Jean

Jean

Un drapeau doit flotter d'abord dans son pays en entier.

Droit devant, continuons.. je vois de grosses vagues venir, il faut être prêts.

Jean

Notre vaisseau prend beaucoup de fuites et beaucoup de nouveaux matelots qui s'embarquent se prélassent sur le pont en nous envoyant chier. Nous ne sommes pas tenus d'héberger des matelots qui surchargent dangereusement le vaisseau, qui se font servir et qui communiquent avec l'équipage dans une autre langue.

Qui honnêtement endurerait ça? On a pas de temps à perdre avec ça; il faut regarder vers la proue et arrêter de jouer aux accomodements impossibles qui grugent toute notre énergie. On a plus le temps de jouer à ça! Ni à gauche, ni à droite, ni au plafond, ni vers le bas; rentrer au port de la libération ou mourir en mer.
Droit devant, en avant toutes!

Jean

Nous d'abord et ça urge.

Jean

La fidélité que j'évoque c'est bien sûr celle envers notre nation et notre pays le Québec, même si toutes les apparences nous expédient au dépotoir des nations.
Quant au parti Québécois eh bien c'était acquis pour moi que ce parti ne ferait jamais l'indépendance; c'était en 1976 qu'il fallait battre le fer pendant qu'il était encore chaud. D’ailleurs j’ai réellement cru à l’époque que le parti Québécois au pouvoir, ça signifiait automatiquement l’indépendance du jour au lendemain. J’étais naïf et ignorant peut-être, mais tout de même sincère. Désolé, j'aurais dû préciser.

Oui le peuple est à genoux devant ses bourreaux, toutefois je ne sais pas si vous avez remarqué monsieur Cloutier, mais il est écrit plus loin dans le texte de ce cantique : « Peuple debout chante ta délivrance » et n’est-ce pas ce que Félix Leclerc, et Gilles Vigneault particulièrement ont chanté?

Pauline, n’est pas ma tante et je ne connais pas non plus cet oncle « Sam » mentionné parfois dans certains cahiers; mes oncles portent tous des noms français.

Les curés, plusieurs baisaient avec les gouvernantes; moi ça ne m’a jamais dérangé au contraire, j’étais bien content pour eux, j’aurais fait la même chose.

C’est à l’église que j’ai le plus ris dans mon enfance; jusqu’aux larmes. Quand je m’ennuyais et que je trouvais ça plate d’écouter le discours du curé en avant, je contemplais les magnifiques fresques mystiques évocatrices d’un monde fabuleux peintes partout dans l’église.

Alors le religieux à l’église pour moi , n’a jamais été une expérience pénible. Par contre à l’école, j’ai vécu comme beaucoup d’enfants des moments difficiles parfois franchement sadiques, de la part d’enseignants et d’enseignantes religieux et laïques cinglés de la religion, et qui semblaient connaître beaucoup mieux l’enfer que le ciel. C’était pour certains, des malades et nous le savions intérieurement.

Serge Jean

C'est nous qui menons encore icitte-dans et il nous faudra plus que jamais l'affirmer haut et fort.
Mon peuple, mon pays d'abord!
Bienvenue aux immigrants respectueux et de bonne foi; quant aux autres, c'est inutile de venir nous casser les pieds ici.

Jean

direction.generale@ville.gaspe.qc.ca

« Bonjour, j'appuie totalement les gens de Gaspé, dans leur combat pour la protection de l'eau potable ou l'eau tout court; contre la firme pétrolia de Rimouski qui n'a pas d'affaire à aller vous empoisonner chez-vous pour faire de l'argent sur le dos des Gaspésiens de TOUTE LA PÉNINSULE GASPÉSIENNE.
Y aurait-il une pétition en ligne quelque part à ce propos?.»

Serge Jean.

Glané dans le cahier de monsieur Maronani.

Convenons-en, nous sommes tous de beaux hypocrites en tolérant la culture commerciale du tabac.

Qui parle des emplois assassins bien rénumérés des usines de tabac ? De la culture subventionnée, du taxage exorbitant gouvernemental assassin soutenu par les fascistes anti-tabac dans le peuple (souvent des ex-fumeurs) ? Des bonnes affaires des lobbies pharmaceutique et nucléaire, sniffeux de $500,000 dollars? Qui?

Le peuple n'a droit à aucun péché, mais eux .........des assassins irresponsables je ne trouve pas d'autres mots.

Il n'y a aucune perte d'argent pour les vautours y compris le gouvernement piraté. Tous font beaucoup d'argent avec la mort.

Jean

Jean

Merci d'en informer ce Nous qui s'éveille comme il peut.

Jean

Le « bon » travail de gestion récompensé bien loin du lieux des opérations, c'est d'amincir effrontément partout dans les établissements, imposer subitement du jour au lendemain des décisions qui ne tiennent pas debout, déclencher à tout-bout-de-champ des travaux de réaménagements coûteux et souvent inutiles, faire payer du stationnement de plus en plus onéreux, à la visite du patient par exemple et bien d'autres formes insidieuses, de pompage que tous seraient bien étonnés de découvrir.
La gangrène elle est installée partout dans ce faux système en train de se dévorer par l'intérieur; c'est à la fin qu'on s'en rend compte quand tout s'écroule.

Jean