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Raymond Poulin

  • Featured dc5cc56da2a5b3719f7514193671f597

    Raymond Poulin120 articles

    • 95 443

    Enseignant (cégep)

    Ph.D. (littérature)

    Basses-Laurentides




De Fratrie en Pratterie

La Presse, c'est le Rona de l'enfoncement du Québécois pour en faire une minorité fédéraliste, néo-libérale et multiculturelle

  • Raymond Poulin
  • 20 août 2007
  • Chronique de Raymond Poulin
  • 1 commentaire

Ah, les "maudits immigrants" !

  • Raymond Poulin
  • 18 août 2007
  • Tribune libre - 2007
  • 2 commentaires

Le Bloc québécois est-il nécessaire?

  • Raymond Poulin
  • 6 août 2007
  • PI - Parti indépendantiste
  • 5 commentaires

Élection référendaire et déclaration unilatérale d'indépendance

  • Raymond Poulin
  • 1 août 2007
  • PI - Parti indépendantiste
  • 3 commentaires

Adieu, madame Marois !

  • Raymond Poulin
  • 24 juillet 2007
  • Pauline Marois - entre urgence et prudence
  • 8 commentaires

La proportionnelle, vraiment?

  • Raymond Poulin
  • 19 juillet 2007
  • Tribune libre - 2007

Un nouveau parti indépendantiste

Un projet mystérieux et fumeux

  • Raymond Poulin
  • 15 juillet 2007
  • PI - Parti indépendantiste
  • 11 commentaires

À René-Marcel Sauvé

  • Raymond Poulin
  • 19 juin 2007
  • Tribune libre - 2007
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Commentaires de Raymond Poulin

  • L’enseignement des mathématiques

    10 septembre 2007


    Enfin, on commence à en sortir de ce discours pseudo-scientifique qui mise tout sur les maths! Au collégial, beaucoup d'étudiants, qui ont par ailleurs un bon dossier en mathématiques, maîtrisent beaucoup moins bien la langue. Or quel est l'outil indispensable à la compréhension dans toutes les disciplines de même que la base essentielle de toute communication? La langue, et c'est justement là où le bât blesse chez la plupart, de même que la principale cause des échecs au collégial et même à l'universitaire. J'ai toujours été sidéré de constater qu'il n'y a pas moyen de faire comprendre cette évidence, d'ailleurs chiffrée, aux hauts fonctionnaires du MELS et aux différents ministres de l'Éducation qui se sont succédé depuis au moins 25 ans. Et ce n'est pas leur examen national, à la fin du collégial, qui y changera quelque chose, surtout lorsqu'on le traficote pour assurer un taux de réussite rassurant, d'autant plus que ce n'est pas à l'âge de 19 ou 20 ans qu'il faut constater le problème des étudiants. J'ai bien hâte de voir comment on va réussir à aggraver la situation avec le socio-constructivisme par-dessus l'approche par compétences, où l'élève consultera, par exemple, sa grammaire à son gré "lorsqu'il en sentira le besoin", comme je me le suis déjà fait répondre par un promoteur de cette quincaillerie. Comment sentir le besoin de ce qu'on ne sait pas qu'on ignore? Je passe le tiers des cours à "traduire" oralement les textes en langage familier. Il faut presque menacer les étudiants d'une sortie de cours pour qu'ils daignent consulter leur dictionnaire ou même pour qu'ils s'en procurent un. Si je veux obtenir des résultats potables, je dois d'abord leur enseigner, en première session, ce que, avant même les années soixante, nous apprenions en huitième ou neuvième année, soit l'équivalent de secondaire 2 et 3. Pendant leur secondaire, la plupart n'ont même pas lu en entier plus de trois ou quatre oeuvres littéraires, et encore, pas toujours de la meilleure eau. Inutile de dire qu'à l'exception des termes les plus courants de la langue, leur vocabulaire est plutôt en carence. (Il va sans dire que je ne blâme pas les étudiants de la situation.) Est-ce ainsi qu'on forme une nation?

