• Vigile en 24h 4 articles Speech bubble Aucun commentaire publié
  • 4 visiteurs connectés
  • Connexion
logo
  • Vigile
    • Rubriques
      • Histoire
      • Économie
      • Actualité internationale
      • Actualité québécoise
      • Géopolitique
      • Actualité canadienne
      • Médias
      • Société
      • Souverainisme
      • Vigile.Québec
    • Articles
    • Sources
    • Revues
    • Dossiers
    • Auteurs
  • Actualité
      • Dossiers du jour
      • Actualité québécoise
      • Actualité canadienne
      • Actualité internationale
      • Géopolitique — France - (2 articles)
      • Hydro-Québec — Grande Braderie - (2 articles)
      • Décoder le présent - (1 article)
      • Géopolitique — États-Unis d'Amérique - (1 article)
      • L’âme des peuples se trouve dans leur histoire - (1 article)
  • Articles récents
  • Revues de presse
  • Auteurs
  • Éditorial
  • Chroniques
  • Dossiers
  • Tribune Libre
    • Envoyer un texte
    • Politique éditoriale
    • Guide pratique
  • Radio / Vidéo
  • Dons
    • Vigile a besoin de votre appui!

      Joignez-vous aux Amis de Vigile

      Faire un don unique
      S'abonner
    • Pour joindre Vigile


      Envoyer un message
      Envoyer un texte

Raymond Poulin

  • Featured dc5cc56da2a5b3719f7514193671f597

    Raymond Poulin120 articles

    • 95 435

    Enseignant (cégep)

    Ph.D. (littérature)

    Basses-Laurentides




De Fratrie en Pratterie

La Presse, c'est le Rona de l'enfoncement du Québécois pour en faire une minorité fédéraliste, néo-libérale et multiculturelle

  • Raymond Poulin
  • 20 août 2007
  • Chronique de Raymond Poulin
  • 1 commentaire

Ah, les "maudits immigrants" !

  • Raymond Poulin
  • 18 août 2007
  • Tribune libre - 2007
  • 2 commentaires

Le Bloc québécois est-il nécessaire?

  • Raymond Poulin
  • 6 août 2007
  • PI - Parti indépendantiste
  • 5 commentaires

Élection référendaire et déclaration unilatérale d'indépendance

  • Raymond Poulin
  • 1 août 2007
  • PI - Parti indépendantiste
  • 3 commentaires

Adieu, madame Marois !

  • Raymond Poulin
  • 24 juillet 2007
  • Pauline Marois - entre urgence et prudence
  • 8 commentaires

La proportionnelle, vraiment?

  • Raymond Poulin
  • 19 juillet 2007
  • Tribune libre - 2007

Un nouveau parti indépendantiste

Un projet mystérieux et fumeux

  • Raymond Poulin
  • 15 juillet 2007
  • PI - Parti indépendantiste
  • 11 commentaires

À René-Marcel Sauvé

  • Raymond Poulin
  • 19 juin 2007
  • Tribune libre - 2007
  • 1 commentaire
  • Précédent
  • 1
  • 2
  • 3
  • 4
  • 5
  • 6
  • 7
  • 8
  • Suivant

Financement

  • Maxime Boisvert - 2 juin 20245 $
  • André Lepage - 22 mai 20245 $
  • Gilbert Paquette - 20 mai 202410 $
  • Matthieu Rivet - 17 mai 20245 $
  • Hugo Lavoie - 10 mai 20245 $

Commentaires de Raymond Poulin

  • Égalité ou indépendance?

    29 février 2008


    Il serait évidemment préférable, sur le plan doctrinal, de proposer directement l'indépendance, ce qui se fait depuis cinquante ans avec le succès que l'on sait. Ce qui compte d'abord, cependant, c'est d'y parvenir, pas de recevoir une médaille de pureté en guise de prix de consolation.

