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Raymond Poulin

  • Featured dc5cc56da2a5b3719f7514193671f597

    Raymond Poulin120 articles

    • 95 435

    Enseignant (cégep)

    Ph.D. (littérature)

    Basses-Laurentides




De Fratrie en Pratterie

La Presse, c'est le Rona de l'enfoncement du Québécois pour en faire une minorité fédéraliste, néo-libérale et multiculturelle

  • Raymond Poulin
  • 20 août 2007
  • Chronique de Raymond Poulin
  • 1 commentaire

Ah, les "maudits immigrants" !

  • Raymond Poulin
  • 18 août 2007
  • Tribune libre - 2007
  • 2 commentaires

Le Bloc québécois est-il nécessaire?

  • Raymond Poulin
  • 6 août 2007
  • PI - Parti indépendantiste
  • 5 commentaires

Élection référendaire et déclaration unilatérale d'indépendance

  • Raymond Poulin
  • 1 août 2007
  • PI - Parti indépendantiste
  • 3 commentaires

Adieu, madame Marois !

  • Raymond Poulin
  • 24 juillet 2007
  • Pauline Marois - entre urgence et prudence
  • 8 commentaires

La proportionnelle, vraiment?

  • Raymond Poulin
  • 19 juillet 2007
  • Tribune libre - 2007

Un nouveau parti indépendantiste

Un projet mystérieux et fumeux

  • Raymond Poulin
  • 15 juillet 2007
  • PI - Parti indépendantiste
  • 11 commentaires

À René-Marcel Sauvé

  • Raymond Poulin
  • 19 juin 2007
  • Tribune libre - 2007
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Commentaires de Raymond Poulin

  • L'immigration et la question religieuse

    1 décembre 2007


    Cher monsieur Bergeron,

    J'ai déjà mentionné, dans d'autres articles, le rôle positif de l'Église au Québec, qui ne doit certainement pas être occulté. En revanche, son rôle négatif, qui n'a pas été qu'un incident de parcours, ne doit pas davantage l'être. Dans n'importe quel domaine, il n'existe rien de pire, à mon humble avis, que de camoufler la poussière sous le tapis, ce qui amène souvent un retour du refoulé.

  • L’avis du banquier: le plus redouté

    27 novembre 2007


    Pour déniaiser les néophytes en matière économique, rien comme les nombreuses oeuvres de John Kenneth Galbraith, qui joua un rôle prépondérant dans l'application de la politique économique de guerre aux USA pendant la Deuxième Guerre mondiale et contribua, pendant 70 ans, à dégonfler bien des baudruches. En plus du petit bouquin recommandé ici, je propose notamment Voyage dans le temps économique, au Seuil. Ces deux livres devraient être au programme du cours obligatoire d'économie dans les cégeps. Sans s'enferrer dans les mathématiques et les graphiques, les étudiants en apprendraient davantage là-dedans que dans leurs manuels sur les rouages réels de l'économie et sur les véritables hérésies économiques des grandes puissances, des spéculateurs, des banquiers et même des économistes.

  • Le nationalisme québécois

    26 novembre 2007


    Voilà, en quelques paragraphes et un vocabulaire simple et juste, la meilleure définition de la nation québécoise de même qu'un argumentaire indépendantiste qui, sans s'enferrer dans une démonstration technique, situe le problème dans une perspective "holistique" susceptible d'être comprise par tous. C'est une référence, qui devrait être propagée partout au Québec, car elle vaut mille discours. Merci, monsieur Desgagné.

  • Encore un petit tour de piste à propos de la citoyenneté, des médias et des bien-pensants…