    Raymond Poulin

  • Henderson c. 99

    10 septembre 2007


    Capitaine Sauvé,

    Votre réponse à Mme Ferretti, en ce qui concerne la défense du Québec, est la seule appropriée dans notre contexte, et, au fond, tout peuple normal devrait le savoir d'instinct: n'est-ce pas la même stratégie que, enfants et adolescents, nous pratiquions contre les "gangs" rivales? Tendre une fleur lorsqu'on nous attendait au coin de la rue avec des roches n'avait qu'un seul résultat: nous recevions les roches. Lorsque l'autre "gang" s'apercevait que nous étions prêts à nous défendre (dans le même quartier où vous êtes né, d'ailleurs), la paix, du moins la non-guerre, s'installait rapidement. On interprète souvent assez mal le conseil de César: «Si vis pacem, para bellum»; or la préparer, ce n'est pas la faire nécessairement. Au vu de l'expérience historique de ce qui a mené à la Deuxième Guerre mondiale, je n'ai jamais pu comprendre le point de vue des pacifistes absolus, c'est-à-dire en toute circonstance; leurs sentiments partent sans aucun doute d'une grande générosité, à laquelle se mêle pourtant une naïveté qui devient moins pardonnable lorsqu'il s'agit de ceux qui ont atteint un âge où la culture, l'information et l'expérience (et Mme Ferretti n'en manque certainement pas) auraient dû leur apprendre que l'existence n'est pas le monde de Pruneau et Cannelle. De grâce, n'abandonnez pas votre activité: plus de Québécois que vous ne le croyez ont commencé à comprendre quelque chose grâce à vous. je n'hésite pas à soutenir qu'en ce qui concerne la géopolitique et la stratégie d'État sur le plan de sa protection, vous êtes, à ma connaissance, la seule voix crédible au Québec. Je vous en suis reconnaissant.

    Raymond Poulin

  • Pauline : courtiser avec tact et patience

    3 septembre 2007


    On verra bien jusqu'où se rendra le damoiseau. Les précédents prétendants, à l'exception d'un seul, floué par le beau-père, semblaient s'en tenir aux préliminaires ou, au mieux, souhaiter un concubinage honteux. On doit certes conquérir avec grâce en y mettant le temps qu'il faut, mais il faudrait au moins un appel du pied qui permettra à la courtisée de croire qu'on ne lui fait pas perdre son temps pour un simple baguenaudage qui la laissera, frustrée et à demi-vierge, à l'orée des terres de son père dénaturé, de l'autre côté de l'Outaouais. C'est ainsi qu'on fabrique depuis trente ans des vieilles filles enragées.

    Sans animosité,
    Raymond Poulin,
    passé au PI.

  • De toute manière...

    2 septembre 2007


    Cher M. Bousquet,

    Je suis parfaitement conscient que ce que je propose recevrait chaque fois de la part d'Ottawa une fin de non-recevoir, et c'est justement pourquoi je le propose. Ma démarche vise un tout autre but. Lorsque vous l'aurez trouvé, faites-moi signe. En attendant, si vous préférez à tout prix me croire fédéraliste, c'est votre problème, pas le mien.

    Raymond Poulin

  • "Chier dans son nid"

    1 septembre 2007


    Au fond, la hargne des anglo-Québécois et les manoeuvres fédérastes n'ont que l'importance qu'on leur accorde, et là se situe justement le problème. Pourquoi les franco-Québécois s'agitent-ils tant à ce propos? Du jour où ils compteront suffisamment d'indépendantistes pour former un gouvernement majoritaire en sièges et et en suffrages, ils n'auront pas à tenir compte de ces gens, car alors les rodomontades de ces derniers n'auront plus que la valeur de jérémiades impuissantes. L'indépendance sera devenue un sujet reposant strictement sur le politique et non sur le juridique.

    Dans un article publié le 31 août, à propos du PI, M. Richard Gervais écrivait: «Il ne s'agit pas d'enseigner aux Québécois le pourquoi de l'indépendance, mais de la leur offrir quand ils vont voter.». Je suggère l'addition d'un simple mot à sa phrase: il ne s'agit pas seulement d'enseigner aux Québécois le pourquoi de l'indépendance, mais de la leur offrir quand ils vont voter. Sinon, à qui confier la mission de convaincre le nombre suffisant de voteurs propre à atteindre le but? Il est pourtant évident que ce nombre est loin d'être atteint et encore moins maintenu.