    La proposition de M. Paquette ne comporte rien de déshonorant et, contrairement à ce qu'on semble prétendre, elle ne constitue pas une demande de négociation. Elle présente au Canada le choix entre l'acceptation d'un "home rule" dont il ne veut à aucun prix et l'indépendance du Québec, qui devient le choix québécois advenant un refus. Les indépendantistes seraient minoritaires dans la coalition? Au départ, oui; à la fin, non, puisque tous les coalisés auraient accepté dès le début (sans quoi la coalition n'a aucune raison d'être) qu'un refus d'Ottawa entraînerait la proclamation de l'indépendance. Reste à savoir si les nationalistes style ADQ accepteraient de faire partie de cette coalition, mais refuser signifierait, à la face du public, qu'ils n'ont pas le réel désir de sortir le Québec de l'impasse et sont prêts à demeurer Canadiens à n'importe quelle condition. Je ne suis pas certain que beaucoup de sympathisants de ce parti accepteraient de cautionner une telle évidence. Il ne s'agit pas de convaincre au départ la majorité des Québécois de la nécessité de l'indépendance mais de leur prouver par les actes, et sur une période très courte, qu'à défaut de la faire, il n'existe aucune solution de rechange. C'est certainement moins glorieux mais au moins aussi valable en pratique que de continuer à leur en prêcher en théorie les vertus. Cela déconsidère-t-il l'idée de l'indépendance? Je n'y crois pas; je ne connais aucun peuple qui soit passé à l'acte à la suite d'une longue maturation purement intellectuelle: on découvre le besoin absolu de la liberté lorsque la chaîne devient intolérable, et elle devient intolérable lorsqu'elle est reconnue brusquement, brutalement, pour ce qu'elle est. Je défends cette position, tout en acceptant de me tromper, et suis prêt à en changer si on me présente autre chose qu'une théorie.

    Si, même dans cette situation, les Québécois refusent l'indépendance, au moins les choses seront claires pour tout le monde. De toute manière, je n'ai pas un espoir démesuré de voir naître, du moins rapidement, une telle coalition, ne fût-ce que parce que le Parti québécois, en tout cas actuellement, est trop velléitaire pour tenter quoi que ce soit et parce que les autres partis et organismes indépendantistes sont trop préoccupés de pureté, trop méfiants, et quelques-uns trop pétris de sectarisme, pour s'unir à leurs alliés naturels dans un scénario qu'ils n'ont pas concocté eux-mêmes. Si c'est bien le cas, alors demeurons tous sur nos positions et continuons de convaincre tout le monde que la nation sera assimilée dans dix, quinze ou vingt ans si "nous ne suivons pas le bon chemin", le nôtre évidemment...

    P.S. pour M. Bousquet. — En 1867, les termes de confédération et de fédération étaient indifféremment employés, et pas seulement au Québec. Par ailleurs, j'ai lu à peu près tout ce qui s'est écrit avant la concrétisation de l'AANB. Personne n'a jamais alors prétendu que le Québec y aurait le statut d'un État souverain ni qu'il s'agissait d'un pacte égalitaire entre deux nations. Cette dernière interprétation est venue après, et elle fut soutenue exclusivement par des Canadiens français. Parmi ces derniers, on trouve ceux qui avaient été assez naïfs pour s'imaginer les choses ainsi ou assez hypocrites pour masquer par là leur forfaiture d'avoir incité les Canadiens français à accepter de joindre la Confédération en votant pour les Bleus parce qu'ils émargeaient aux intérêts du groupe financier qui envisageait la construction d'un chemin de fer de l'Atlantique au Pacifique. On en trouve également qui, ni naïfs ni malhonnêtes mais ayant participé activement à la révolte avortée des Patriotes, croyaient sauver ainsi les meubles.

  • Et on dira: les Québécois, ça n’existe plus...