    25 novembre 2007


    Tant que l'indépendance ne sera pas faite, toute mesure protégeant tout ce qui peut l'être ou procurant au Québec un avantage économique, politique, social ou culturel doit être promue, appuyée et réalisée. Une poignée d'indépendantistes s'oppose par principe à toute avancée tant que le Québec demeurera une province canadienne, affirmant que toute amélioration du sort des Québécois sous le régime politique actuel conforte la population dans l'idée que l'indépendance n'est par conséquent pas nécessaire. Si cette idée avait prévalu en 1976, non seulement le gouvernement québécois aurait privé volontairement ses citoyens d'une série de mesures bénéfiques, mais le Parti québécois se serait vu accusé, avec raison, de pratiquer la politique du pire et le chantage envers la population. Il serait alors disparu du paysage politique et n'aurait pu être remplacé que par un autre parti indépendantiste, lequel aurait dû, pour ne pas disparaître à son tour, pratiquer la politique qu'on reproche aujourd'hui au Parti québécois d'avoir suivie. Les indépendantistes qui prônent la politique du pire ne tiennent aucun compte de la psychologie collective et raisonnent comme les trotskystes et les nihilistes. Faute d'un peuple fidèle à l'image qu'ils s'en font, ils se décrètent un peuple imaginaire qu'ils entendent façonner.

    On ne peut pour autant approuver le fiasco qu'a été le Parti québécois de 1996 à aujourd'hui ni présumer trop tôt qu'il se réformera suffisamment: une hirondelle ne fait pas le printemps.

  • La RCMP tue lâchement un homme sans raison à Vancouver

    17 novembre 2007


    La proposition de monsieur Sauvé équivaut à créer une Garde nationale québécoise, idée que j'applaudis des deux mains. Cependant, est-ce possible légalement au Canada? Ma préoccupation n'est pas juridiste mais pratique: si ce n'est pas possible sur le plan constitutionnel, ne risquons-nous pas qu'on nous en empêche par l'intervention armée (à supposer, bien entendu, qu'un gouvernement québécois ait le courage d'explorer cette avenue)? J'apprécierais qu'on nous éclaire là-dessus. Merci, monsieur Sauvé.

  • Québec, droit devant!

    15 novembre 2007


    Ai-je bien lu? Selon monsieur Julien, «l'idéal serait que cette initiative soit portée par madame Marois elle-même». En principe, voilà la meilleure proposition entendue depuis longtemps. Quoi qu'on prétende et malgré le maugréement des "outsiders", le Parti québécois regroupe au moins, en membres et en voteurs, les trois-quarts des indépendantistes. C'est à la fois un avantage et un obstacle: un avantage puisque c'est le seul parti véritablement structuré et enraciné sur le plan territorial de même que le seul comptant des députés et ayant déjà gouverné; un obstacle parce que, indépendamment de l'altruisme attendu de Mme Marois, il serait plus qu'étonnant que ses notables, ses cadres, ses membres et ses députés acceptent de saborder le seul véhicule concret — quoi qu'on pense de son "orthodoxie" — de l'indépendance depuis 40 ans. Lorsqu'il a pris la décision de se saborder, le RIN, en termes de membres et d'appareil politique, ne faisait pas le poids: l'altruisme faisait ainsi bon ménage avec le réalisme, ce qui n'enlève rien au mérite de Pierre Bourgault. Ces États généraux des mouvements et partis indépendantistes s'imposent probablement, mais, en fin de compte, la décision la plus raisonnable et la plus rationnelle serait sans doute — à la condition que le Parti québécois accepte de modifier son programme et son mode de fonctionnement en conséquence — le ralliement de tous les indépendantistes à un parti ainsi rénové. Cela suppose que les autres mouvements et partis examinent également, lors de ces États généraux, leurs diverses prétentions à des stratégies parfois suicidaires et acceptent ensuite sans arrières-pensées la ligne et la discipline du parti ainsi rénové.

    Évidemment, cela suppose que le Parti québécois actuel se livre le premier à un examen honnête de lui-même et cesse de croire qu'il a toujours raison, exercice difficile de modestie; serait-ce trop lui demander?

    Tant que la mouvance indépendantiste se livrera à une guérilla intestine truffée de dénigrements, d'embuscades et de prétentions à la pureté doctrinale, l'objectif final s'éloignera, jusqu'à ce qu'il s'étiole et enfin devienne un rêve avorté. Il ne restera aux irréductibles que la nostalgie souffreteuse de ce qui aurait pu advenir. On ne ralliera jamais une majorité stable de Québécois à une hydre, surtout lorsque ses têtes regardent dans des directions différentes et tiennent des discours contradictoires.

