Anglophones et allophones ne partagent pas notre cadre de références culturelles
8 janvier 2012
M. McNichols Tétrault,
Je n'ai pas le temps de réfuter un à un vos arguments.
Je vous invite plutôt à relire mes articles qui ont tous à coeur la sauvegarde de notre peuple fondateur contre les menaces de l'assimilation active:
http://www.vigile.net/_Labrie-Rejean_
Relisez aussi les commentaires de situations vécues au quotidien que les gens ajoutent à mes textes pour mieux comprendre la situation. Votre vision idéaliste du bon-immigrant-atout-pour-la-société-d'accueil vous joue des tours et vous met des oeillères tout le tour de la tête, pauvre monsieur.
Les gens réagissent positivement à mes article parce que je fais fi de toute rectitude politique et ose décrire les problèmes tels qu'ils se présentent dans la réalité concrète, pas comme certains bien-pensants qui pratiquent l'auto-aveuglement cherchent à nous le faire croire.
Je respecte les allophones et les anglophones pris individuellement; ce sont des êtres humains comme vous et moi. Mais lorsque pris en nombre élevé qui forme une masse monolithique, on s'aperçoit qu'ils contribuent par leur indifférence ou leur opposition clairement affichée à l'assimilation, la louisianisation (phénomène quasi imperceptible à prime abord, surtout à ceux qui ont les yeux volontairement bandés) de notre peuple, il faut avoir le courage de le constater et de proposer les mesures qui s'imposent. Ils ont eu 40 ans pour s'intégrer avec des résultats à peu près nuls. La chose parle d'elle-même.
Si on met en application votre vision idéalisée, tout le Québec sera semblable à l'île de Montréal d'ici 20, 30 ou 50 ans. Est-ce là ce que vous désirez si ardemment?
Et qu'est-ce que cette forme de nationalisme abâtardi que vous revendiquez qui n'a pas a coeur la préservation de son peuple fondateur mais bien sa dilution graduelle jusqu'au néant?
Mes respects,
Réjean Labrie