fermé la discussion. Ainsi, revenir à la charge constitue du HARCÈLEMENT.
LAÏCITÉ
VIOLENCE
26 novembre 2024
Et bien d'autres choses en plus que la bonne écriture d'un patronyme...
François Champoux, Trois-Rivières
26 novembre 2024
Bonjour M. Marineau,
Emmanuel Kant nous a invités à nous servir de notre propre entendement, mais il ajouta impérativement d’obéir! Kant avait peur lui aussi de l’autorité; alors il se plia comme un enfant à celle-ci. Au temps de Kant, il y avait aussi des drag kings qui se déguisaient en autorité pour faire autorité et endoctriner…
Pouvons-nous penser que nos enfants cessent d’obéir à une autorité qui n’en est pas une? Pour être une autorité, il ne s’agit pas de se recouvrir d’un sarrau blanc ou d’une chasuble! Avons-nous déjà connu une autorité qui savait respecter les enfants, ceux-là même de qui vient la vérité?
C’est à souhaiter, car il y a toujours des adultes qui pensent avoir la vérité et qui souhaitent encore évangéliser, endoctriner comme au temps des rois et des seigneurs de la foi.
Enseigner à dire NON aux enfants devrait être la première vérité à leur suggérer; et à nous dire pourquoi, ils disent NON. Ou encore leur demander: "Qu'est-ce que tu en penses, toi?" Et toi... et toi.
François Champoux, Trois-Rivières
25 novembre 2024
ReBonjour M. Marineau,
Il ne faut pas avoir peur de lire, car les livres ne sont pas toute la vérité; la lecture demeure la nourriture de l’esprit. La peur, elle, un bien mauvais maître; j’en ai tellement souffert…
Quant à Desjardins, vous avez bien fait de ne pas avoir cru comme la très vaste majorité des Québécois aux mensonges maintenant débusqués depuis Claude Béland. Avant ce «maître» président, les Caisses faisaient du mieux qu’elles le pouvaient pour remettre aux sociétaires (les actionnaires des coopératives) les fruits de leur exploitation financière; maintenant, ce n’est officiellement plus le cas : Desjardins est au service de lui-même, des agences de notation internationale et du gouvernement du Québec par l’Autorité des marchés financiers du Québec.
Catherine Dorion est un maillon important de l’évolution de QS et oserais-je dire, de tout le Québec contemporain. Depuis Pierre Vallières (Nègres blancs d’Amérique) et les insolences du Frère Untel, je pense que nous n’avons pas avancé d’un pas; ou peut-être oui, mais à reculons.
François Champoux, Trois-Rivières
24 novembre 2024
Rebonjour M. Marineau,
Et n'oublions pas, tout un chacun, que le Mouvement Desjardins est sous la tutelle d'une loi du gouvernement du Québec... ou plutôt l'inverse...!
Oser dénoncer ou critiquer Desjardins depuis Monique F. Leroux, c'est risquer l'exclusion, l'excommunication du coopératisme bélandiste financier.
François Champoux, Trois-Rivières,
7 fois condamné à l'exclusion d'une Caisse Desjardins par les règlements de régie interne 4,6 (saine conduite) et 4,7 (réprimande, suspension, EXCLUSION) de Monique F. Leroux, et ce, depuis 2011. La dernière exclusion en liste: mars 2024 par la Caisse d'économie solidaire Desjardins, là où seulement quelques membres-entreprises (environ 300 sur les 23 000 membres) se partagent la totalité des ristournes, le tout décidé à la discrétion de la direction et des employés désignés.
23 novembre 2024
Rebonjour M. Marineau,
Bien! Je ne vous ai pas convaincu. Tant pis.
Mais je vous ai recommandé de lire Catherine Dorion; il ne faut pas rester figé dans ses convictions.
J’ai longtemps cru au Mouvement Desjardins jusqu’à l’arrivée de Claude Béland; là, tout a basculé: maquignonnage du coopératisme et chantage vis-à-vis les membres par leurs règlements de régie interne 4,6 et 4,7 par Monique F. Leroux en 2010. Après 25 ans de loyaux services aux fondateurs, j’ai dû quitter malgré moi.
Croyez-vous toujours aux Caisses Desjardins et à leur "coopératisme"? Moi pas. Plutôt des exploiteurs de notre esclavagisme économique et financier.
