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Raymond Poulin

  • Featured dc5cc56da2a5b3719f7514193671f597

    Raymond Poulin120 articles

    • 95 435

    Enseignant (cégep)

    Ph.D. (littérature)

    Basses-Laurentides




De Fratrie en Pratterie

La Presse, c'est le Rona de l'enfoncement du Québécois pour en faire une minorité fédéraliste, néo-libérale et multiculturelle

  • Raymond Poulin
  • 20 août 2007
  • Chronique de Raymond Poulin
  • 1 commentaire

Ah, les "maudits immigrants" !

  • Raymond Poulin
  • 18 août 2007
  • Tribune libre - 2007
  • 2 commentaires

Le Bloc québécois est-il nécessaire?

  • Raymond Poulin
  • 6 août 2007
  • PI - Parti indépendantiste
  • 5 commentaires

Élection référendaire et déclaration unilatérale d'indépendance

  • Raymond Poulin
  • 1 août 2007
  • PI - Parti indépendantiste
  • 3 commentaires

Adieu, madame Marois !

  • Raymond Poulin
  • 24 juillet 2007
  • Pauline Marois - entre urgence et prudence
  • 8 commentaires

La proportionnelle, vraiment?

  • Raymond Poulin
  • 19 juillet 2007
  • Tribune libre - 2007

Un nouveau parti indépendantiste

Un projet mystérieux et fumeux

  • Raymond Poulin
  • 15 juillet 2007
  • PI - Parti indépendantiste
  • 11 commentaires

À René-Marcel Sauvé

  • Raymond Poulin
  • 19 juin 2007
  • Tribune libre - 2007
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Commentaires de Raymond Poulin

  • Les vases communicants

    28 juin 2008


    Tiens! Une candidate du Parti québécois dont la stratégie a porté sur la souveraineté bien expliquée? Dieu du ciel et pattes de gazelle! cela serait-il donc encore possible? Il faudrait prévenir Mme Marois au plus sacrant, peut-être lui pousserait-il des idées...

  • Regardons le cœur du problème svp

    28 juin 2008


    Monsieur Bouchard, merci de votre texte. En langage simple et clair, il donne un aperçu plutôt juste de ce que pensent plusieurs Québécois, à tort ou à raison, et dont il faudrait bien se pénétrer avant de vouloir les convaincre de quoi que ce soit. Il s’avère, en effet, que les mouvements et les partis indépendantistes oublient trop souvent le décalage entre la vaste majorité de la population et le langage qu’ils leur tiennent, de sorte qu’ils en arrivent, sans trop s’en apercevoir, à tenir une conversation et des débats dans un langage où ils se comprennent presque exclusivement entre eux, lorsque d’aventure ils se comprennent... Ce n’est pourtant pas verser dans le populisme que de parler à quelqu’un de manière à en être compris, mais de l’effectivité, chose que négligent non seulement les intellectuels indépendantistes mais beaucoup d’universitaires, y compris moi-même. Il y a moyen d’employer une langue à la fois correcte, claire et vivante sans faire constamment étalage de son jargon professionnel ou culturel. Une cause ne peut gagner qu’avec l’appui de la population en général et pas seulement avec celui des têtes d’oeuf. Il semble que cela soit mieux compris chez les fédéralistes, qui ont souvent le sens de la propagande plutôt développé.

    Vous tenez, sur la difficulté et parfois l’impuissance à exprimer adéquatement la pensée à cause des carences communes sur le plan de la langue , un discours qui, si je m’en rapporte à ce que je constate depuis longtemps dans l’enseignement, correspond à la réalité, une réalité occultée, le plus souvent, par un courant pédagogique qui joue à l’autruche depuis une trentaine d’années. J’ai fini par me convaincre que ce courant fait l’affaire de bien des politiciens : au pays des aveugles, les borgnes sont rois, autant sur le plan politique que sur le plan économique. Cela n’est pas exclusif au Québec mais peut-être pire en Amérique du Nord qu’ailleurs.

  • Un projet de pays, oui, mais + autre chose

    27 juin 2008


    Monsieur Verrier, il ne s’agit pas de savoir si on aime ou pas Jacques Parizeau ou s’il a erré en démissionnant. Il s’agit de refaire, une fois un parti indépendantiste au pouvoir, ce qui, à la lumière de la nécessité et du simple bon sens, doit l’être. Dans ce contexte, faire du Parizeau bashing est à côté de la question soulevée.

    Monsieur Haché, je ne tiens pas absolument à ce que ce soit le PQ qui nous mène à l’indépendance. Et le PI, une fois retombé sur ses deux pattes, ne sera certainement pas à dédaigner. Mais quel que soit le parti qui se trouvera le mieux en situation (pour le moment, il n’y en a aucun), il devra s’outiller en conséquence. C’est seulement cela que j’ai voulu souligner. Quant au reste, nous sommes à peu près sur la même longueur d’onde. Oui, comme vous, je suis un vieil indépendantiste tanné sur les bords, mais j’ai la conviction que, dans les circonstances actuelles, la précipitation constituerait non seulement une erreur mais une faute.

