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Raymond Poulin

  • Featured dc5cc56da2a5b3719f7514193671f597

    Raymond Poulin120 articles

    • 95 435

    Enseignant (cégep)

    Ph.D. (littérature)

    Basses-Laurentides




De Fratrie en Pratterie

La Presse, c'est le Rona de l'enfoncement du Québécois pour en faire une minorité fédéraliste, néo-libérale et multiculturelle

  • Raymond Poulin
  • 20 août 2007
  • Chronique de Raymond Poulin
  • 1 commentaire

Ah, les "maudits immigrants" !

  • Raymond Poulin
  • 18 août 2007
  • Tribune libre - 2007
  • 2 commentaires

Le Bloc québécois est-il nécessaire?

  • Raymond Poulin
  • 6 août 2007
  • PI - Parti indépendantiste
  • 5 commentaires

Élection référendaire et déclaration unilatérale d'indépendance

  • Raymond Poulin
  • 1 août 2007
  • PI - Parti indépendantiste
  • 3 commentaires

Adieu, madame Marois !

  • Raymond Poulin
  • 24 juillet 2007
  • Pauline Marois - entre urgence et prudence
  • 8 commentaires

La proportionnelle, vraiment?

  • Raymond Poulin
  • 19 juillet 2007
  • Tribune libre - 2007

Un nouveau parti indépendantiste

Un projet mystérieux et fumeux

  • Raymond Poulin
  • 15 juillet 2007
  • PI - Parti indépendantiste
  • 11 commentaires

À René-Marcel Sauvé

  • Raymond Poulin
  • 19 juin 2007
  • Tribune libre - 2007
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Commentaires de Raymond Poulin

  • Ça suffit!

    9 février 2008


    Monsieur Picard,

    Vous mentionnez un "détail" d'importance: la rhétorique du PI repose avant toute chose sur le "PQ bashing". Presque tous les textes de Richard Gervais et d'Éric Tremblay s'appuient sur ce socle. Certes, un nouveau parti indépendantiste n'aurait pas de raison d'exister si le PQ faisait l'affaire, mais, une fois posé ce diagnostic, la valeur d'un nouveau parti doit dépendre de lui-même, il doit se fonder sur ses propositions et non pas miser sur la seule faiblesse de son adversaire et la réputation qu'il contribue à lui faire. Or, pour le moment, le programme du PI table presque exclusivement sur la promesse d'une indépendance proclamée à la suite d'une élection remportée à la simple majorité des sièges et sur un radicalisme politiquement correct (aux yeux d'une frange de militants) à l'encontre de la minorité anglaise historique. Il s'agit là d'une bravade revancharde négative beaucoup plus que d'un programme articulé. Son cri du coeur se résume par la vieille expression "on va les avoir,les Anglais!". S'il faut "avoir" quelque chose, c'est la peau du régime fédéral, pas celle de compatriotes avec qui nous devrons vivre même et surtout après l'indépendance. On semble partager la même attitude — les articles de Tremblay en font foi — envers les Néo-Québécois, comme si le territoire ne devait devenir que celui des seuls descendants directs des Canadiens français du Québec. Le résultat, j'ai pu le constater chez des Québécois d'adoption qui avaient épousé notre cause depuis des années et se demandent maintenant s'ils ne se sont pas fait des illusions.

  • Ça suffit!

    9 février 2008


    Monsieur Deschênes,

    J'avais cru lire que le président du PI est secrétaire de rédaction de l'Action nationale, ce qui m'a amené à formuler l'hypothèse que ce parti était «peut-être» cautionné par la revue. Votre commentaire lève l'ambiguïté. Je ne cherche aucunement la chicane avec l'Action nationale, en tout point respectable, et regrette ce malentendu.