    27 février 2008


    La dernière fois, nous avons agonisé pendant plus de 15 ans. Souvenons-nous de tout ce que nous avons entendu et dit de 1980 à 1995: nous nous en sommes construit, des cercueils, nous avons même chanté le Libera en anglais. Il ne restait plus qu'à sortir la bière de l'église. Et puis, cela est presque arrivé. Cette fois, nous nous traînons sur les genoux depuis pas encore 13 ans; chaque matin, on dirait que la pression systolaire descend pendant que la dyastolaire monte, on épie la venue sourde de l'infarctus. Se pourrait-il que nous soyons une fois de plus en train d'organiser les pompes funèbres prématurément?

  • Un BAPE médiocre

    27 février 2008


    Comme le disent les Anglo-Saxons: «The Devil is in the details». Et vous le confirmez. À ma connaissance, aucun média grand public n'a relayé cette information, qui disqualifie d'emblée sinon le projet, du moins le site projeté. Malhonnêteté ou distraction des journalistes et recherchistes? Auto-censure et mauvaise foi, en tout cas, du BAPE, peut-être moins indépendant du pouvoir politique qu'on le croyait et qu'il le prétend...

  • <i>Speak What</i>

    23 février 2008


    J'estime particulièrement malheureuse la réaction de madame Fortin. Somme toute, s'il est normal que Speak White ait d'abord été le fait d'une Québécoise, il n'en demeure pas moins remarquable et tout à votre honneur qu'il ait été relayé par un Québécois non pas d'adoption mais de choix, car enfin, plutôt que d'être "adapté", vous avez librement choisi et n'avez jamais prétendu surpasser le cri de Lalonde mais l'adopter, le confirmer et le prolonger en lui ajoutant votre adhésion. On ne peut à la fois réclamer que les nouveaux venus s'intègrent voire s'assimilent et leur reprocher de se fondre à l'âme de la nation en foulant le même sol que les nationaux. Le reste appartient aux mauvaises querelles des sectaires.

    Raymond Poulin, professeur de littérature

  • L'enseignement de l'anglais - se recentrer sur le but

    19 février 2008


    Monsieur Bousquet,

    André Savard ne propose pas de boycotter l'anglais. Par ailleurs, le Québec a besoin de locuteurs qui connaissent d'autres langues, en particulier l'espagnol et l'allemand, enfin le russe et le chinois. Pourquoi interpréter négativement tout ce qui souligne notre dépendance psychologique à l'anglais? Voilà des décennies que la plupart des Québécois s'imaginent que tout le monde devrait parler anglais. Le résultat: 80% de nos esportations se dirigent vers les USA, ce qui fait de nous un client prisonnier de cet empire, alors qui'il serait beaucoup plus sécuritaire, stratégiquement parlant, de se "forcer le cul" pour diversifier nos exportations afin de ne pas dépendre que d'un seul marché. Il arrive que nous nous créons des dépendances qui font notre vulnérabilité parce que nous nous imaginons qu'il n'existe rien en-dehors de l'univers anglo-américain. Cela se nomme, en réalité, de l'auto-colonialisme, un prolongement du colonialisme britannique et canadien. Nous nous condamnons ainsi à subir le sort de la décadence usaméricaine. Notre auto-colonialisme, d'abord psychologique, nous mène à des lendemains qui ne chantent pas. En tout, vous semblez privilégier la pente que nous suivons depuis des décennies plutôt que d'imaginer un autre avenir possible. Il est vrai que c'est plus facile, mais la facilité n'est pas un gage de réussite. Les politiques ne sont pas là pour suivre toujours et en tout leurs mandants mais pour les renseigner et les orienter.

  • Scouts, toujours prêts! La naïveté va loin...