    Si la position des autres promoteurs de ce parti, qui est aussi le mien, endossent telle quelle la déclaration de M. Gervais, je crois beaucoup de membres actuels ou éventuels vont ressentir la nécessité d'une clarification.

    Raymond Poulin

  • Maîtres chez nous, monsieur Garcia !

    31 août 2007


    En effet, madame Vallée, le loup dans la bergerie, un loup parmi d'autres.

    Regardez bien dans la direction de l'Hydro: parmi les principales figures à son sommet, quelques fédéralistes génétiquement non modifiés se lovent comme des serpents. Je vous prédis qu'une offensive fédérale massive et vicieuse, dont les prémices sont déjà là, va nous tomber dessus avant peut-être la fin de l'année. Elle est préparée de longue date et s'insère dans le plan de convergence des moyens pour renforcer le pivot économique central du Canada, situé, comme vous le savez, dans le sud de l'Ontario. Là-dedans, Terre-Neuve n'est qu'un pion de relais.

    Raymond Poulin

  • La consolation maroisienne

    28 août 2007


    Peut-être n'avez vous pas remarqué, monsieur Bousquet, que ce texte est un appel à ceux qui y sont encore à quitter le navire péquiste? Quand à la partie que vous avez interprété, elle mentionnait ce que Marois aurait pu faire, en allant du minimum au maximum, dans la position qu'elle occupe. Où voyez-vous que j'encourage la venue d'un gouvernement péquiste? Et voilà des semaines que je prétends le contraire.

    Raymond Poulin

  • Stratégie

    25 août 2007


    Monsieur Julien,

    Merci de votre réponse et de votre sincérité. J'ai adhéré au PI voilà environ deux semaines. Quant à la marche demain, j'ai été opéré avant-hier et le 16 pour des cataractes, alors je dois m'en abstenir. Nous nous rencontrerons certainement un de ces jours, même si je ne vais plus souvent à Montréal.

    Raymond Poulin

  • PQ Pauline et la loi 101, 104, etc...

    25 août 2007


    «Ceci est un message enregistré. Malheureusement, nos oreilles sont encrassées. Votre appel est important pour nous. Ne quittez pas, notre agente vous répondra d'ici trois ou quatre mandats, si nous existons toujours.»

    Enfin, voilà à peu près ce que je m'attendrais à me faire répondre.

    Raymond Poulin

  • On ne construit pas sur du vide

    25 août 2007


    Donc, monsieur Julien, nous sommes d'accord.

    Raymond Poulin

  • Stratégie

    25 août 2007


    Monsieur Julien,

    Bien d'accord pour la vigilance; bien d'accord qu'il y a mieux à faire que de se tirer dessus, là n'est pas la question: il faut tout de même prévoir et prévenir.

    Quant à Gandhi, sa performance est certes remarquable, et unique. Question d'homme et de contexte. Par ailleurs, comme vous le savez sans doute, l'Empire britannique a organisé et planifié son départ de l'Inde au moment où il n'avait plus rien à y gagner matériellement, comme l'ont fait tous les États colonialistes, ce qui confirme d'ailleurs ce que vous disiez de l'argent, même si la raison d'une guerre n'est pas toujours ce motif; la puissance, le territoire, l'eau et, parfois, tout simplement la peur ou la haine sont également des causes fréquentes.

    Oui, beaucoup de militaires ont, si l'on peut dire, une psychologie qui s'accorde au métier qu'ils ont choisi, ce qui, généralement parlant, va de soi et ne signifie pas qu'ils soient prêts à devenir des fascistes. S'il fallait interpréter au premier degré les tendances latentes et l'allure des gens, nous n'aurions pas que les militaires à craindre!

    P.S. Forcément, j'ai, comme vous dites, quelque peu baigné dans le milieu, mais je n'ai jamais porté l'uniforme.

    Raymond Poulin

  • On ne construit pas sur du vide

    25 août 2007


    M. Julien,

    Il ne s'agit pas de nostalgie mais du matériau de base de la confiance que l'avenir peut inspirer. Ne mêlons pas tout.

    Raymond Poulin

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  • Le Québécois www.lequebecois.org/

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