  • Feu le projet de souveraineté

    6 février 2008


    Les indépendantistes traversent actuellement une crise existentielle: ils se purgent des relents de 1995, comme, de 1981 à 1994, ils se sont purgés de 1980. Puisque le temps passe et que beaucoup vieillissent mal devant l'angoisse de ne pas connaître le Grand Soir de leur vivant, ils multiplient les théories, les stratégies et les tactiques afin de tomber sur la martingale qui fera advenir la parousie demain matin. Certains déterrent même très sérieusement l'avorton mort-né depuis cinquante ans d'une confédération comme prix de consolation, pendant que d'autres en sont aux années soixante-dix avec une proclamation d'indépendance le lendemain d'une élection remportée à la simple majorité des sièges. Les mouvements, instituts, partis et particules atteignent et même dépassent la trentaine grâce à internet, les excommunications réciproques pleuvent, de sorte qu'ils manquent tous de membres, de supporters et d'argent.

    Le niveau de saturation étant atteint, la réalité, qui se comporte comme un élastique, réglera le problème: lorsqu'on l'étire trop, elle revient brutalement au point de départ. Alors, les indépendantistes feront ce qu'ils oublient depuis longtemps: ils recommenceront le seul travail de terrain qui compte: convaincre, modestement et par le dialogue d'homme à homme, d'autres citoyens, un à un, de la nécessité et de la faisabilité de l'indépendance. Ce sera moins glorieux, moins héroïque, moins flatteur pour l'ego mais beaucoup plus efficace.

  • Le piano désaccordé de Monsieur Hamelin

    1 février 2008


    Monsieur Thompson,

    Vous illustrez le mépris de certains intellectuels qui ne peuvent appréhender la réalité qu'à partir des catégories mentales tirées de théories cogitées, évidemment, par d'autres intellectuels formés au rationalisme universitaire des sciences dites humaines, soit des disciplines qualitatives dont les concepts et les présupposés, presque toujours, ne s'appuient jamais sur la réalité in concreto mais sur des reliquats de la scolastique, alors qu'ils se croient affranchis depuis longtemps de cette dernière. Ils prennent la carte pour le territoire. Ce qui n'entre pas dans le schème de leur formation académique n'existe pas ou, pire, ne mérite pas à leurs yeux d'exister. Ils vénèrent l'humanité tout en méprisant le peuple.

  • Quelques notes sur la rhétorique du PI

    30 janvier 2008


    Monsieur Litvak,

    L'impératif démocratique de majorité n'exige pas nécessairement un référendum, il peut être satisfait également par une élection référendaire remportée à la majorité absolue des sièges mais aussi des voix, ce à quoi se refuse le PI. C'est son seul problème, mais sa direction a décidé de le contourner par un référendum sur la constitution d'un Québec indépendant. Cependant, ce parti entend proclamer l'indépendance dès son accession au pouvoir: il tire d'abord et pose la question ensuite. Cherchez l'erreur. Quant à «discuter et délibérer» avec lui, je vous souhaite plus de succès que ceux qui l'ont tenté avant vous. Sais-on jamais...

  • Des commentaires

    30 janvier 2008


    Une guerre injustifiée et injustifiable —ce que devrait savoir un homme aussi renseigné qu'André Pratte — demeure telle même si on améliore la stratégie et augmente le nombre des combattants. Par ailleurs, le gouvernement canadien, étourdiment ou délibérément, a exposé et expose encore ses soldats par son incurie à les doter d'un matériel pertinent au théâtre d'opération: absence d'hélicoptères et de drones depuis le début, achat inconsidéré de chars Leopard, qui ne conviennent pas au terrain, d'autant plus que tout char d'assaut est aujourd'hui une proie facile et, contrairement à l'opinion répandue, fragile — canarder les chenilles ou les faire sauter équivaut à un coup de massue dans les testicules — et dispendieux à entretenir et approvisionner (chenilles, électronique, essence et huile, munitions). On ne s'étonnera donc pas que, proportionnellement au nombre de soldats que nous avons sur place, nos pertes soient trois fois plus élevées que celles des autres contingents. Nos stratèges à la noix semblent également oublier qu'aucun envahisseur n'a pu se maintenir en Afghanistan, encore moins l'occuper entièrement.