Vous savez que les dirigeants sont maintenant rémunérés: c’était 150,00 $/l’heure en 2015; aujourd’hui, leur rémunération est cachée: impossible d’obtenir le montant de leur paye. Si vous obtenez l’information, je vous remercie d’avance de me la donner.
Dorimène et Alphonse n’arrêtent plus de se tourner dans leur tombe! Où est donc passé leur mouvement social-financier-démocrate? Je vous laisse y répondre.
François Champoux, Trois-Rivières
22 novembre 2024
Bonjour M. Marineau,
Il faut lire Catherine Dorion avant de déclarer que le parti QS est un autre mouvement social-démocrate. L'histoire n'est jamais figée.
Les partis politiques sont des organisations de pouvoir et comme nous l’a bien enseigné Lord Acton:
«Le pouvoir tend à corrompre, le pouvoir absolu corrompt absolument.
Les grands hommes sont presque toujours des hommes mauvais.»
Les partis politiques sont un moindre mal à l’édification d’un pays; ils ne sont pas la meilleure façon. La meilleure façon n’existe pas. À moins de croire à une démocratie pure, exempte de favoritisme, de partis politiques, et vraiment dévouée à l’écoute et au financement adéquat des besoins des citoyens. Un rêve… Qui croit encore au 3e lien entre les villes de Lévis et Québec?
Il faut faire avec nos moyens, et il semble que les mensonges ou les non-dits font plus de mal que de bien.
Au Québec, nous faisons souvent des tempêtes dans un verre d’eau; la dernière actuellement en jeu semble être celle du député Baouzzi; avant celle-ci, il y a eu évidemment celle du conseiller municipal André Drouin d’Hérouxville qui fit naître la commission Bouchard-Taylor et la très controversée loi 21 dite de la laïcité du Québec (2019) du gouvernement de François Legault. Celle-ci nous présente en 2024 un échec lamentable; c’était attendu… par sa cible non dite (contre les musulmans), son favoritisme (droits acquis), et ses droits perdus pour les jeunes générations.
La conjugaison des partis politiques entre eux (contre eux) n’est pas productive en termes d’une saine édification d’un pays; mais c’est notre façon de faire (nous, femmes et hommes rationnels) de tenter cette édification sociale.
Au moment où les commerçants deviennent fous (période avant Noël) et qu’ils tentent de nous rendre comme eux, nous réalisons de plus en plus la bêtise qui nous habite ici alors que le reste du monde doit conjuguer avec de vraies situations absurdes de guerres qui détruisent et qui tuent! Sans compter la peur qui nous pétrifie actuellement avec l’élection de Donald Trump aux États-Unis.
Si nous ne sommes pas racistes au Québec ni à notre Assemblée nationale, force est de reconnaître que nous agissons comme de vrais frustrés qui avons peur de l’autre, l’autre différent de nous.
Il faudrait apprendre de nos erreurs et nous placer au-dessus de ce complexe d’infériorité qui nous mène inconsciemment. Avoir peur de l’autre nous fait perdre un temps précieux à nous aimer comme il faut et nous bâtir un beau pays; nous avons perdu cette capacité de don, cet «esprit du don» dont parlait Jacques T. Godbout en 1992.
21 novembre 2024
Bonjour M. Marineau,
Merci de votre texte sur l'indépendance du Québec.
Toute ma jeunesse, j’ai milité pour l’indépendance du Québec. J’ai voté «pour» celle-ci à deux reprises. Maintenant, je ne milite plus, car la démocratie m’indique que plus de la moitié des habitants de la province de Québec refuse de se donner (se payer) un pays.
À mon humble avis, pour une question aussi importante (se faire un pays) il faudrait une double majorité à la question référendaire (66,7 % «pour» l’indépendance du Québec du reste du Canada). Ce serait plus prudent, d’une prudence élémentaire, pour assurer l’accouchement et la naissance du pays en toute joie et sérénité, en cette Amérique du nord trop près des États-Unis, si cela est possible… La prudence, ce n’est pas la peur; la prudence c’est une vertu qui donne la force d’agir intelligemment, avec doigté et respect. Je pense que Sénèque approuverait…
La naissance d’un pays, ça doit être particulièrement pénible et dispendieux sans parler des tracas sociologiques du genre «ils sont des nôtres » et «ceux-là sont des étrangers… qu’en faisons-nous?» Non, nous ne sommes pas des racistes au Québec, mais si nous votons l’indépendance, il faudra absolument le prouver. Voyez dans quel tracas se dirige nos voisins actuellement: sont-ils racistes les Américains de Donald Trump? Et tout le reste du monde qui aime à les imiter parce que la peur dirige plus qu'on ne le pense. Non pas la prudence...