    19 février 2008


    Monsieur Lapointe,

    Il y a toujours une assise ethnique à l'origine d'une nation. Avec le temps et les apports extérieurs, le socle originel se transforme en fondement culturel, social et linguistique, même si cet "agglomérat", puisque vivant sur un même territoire, a également développé d'autres intérêts collectifs, notamment économiques. Il devient alors complètement décalé et dangereux de se réclamer d'un point de vue ethnique, d'autant plus que c'est justement cet argument qui peut justifier une partition territoriale.

    En revanche, le concept de nation civique équivaut à réduire l'appartenance à un patriotisme purement juridique, ce qui produit une collectivité sans âme dont l'unité est partielle, variable et aléatoire. Une nation ne peut être seulement une association contractuelle reposant sur des intérêts limités; c'est là une vision purement fonctionnaliste de l'État.

  • La réforme électorale cache des pièges envenimés

    15 février 2008


    Le point de vue de M. Kemp repose sur l'équité, notion trop souvent oubliée au nom d'une démocratie purement arithmétique. La véritable justice dépend d'abord de l'équité.

  • Non à un Québec bilingue!

    14 février 2008


    Ce que vous rapportez à propos de l'âge idéal pour apprendre une langue seconde et des résultats supérieurs qu'on obtient est exact et connu depuis longtemps de la plupart des responsables du ministère de l'Éducation. Malheureusement, ceux qui pensent à partir d'une idéologie ou de leurs préjugés de colonisés entendent mais n'écoutent pas et ne réfléchissent pas: ils réagissent selon leur réflexe conditionné. Je me demande (formulation polie) si beaucoup de nos politiques et de nos pédagogues ne sont pas encore plus colonisés, à leur insu, qu'on oserait le croire. À la faculté des sciences de l'éducation, lors de mes études, la seule personne que j'aie entendue poser ce diagnostic, voilà déjà longtemps, était une anglo-québécoise qui, en désespoir de cause, tentait tant bien que mal de décoloniser les cerveaux des étudiants québécois de langue française — Salut à toi, Allison! Je ne suis pas certain que nous ayons parcouru beaucoup de chemin depuis.

    Raymond Poulin, Ph.D.

  • Bordel, est-ce qu’on peut discuter?!

    10 février 2008


    Si vous avec lu les articles à propos de la manière dont le PI a l'intention de déclarer l'indépendance, vous avez sans doute constaté que la même question peut déjà se poser quant à l'attitude de ce parti. Pas forts sur le dialogue, les partis indépendantistes, même lorsqu'ils sont fondés par des gens qui ont quitté le PQ à cause de cette difficulté au dialogue et à la discussion, justement. Sancta simplicitas...

  • Ce qui aurait pu se produire et ne se produira pas

    10 février 2008


    Madame Lachance,

    La position du PI a été entérinée lors du congrès de fondation, de sorte qu'il lui faudra "faire un bout" avant qu'elle soit modifiée, si jamais elle l'est. J'avais déjà soulevé le problème dans un texte publié le 1er août 2007; il était demeuré sans réponse depuis. À voir ce qui se publie depuis quelques jours en provenance du PI, j'éprouve l'impression que ce serait la croix et la bannière pour ouvrir une discussion là-dessus: les instances dirigeantes semblent considérer comme un sacrilège, pour le moins, de soulever la question; il paraît même que ceux qui n'acceptent pas le processus déjà adopté ne sont pas de vrais indépendantistes mais des gens minés par la peur de l'indépendance... Or beaucoup de péistes ont quitté le PQ justement parce qu'ils trouvaient la direction trop rigide et pas discutable, et voici qu'ils adoptent l'attitude et le ton qui les a convaincus de quitter le navire péquiste. Je vous avoue que, vu les circonstances, je ne me vois pas, à 65 ans, passer mon temps à courir les comités et les congrès pendant des années pour taper sur le même clou devant un tribunal inquisitoire. J'ai peut-être tort, mais, pour le moment, je crois que c'est mal parti.