  • Pour une critique du mouvement indépendantiste québécois

    29 janvier 2008


    «Le moment venu, la nation votera pour préserver des acquis.» Je partage cette conviction en m'appuyant sur une "loi" qui ne semble pas se démentir souvent: l'être collectif est d'abord conservateur — pas au sens de réactionaire. Il privilégie, pour augmenter son gain, les moyens qui, tout en lui évitant de trop brutales perturbations, lui permettent des pas de plus sans mettre en balance ce dont il dispose déjà. Il ne devient radical que lorsqu'il perçoit l'acquis gravement menacé. Forcément, un peuple colonisé voire annexé est plus lent qu'un autre à percevoir le sérieux de la menace. En 1995, les camouflets reçus depuis 1990 ont joué leur rôle. Depuis, l'appui populaire à l'indépendance a toujours varié en fonction des menaces perçues ou plutôt de leur spectaculaire. On peut en inférer qu'il faut provoquer la menace dans un contexte où elle devient apparente, obligrer l'adversaire à se découvrir. La stratégie proposée par Larose et d'autres, une fois appliquée systématiquement, a toutes les chances de produire cet effet, en y arrivant par la multiplication des petits pas, dont l'accumulation ne peut qu'amener le retour de bâton tout en augmentant l'acquis à préserver, donc la conscience de la gravité de la menace. Lorsque nous en serons là, la question de la plomberie des moyens n'aura plus aucune importance, les moyens s'ajusteront aux circonstances.

    Entre-temps, tirer sur la tige ne fera pas pousser la fleur plus rapidement. Un peuple ne s'adapte pas à une théorie, c'est la théorie qui doit s'adapter à la psychologie collective, existentielle de nature. Les exhortations fortes et les réprimandes des indépendantistes pressés toujours aux abois et aux barricades rebutent inutilement l'esprit collectif et l'énervent plutôt que de l'innerver. Par ailleurs, leur réaction procède aussi de l'existentiel dans une certaine mesure puisqu'elle est, en partie, conditionnée par leur désir de voir se réaliser leur idéal de leur vivant. Le fait de se libérer de son conditionnement beaucoup plus rapidement que la moyenne rend parfois aveugle à la réalité des autres. Sans les encourager, on ne doit certes pas mépriser ni méconnaître ces motivations.

  • Quelques notes sur la rhétorique du PI

    28 janvier 2008


    Monsieur Litvak, il serait absolument impossible, en 2008, de faire reconnaître par la communauté internationale l'indépendance d'un État si sa proclamation s'appuyait sur un vote dont auraient été exclus des catégories de citoyens disposant de ce droit. L'aveuglement là-dessus est dangereux.

    Par ailleurs, une élection référendaire à la majorité des sièges mais sans la majorité des voix présente également un problème si, à la fin du processus, un référendum ne vient pas confirmer la décision prise par le gouvernement.

    À force de réagir au traumatisme de 1995 par la pensée magique, nous allons finir par nous foutre dans la merde pour de bon. La première chose à faire, même si elle est désagréable aux oreilles pressées d'en finir, c'est de convaincre suffisamment de Québécois de voter "oui", soit à un référendum, soit à une élection référendaire. La seconde consiste à s'assurer, par l'établissement d'une carte d'électeur ou d'une véritable carte d'identité, ainsi que par un changement en conséquence à la loi électorale, que seuls les citoyens reconnus comme tels et résidant en permanence au Québec depuis trois ans faits puissent voter. Si ces précautions avaient été prises en 1995, ni les immigrants prématurément et frauduleusement naturalisés par Ottawa — qui leur faisait croire qu'un Québec indépendant les retournerait dans leur pays advenant l'indépendance, j'ai déjà reçu des témoignages là-dessus — ni des fédéralistes qui se prélassent huit mois par an hors du Québec n'auraient pu voter, et le résultat eût été autre. Le rapport de l'ancien DGE sur la question en disait long sur le sujet.