  • Retour sur la formule Parizeau-Laplante

    13 novembre 2007


    Il va de soi qu'au début ou à la fin d'un hypothétique processus d'accession à l'indépendance, il faudra obtenir une confirmation populaire si l'on veut éviter toute contestation et toute manoeuvre dilatoire. Il n'en demeure pas moins qu'une élection référendaire suivie d'un vote à la majorité absolue de l'ensemble de l'Assemblée nationale est, sur le plan des usages internationaux, recevable. Il s'agit de savoir si la population est préparée et prête aux "turbulences" survenant ensuite, dans le cas où cette dernière n'aurait pas été appelée à ratifier la décision clairement.

    Par ailleurs, rien de ces beaux projets ne tiendra debout tant qu'il n'existera pas, en effet, une majorité stable dans l'opinion. On n'enclenche pas un processus sur un objet aussi capital sans assurer ses arrières. En la matière, il n'existe aucun autre moyen de fonder l'action sur un terrain solide. Et on ne déconditionnera pas un peuple colonisé et annexé simplement en "fonçant dans le tas" sans égard à l'état de la psychologie collective.

    Il va de soi également qu'il faut un parti établissant des politiques d'État, comme un autre correspondant le mentionne, mais cette action seule est insuffisante si l'opinion ne dégage pas en même temps, de préférence avant, une majorité stable.

  • La langue collée au palais

    13 novembre 2007


    Monsieur Savard,

    Ce que vous soulignez quant à la langue parlée est très juste. Cependant, le problème demeure entier.

  • Démission du PI

    10 novembre 2007


    En relisant les commentaires, surtout l'"ostination" qui n'en finit plus, j'ai envie envie de vous dire: «OK, les p'tits gars, ça va faire! Si vous continuez à vous tapocher, vous n'aurez pas d'indépendance au dessert.»

  • Démission du PI

    8 novembre 2007


    Monsieur Julien,

    Je comprends vos raisons et vous appuie. Pour ma part, j'ai déjà indiqué, dans un commentaire au dernier texte d'Éric Tremblay, que je ne me considérais plus comme membre de ce parti, avant tout à cause de sa lubie de vouloir à tout prix proclamer l'indépendance à la suite d'une élection où il remporterait la majorité simple des sièges, ce qui serait très probablement suivi d'un désaveu sur le plan international, au minimum d'une situation bloquée pour très longtemps entre le Canada et le Québec. C'est jouer à la roulette russe avec l'avenir d'une nation. On ne peut pas risquer de remettre le sort du Québec entre les mains d'une coterie irresponsable. Lorsque je recevrai (si jamais je la reçois) ma carte de membre, elle sera retournée illico.

  • Se dépasser dans le déni

    7 novembre 2007


    À Marie-Mance Vallée,

    J'ignore où se trouve la vérité, mais je crois avoir appris qu'elle ne se trouve pas, en ce qui nous concerne, du côté d'Ottawa.

  • Se dépasser dans le déni

    6 novembre 2007


    Une invitation «à la reconquête du Canada»! On se croirait revenu aux espoirs de Lionel Groulx au début du XXe siècle, alors que les Canadiens français comptaient pour 35% du Canada et que le taux de natalité permettait encore d'imaginer qu'à long terme, peut-être... Depuis les années cinquante, toutes les transformations possibles (en théorie) du fédéralisme ont été suggérées et toutes repoussées, en toute logique: le rapport de force n'est pas là, et le Canada a fait son lit de l'État unitaire. Ceux qui nous tiennent le discours d'une troisième voie (la dixième, la vingtième troisième voie?) sont ou bien totalement à côté de leurs pompes et par conséquent incompétents et naïfs au point d'en être carrément "niaiseux", ou bien savent pertinemment ce qu'ils font. Dans les deux cas, ils sont minables mais dangereux vu les positions qu'ils occupent. Même bien intentionné, surtout bien intentionné, un Judas est toujours plus à craindre qu'un centurion romain qui fait son job.

    Raymond Poulin

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  • The Ottawa Citizen www.ottawacitizen.com
  • Le Québécois www.lequebecois.org/

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