  • Ce qui aurait pu se produire et ne se produira pas

    10 février 2008


    Monsieur Addleman,

    Dans le processus prévu par le PI, la déclaration d'indépendance intervient avant sa ratification par le référendum sur la constitution. En mots simples, on tire d'abord et on pose la question ensuite. Il s'ensuit donc que cette déclaration, de même que tous les gestes posés à sa suite, ne seront reconnus nulle part. Il n'est pas besoin d'imaginer la suite, elle coule de source. Par ailleurs, croyez-vous la population naïve au point d'accepter qu'on lui force la main par un stratagème aussi enfantin? Même la plupart de ceux qui souhaitent l'indépendance se sentiront traités par-dessus la jambe. L'avènement d'un État souverain n'est pas un jeu d'enfant, bordel! Que des indépendantistes jeunes, naïfs et exaspérés achètent une telle idée passe encore, mais que les responsables d'un parti politique prétendant libérer un peuple s'y accrochent, voilà qui dépasse l'entendement.

  • Ce qui aurait pu se produire et ne se produira pas

    9 février 2008


    Madame Lachance,

    Une seule chose essentielle déclasse la prétention du Parti indépendantiste; quant aux autres raisons, elles peuvent, comme vous dites, se régler par la discussion approfondie, ce qui suppose une écoute mutuelle. Cette chose, vous la connaissez aussi bien que moi, et c'est celle que Bernard Frappier, Frédéric Picard et bien d'autres ont mentionnée: la volonté arrêtée de déclarer l'indépendance à la suite d'une élection remportée à la simple majorité des sièges.

    Il est inconcevable que votre parti — qui a failli être le mien et pourrait bien l'être un jour puisque j'avais, avec enthousiasme et parmi les premiers, signé sa demande de reconnaissance officielle — ne tienne compte ni de la pratique internationale depuis plusieurs années ni de l'avis d'à peu près tous les spécialistes de droit international et de droit constitutionnel. Devant ces réalités, l'avis des quarante membres présents à l'assemblée de fondation, des six cents membres inscrits ou de six douzaines d'articles signés par sa direction ou ses membres ne changera rien. L'indépendance n'est pas qu'un désir ou un beau rêve mais un acte politique et diplomatique dont l'effectivité ne se garantit pas par la seule bonne foi ni par le sentiment ou l'émotion qu'il suscite ou dont il procède.

    Le PI a parfaitement le droit de ne pas se plier aux usages, mais, s'il refuse de le faire, ce sera la seule chose qu'il aura gagnée: le droit de dire non. Alors, il mourra avec parce qu'il aura perdu sa raison d'être: réaliser l'indépendance. Et il ne lui faudra pas quarante ans pour que cela se produise. Pour paraphraser les Belles Histoires des pays d'en-haut: un autre beau gâchis du pays avorté du Québec.

  • «
  • 1
  • 2
  • …
  • 27
  • 28
  • 29
  • 30
  • 31
  • 32
  • 33
  • 34
  • 35
  • …
  • 41
  • 42
  • »

Raymond Poulin est suivi par:

  • Personne ne suit Raymond Poulin. Soyez le premier!


À propos de Vigile

Vigile ouvre ses pages à tous ceux que le combat pour l’indépendance mobilise. Vigile respecte et encourage la liberté d’expression et accueille les différences qui ne compromettent pas l’avenir de la nation. Les auteurs assument l’entière responsabilité du contenu de leurs textes.

Médias sociaux

Sources de Vigile

  • Vigile
  • La Presse canadienne
  • Le Droit
  • The Toronto Star www.thestar.com
  • http://lesaffaires.com
  • The Ottawa Citizen www.ottawacitizen.com
  • Le Québécois www.lequebecois.org/

Vidéo Vigile

CONTACT #46 | L'américanisation de l'espace mental - Mathieu Bock-Côté (par Stéphan Bureau)

  • 14 janvier 2024

© Vigile.Québec 2025

  • Politique éditoriale
  • Envoyer un message