Le PQ n’est pas le parti de l’indépendance du Québec : c’est le peuple du Québec qui doit l’incarner, cette indépendance : surtout pas un parti politique ni un autre (QS).
Il y a un coût pour être indépendant; aucun enfant n’est indépendant tant qu’il ne l’assume pas financièrement : logement, nourriture, habillement, éducation, et j’oserais ajouter, son équilibre émotif. Tous les oiseaux savent ça: pour sortir du nid, il faut savoir voler de ses propres ailes. De même pour un pays. L’enfantement d’un pays ne tient pas qu’à sa culture, sa langue et sa bière; il y a tout le reste qu’on ne doit pas négliger.
Combien ça coûtera notre pays? Qui a été capable de répondre en toute transparence à cette question de je ne sais combien de milliards de dollars et de sueurs au front? Sortir du nid exige de la maturité et du respect en plus de l’audace.
C’est en tout respect de mes convictions indépendantistes que j’interroge mes politiciens, ceux-là mêmes que je rétribue très bien pour qu’ils me fassent, me bâtissent, m’enfantent un pays où il fait bon vivre. C’est là ma faim et ma soif sans plus, mais c’est là toute ma faim et ma soif.
François Champoux, Trois-Rivières
19 novembre 2024
Rebonjour M. Marineau,
Et vous, M. Marineau, qu’en pensez-vous? Condamnez-vous le député? Considérez-vous ses propos exagérés, racistes, inconvenants : qu’il mérite l’opprobre et l’exclusion. Moi pas, du moins pas au premier réflexe; je pense qu’il a osé aborder une situation qu’on refuse de regarder en face, ici au Québec. Un profond sentiment de «peur de l’autre différent du nous» (ce "nous" qui change, qui n’est plus et ne sera plus jamais comme celui de Pauline Marois).
Je viens de terminer «Comment faire l’amour avec un Nègre sans se fatiguer» par Dany Laferrière; ça fait réfléchir et ça m’aide à reconnaître mes failles humanistes…
J’ai relu les faits que vous aviez déjà donné dans votre texte, mais ça n’ajoute rien pour m’aider à comprendre l’énormité des propos du député Bouazzi. Quant à votre invitation à citer un député qui aurait pu contribuer à la construction de cet autre, j’ai déjà répondu que la loi 21 était une erreur flagrante, que le non-respect de la charte du Québec de 1975 est un manque flagrant à notre humanisme de société et à la protection de la paix, de notre «vivre ensemble» en harmonie.
François Champoux, Trois-Rivières
18 novembre 2024
Bonjour M. Marineau,
De deux choses l’une : ou bien vous tenez un discours contradictoire (les humains sont des êtres de contradiction) en reconnaissant que le député Bouazzi n’a pas tenu un discours raciste et qu’il devrait être remercié par le parti Québec solidaire, ou bien il y a quelque chose que je n’ai pas compris dans l’utilisation de ses mots dans sa longue phrase délicate sur la construction de cet «Autre» au Québec.
À me regarder, vous diriez facilement que je suis ce «nous» du Québec, que je suis ce «nous» de Pauline Marois, de cette «souche» du Québec; et pourtant, je suis certes cet être de souches multiples invisibles, cet autre, tout simplement parce qu’on n’y regarde pas assez de près. De même pour vous, j’en suis persuadé.
Je pense que tout le problème vient de l’interprétation que tout un chacun veut bien donner à la parole du député : tout autant à ce contexte de la parole du député que vous prenez bien soin de tenter de préciser le mieux possible pour que nous saisissions l’énormité des propos du député.
Pour avoir entendu l’interview entre le député Bouazzi et M. Patrick Masbourian de Radio-Canada (vendredi matin le 15 novembre dernier), je n’ai pu sincèrement jeter la pierre au député Bouazzi. Lui demander des excuses me semblait exagérer. Mais je vous prie de m’expliquer, car il semble que je sois (et quelques autres personnes) incapable de comprendre l’excessif des propos du député Bouazzi.
