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Yann Jacques

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Une constitution canadienne... anglaise

  • Yann Jacques
  • 22 avril 2012
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  • 1 commentaire

Québécois ou canadien français : une question de frontière

  • Yann Jacques
  • 3 avril 2011
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Hausse des droits universitaires : une mauvaise solution

  • Yann Jacques
  • 9 décembre 2010
  • Université - démocratisation, gouvernance et financement
  • 9 commentaires

Ni majorité, ni minorité

Commentaire à propos de la lettre de M . Beauchemin et Mme Beaudoin

  • Yann Jacques
  • 16 février 2010
  • 298 visites
  • 1 commentaire

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Commentaires de Yann Jacques

  • Les nationalistes: Canadiens-français ou Québécois?

    19 décembre 2010


    Il me semble que l’idée de nation ethnique est un piège dans lequel les canadiens-français sont enfermés depuis la conquête. Une nation ethnique ne possède pas de territoire ou n’est associée à aucun territoire puisqu’elle est ethnique. Une nation ethnique ne peut compter que sur sa natalité pour se perpétuer. Impossible, par définition, d’intégrer de nouveaux membres puisque l’appartenance nationale est basée sur l’appartenance ethnique. Dans ces conditions, la nation ethnique canadienne-française est condamnée à la minorisation puis à la disparition dans l’ensemble canadien et surtout anglo-américain. C’est dailleurs là le pari cannadien-anglais. La seule façon de faire l’indépendance est de la faire sur une base territoriale. Seule la nation québécoise peut faire l’indépendance, basée sur le territoire et les frontières du Québec. On parle donc ici de nation civique et non de nation ethnique. C’est le nationalisme québécois qui soutend l’action de la grande majorité des indépendantistes (PQ, Bloc québécois, Québec solidaire, …) et c’est contre le nationalisme québécois et aucun autre que se battent avec acharnement le Canada-anglais et les fédéralistes québécois. Ils ont bien compris qu’ils n’ont rien à craindre du nationalisme ethnique canadien-français - bien au contraire, ils l’utilisent pour décrédibiliser le projet indépendantiste - mais tout à crainde du nationalisme civique québécois dont l’objectif est de réaliser, sur le territoire du Québec, un pays de langue française en terre d’amérique, incluant tous les citoyens québécois souhaitant vivre dans un pays francophone, quelque soit leur origine ethnique.

    La contradiction entre nationalisme québécois et la présence d'anglophones au Québec est à mon avis un faux problème. Il existe de nombreux pays dans le monde avec des minoritées extra-nationales (allemands et français vivant en Italie, suédois vivant en Finlande, allemands en Pologne, etc...). Les Québécois n'ont pas de raison de cesser d'être des québécois, ni des francophones parce qu'il y a des anglophones vivant au Québec. La présence de minorités francophone et germanophone en italie n'empêche pas les italiens d'être italiens - on n'y parle pas encore d'italiens italophones, d'italiens fancophones ou d' italiens germanophones -. Les vrais problèmes au Québec sont plutôt : le poid politique de cette minorité extra-nationale, la présence d'un parti de gouvernement dédié aux intérêts de cette minorité plutôt qu'aux intérêts du Québec, l'intégration d'une partie des immigrants à cette minorité, le grand nombre d'institutions québécoises dédiées au intérêt de cette minorité plutôt qu'aux intérêts du Québec et des québécois, le refus d'une partie des québécois - y compris parmis les indépendantistes - d'assumer leur caractère francophone (nous ne sommes pas des québécois francophones mais des québécois, point. Nous n'apprenons pas de langue seconde parce que nous n'avons qu'une langue; nous apprenons des langues étrangères, etc).