  • L’Empire contre-attaque

    28 janvier 2008


    Je ne suggère rien de subversif, je ne propose aucun discours politique, simplement de transmettre de l'information chiffrée légalement accessible. Le jour où l'on pourra condamner légalement quelqu'un pour cela, alors il sera temps d'entrer en dissidence, parce que nous serons formellement en régime autoritaire. Je ne m'attends pas, par des mesures pareilles, à faire sortir les étudiants dans la rue, et ce n'est surtout pas le but que je vise. Si c'est là ce que vous avez compris, je me suis mal exprimé ou vous avez lu trop vite. Des électeurs, ça se forme d'abord par l'information. Si nous dédaignons d'utiliser les moyens d'informer lorsqu'ils ne sont pas spectaculaires, nous attendons le Père Noël. Quant au SCRS (ou à la GRC), ne vous en faites pas trop, c'est probablement déjà fait depuis longtemps. Si ça les amuse de monter des dossiers, ils auront beaucoup de travail avec Vigile et les autres sites indépendantistes. Faute de terroristes, il faut bien qu'ils justifient leur salaire en colligeant des articles et en pratiquant des écoutes téléphoniques...

  • L’Empire contre-attaque

    28 janvier 2008


    Voilà un résumé concis et complet de la situation. Il s'agissait de mettre ensemble les données les plus parlantes, après quoi les discours deviennent superflus ou mensongers. Le problème, c'est qu'aucun journal à grande diffusion ne le fera, aucune chaîne télé ou radio non plus et le gouvernement Charest, encore moins. Faudra-t-il une fois de plus, quarante ans après la première, que des allumés fassent exploser des bombes pour qu'on en parle? La première bataille au Québec, sans laquelle celle de l'indépendance n'aura jamais vraiment lieu, c'est celle de l'information. À défaut des médias, pourquoi ne pas commencer par des mesures dont chacune, prise isolément, est insuffisante mais néanmoins efficace jusqu'à un certain point? Pourquoi, par exemple, ne pas passer d'abord par les professeurs d'histoire, de sciences politiques et de français dans les cégeps? S'ils le veulent, personne ne peut les empêcher d'informer les étudiants d'une réalité objective, la liberté académique existe encore. N'attendons pas de disposer d'un grand média indépendant(iste), qui ne verra peut-être jamais le jour.

  • Vous avez dit...: "Re-bonjour, Pauline" ? (2)

    25 janvier 2008


    Monsieur Bousquet,

    Au fond, votre seule raison de promouvoir une confédération plutôt que l'indépendance repose sur votre conviction que les Québécois «ont trop peur économiquement de ça».

    Il serait temps que les Québécois sachent qu'environ 80% de leurs exportations prennent le chemin des USA, 10% celui du Canada et 10% celui de toutes les autres destinations. En revanche, ils achètent davantage du Canada que le Canada n'achète du Québec, de sorte que l'argument économique, pour ce qu'il vaut, est à retourner comme une crêpe. Voilà un fait que les indépendantistes auraient intérêt à répandre, et d'abord ceux qui se servent du contraire comme argument pour se contenter d'un succédané d'indépendance.

  • On ne négocie pas la création d'une confédération lorsqu'on n'est pas un État souverain

    23 janvier 2008


    Première Loi du Code politique bousquettien — Interdiction est faite à tout peuple, nonobstant son contexte propre, de conquérir sa pleine liberté s'il n'y a pas réussi après un terme de 50 ans.

    Deuxième Loi du Code politique bousquettien — Cependant, permission est accordée à ce peuple, dépassé le délai indiqué dans la première loi, de travailler deux fois plus longtemps pour obtenir (et non conquérir) la moitié de sa liberté.

    Troisième Loi du Code politique bousquettien — Le statut des cent et quelque peuples ayant malgré tout réalisé leur indépendance en plus de 50 ans est abrogé en punition de leur transgression de la première loi.

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Sources de Vigile

  • Vigile
  • La Presse canadienne
  • Le Droit
  • The Toronto Star www.thestar.com
  • http://lesaffaires.com
  • The Ottawa Citizen www.ottawacitizen.com
  • Le Québécois www.lequebecois.org/

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