Pour ma part, j’ai admiré le courage du député s’il n’a pas dit ses mots en un seul but de réélection; et il semble aujourd’hui que ce ne fut pas seulement pour sa réélection, car il se retrouve plutôt en très mauvaise posture élective : on le condamne de partout et selon la règle démocratique du 50 plus 1, il serait coupable d’une infâme parole qui le condamne d’avance. Et ce, malgré la justesse de son argumentation.
Nous constatons aujourd’hui les très grandes maladresses de nos élus au pouvoir, à commencer par la loi 21 qui nous fut imposée malgré nous. Cette loi devra maintenant être abroger, car les preuves sont maintenant faites qu’elle n’avait qu’un but : faire disparaître de la vue ce qui ne fut pas arrêté par le prosélytisme : l’endoctrinement à des dogmes religieux après la fin en 2005 de l’enseignement du religieux dans les écoles. Cette loi 21, pleine de trous, a donné le résultat qui était craint : juger les gens que sur leur apparence et sans respect de la charte des droits et libertés de la personne et de la jeunesse du Québec; notre charte du Québec de 1975! Là, avec l'erreur de la loi 21, nous revenons encore à cette délicate situation sociale d'accuser "l'autre" et son apparence, de tous les maux de notre nous!
Pour celles et ceux qui cherchent à bien comprendre l’échec da la loi 21, vous pourrez lire ce court texte : L’erreur de la loi 21 amplement démontrée; il faut maintenant l’abroger, 15 novembre 2024. Sur le blogue suivant: http://francoischampoux.wordpress.com/
François Champoux, Trois-Rivières
17 novembre 2024
Bonjour M. Pierre Boucher,
Je viens de vous lire. Je peux dire que vous parlez beauoup, mais je ne peux conclure où exactement vous voulez en arriver; si vous voulez en arriver à une conclusion constructive.
François Champoux, Trois-Rivières
15 novembre 2024
Bonjour M. Marineau,
J’ai lu Mme Isabelle Maréchal.
Les Québécois ne sont ni plus fins ni plus fous que le reste de l’humanité : nous voulons aller au ciel, mais nous ne voulons pas mourir. Nous en voulons pour notre argent, équitablement, respectueusement, notre argent difficilement gagné et économisé.
L’écart en entre les riches et les pauvres, c’est l’écart entre la classe dirigeante et les dirigéEs. Le partage des richesses ne se fait pas équitablement comme l’avaient imparfaitement tenté d’organiser Dorimène et Alphonse Desjardins; au moins, eux avaient tenté la coopération (la vraie), le coopératisme. Mais il y a eu Claude Béland qui a opté pour le communisme et le capitalisme; un mariage impossible, alors que le coopératisme avait cette qualité de ce mariage.
Claude Béland déclara ceci dans son autobiographie : Claude Béland; une carrière au service du coopératisme; page 143 :
«… je comptais sur la profondeur des changements sociaux et technologiques pour convaincre ce vaste réseau de la nécessité de passer d’une culture autonomiste à une culture de la solidarité.»
Claude Béland était un orateur capable de parler des deux côtés de la bouche en même temps.
Aujourd’hui, Desjardins nous fait croire qu’il est encore une coopérative au service de ses membres; il est plutôt une banque à son propre service et au service du gouvernement lequel lui organise sa loi à des fins mutuelles : tous les gouvernements confondus et Desjardins. Les membres ne sont devenus rien de plus que des esclaves financiers au service de la collectivité, de la communauté. Desjardins est plus communiste que coopératif à n’en point douter. Une classe dirigeante qui s’en met plein les poches (plus de 150.$/l’heure, chiffre de 2015, maintenant changé m’at-on dit cet été pour une rémunération par participation à une réunion du C.A. : information impossible d’en connaître le coût par réunion), un président qui se fait un salaire de 86 500. $ par semaine, nous a révélé l’animatrice de «Tout peut arriver» (Radio-Canada) Marie-Louise Arseneault en février 2024, information à laquelle Guy Cormier n’a pas trouvé mieux de dire qu’elle était justifiée par le fait qu’il avait 55 000 employés sous ses ordres! Bel esprit de coopération, n’est-ce pas?
Oui, notre société est malade et elle l’est tristement plus qu’avant. Va-t-elle mourir et aller au ciel, comme les «Amaricains»?
François Champoux, Trois-Rivières
9 novembre 2024
Bonjour M. Labrie,
La jalousie est une de nos pires lacunes humaines: bassement animale.
François Champoux,Trois-Rivières