    Y. Jacques

  • Détourner la puissance du Québec

    19 décembre 2010


    M. Desfossé,

    Je sais que nous sommes hors sujet mais :

    "clamer haut et fort la légitimité du nationalisme ethnique canadien-français comme ligne directrice de notre action politique"

    ne me parait pas la bonne chose à faire. L'idée de nation ethnique est un piège dans lequel les canadiens-français sont enfermés depuis la conquête. Une nation ethnique ne possède pas de territoire ou n'est associée à aucun territoire puisqu'elle est ethnique. Une nation ethnique ne peut compter que sur sa natalité pour se perpétuer. Impossible, par définition, d'intégrer de nouveaux membres puisque l'appartenance nationale est basée sur l'appartenance ethnique. Dans ces conditions, la nation ethnique canadienne-française est condamnée à la minorisation puis à la disparition dans l'ensemble canadien et surtout anglo-américain. C'est dailleurs là le pari cannadien-anglais. La seule façon de faire l'indépendance est de la faire sur une base territoriale. Seule la nation québécoise peut faire l'indépendance, basée sur le territoire et les frontières du Québec. On parle donc ici de nation civique et non de nation ethnique. C'est le nationalisme québécois qui soutend l'action de la grande majorité des indépendantistes (PQ, Bloc québécois, Québec solidaire, ...) et c'est contre le nationalisme québécois et aucun autre que se battent avec acharnement le Canada-anglais et les fédéralistes québécois. Ils ont bien compris qu'ils n'ont rien à craindre du nationalisme ethnique canadien-français - bien au contraire, ils l'utilisent pour décrédibiliser le projet indépendantiste - mais tout à crainde du nationaliste civique québécois dont l'objectif est de réaliser, sur le territoire du Québec, un pays de langue française en terre d'amérique, incluant tous les citoyens québécois souhaitant vivre dans un pays francophone, quelque soit leur origine ethnique.

    Yann Jacques

  • La sortie est à gauche

    26 novembre 2010


    M. Montmarquette,

    Je ne donne aucun chèque en blanc à un parti politique puisque je vote tous les cinq ans. C'est précisément ça qu'il faut inscrire dans une constitution : que le Québec est une démocratie et que nous avons le droit d'élire nos députés (donc renouveler l'assemblée nationale) tous les cinq ans. Je ne veux pas inscrire dans la constitution le fruit de nos débats gauche-droite mais plutôt le droit de débattre démocratiquement. Au contraire, il me semble qu'inscrire le fruit de nos débats dans une constitution reviendrait à interdire ce débat à ceux qui suivront. Autrement dit, nous faisons les choix de société aujourd'hui, nous les inscrivons dans la constitution puis nous fermons l'assemblée nationale.

    Comme je l'ai dit dans le précédent courriel, le débat gauche-droite est l'élément centrale autour duquel s'organise le débat politique dans un pays démocratique et on ne peut figer ce débat dans une constitution.

    Yann Jacques

  • Mme Marois a fait une magnifique déclaration !

    16 mars 2010


    "Mais comment peut-on vouloir faire un Pays sans dire comment nous le voulons?"

    Personnellement, j'ai peine à voir le rapport entre l'indépendance et le débat gauche-droite. L'indépendance, c'est le pouvoir donné aux citoyens d'un pays de diriger ce pays en fonction de leurs intérêts plutôt que d'être dirigés par une autre nation en fonction des intérêts de celle-ci. Le débat gauche-droite, c'est le choix que font des citoyens quant à la façon dont ils souhaitent être gouvernés et du type de société dans laquelle ils souhaitent vivre. Je me trompe peut être mais je n'ai jamais entendu parler de pays de droite ou de pays de gauche, ni de constitution de droite ou de gauche, seulement de peuples qui votent à gauche ou à droite. Mais ça, ça s'appelle la démocratie. Je ne veux pas donner à mes enfants un pays de gauche ou de droite. Je veux leur donner la possibilité de choisir dans quelle société ils veulent vivre. Et pour ça, il faut être indépendant.

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Sources de Vigile

  • Vigile
  • La Presse canadienne
  • Le Droit
  • The Toronto Star www.thestar.com
  • http://lesaffaires.com
  • The Ottawa Citizen www.ottawacitizen.com
  • Le Québécois www.lequebecois.org/

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