  • Amarré, prenant l’eau, le bateau coule

    26 juin 2008


    Un texte lumineux qui circonscrit le problème de fond, et dont l'articulation montre que la solution ne peut se manifester qu'après le déconditionnement de la population québécoise française.

  • Sur Lionel Groulx...

    24 juin 2008


    Il va de soi que Lionel Groulx n'était pas raciste ni xénophobe, sauf pour ceux qui évitent systématiquement, comme Esther Delisle par exemple, de replacer ses déclarations et son vocabulaire dans leur contexte historique, social et culturel, ce que je trouve particulièrement méprisable lorsque c'est le fait d'historiens, de politologues ou de sociologues. Ceux-là n'ont aucune excuse.

  • Canadiens français, Québécois et autres vocables

    24 juin 2008


    Monsieur Perez, il va de soi que l'indépendance est nécessaire, et la présente suggestion ne vise absolument pas à s'y substituer. Je croyais que c'était une évidence qui allait sans dire.

  • Canadiens français, Québécois et autres vocables

    24 juin 2008


    Monsieur Bousquet, il ne s'agit pas de nous définir comme Canadiens français mais comme Québécois, en indiquant à partir de quelle origine — sur les plans historique, culturel et linguistique — et par quelle continuité se définit la nation québécoise, mais de manière à y intégrer tous ceux qui veulent s'y joindre.

  • En guise de réaction aux articles de Me Cloutier

    22 juin 2008


    Monsieur Bousquet,

    En ce qui concerne une confédération, voir mon article: Le plus grand obstacle à l'indépendance, qui s'adresse à vous.

    Quant à l'idée de devenir un État américain, non seulement cela ne réglerait rien, mais ce serait, cette fois, l'assimilation assurée et rapide, vous devriez le savoir. Par ailleurs, voulez-vous donc absolument vous retrouver dans un pays beaucoup plus corrompu, autoritaire et liberticide que le Canada? Vous devenez déconcertant, à la fin. Je ne vous avais jamais cru naïf à ce point, mais là... À force de vouloir conjurer l'option indépendantiste, vous allez bientôt nous suggérer, au titre de prix de consolation, de nous associer au Kossovo, peut-être???

  • En guise de réaction aux articles de Me Cloutier

    21 juin 2008


    Monsieur Bousquet, depuis le début de votre campagne confédéraliste, vous oubliez un détail : une confédération doit être négociée entre États souverains, pas entre une province et le pays dont elle fait partie, de sorte qu’il faut d’abord en passer par l’indépendance — vérifiez auprès de n’importe quel juriste en droit international. Alors, si votre choix d’une confédération s’appuie sur la conviction que cette formule sécuriserait davantage la majorité des Québécois et, par conséquent, obtiendrait plus facilement leurs suffrages, c’est loupé! Et s’il faut d’abord faire l’indépendance, pourquoi, une fois réalisée, aller la diluer dans une confédération alors que tous les aménagements ultérieurs entre États voisins, comme partout ailleurs, peuvent se faire par la conclusion de traités? Et ne me ramenez pas l’exemple de la Communauté européenne, qui n’est absolument pas une confédération mais un machin pseudo-impérial dont à peu près 80% des décisions émanent de hauts fonctionnaires qui ne rendent de comptes à personne. La démocratie de la CE? Du vent! Mais ce n’est pas par Radio-Canada que vous allez l’apprendre ni même par Le Devoir, où, habituellement, un seul journaliste sait de quoi il parle, lorsque toutefois il en parle, sur cette question. Les autres se contentent de potasser les articles du Monde, de Libération et du Nouvel Observateur, qui sont atlantistes et néo-libéraux bien plus qu’ils n’en ont l’air, sauf exception. Alors ils braillent chaque fois que le peuple ordinaire, que ce soit en Irlande, en France ou aux Pays-Bas, envoie chier, par référendum, les bonzes de Bruxelles, parce qu’il sait très bien qu’il se fait f...

    Quant aux menaces de partition du territoire et autres bébelles de la même farine, il existe un moyen de s’en prémunir : la constitution d’une milice armée avant de faire l’indépendance, et on n’a même pas besoin d’attendre la décision du gouvernement québécois pour la mettre sur pied : rien, dans le système canadien, n’interdit la constitution d’une milice par qui que ce soit. Il va de soi qu’elle doit être disciplinée et fortement encadrée. Il est extrêmement difficile à une armée d’invasion d’occuper un territoire et de maintenir cette occupation lorsque la population dispose d’une milice populaire capable de pratiquer la guérilla; il n’est même pas nécessaire de disposer d’artillerie ni d’aviation, au contraire : la force d’une milice repose sur sa formation et la légèreté, la mobilité, la rapidité, les attaques surprises et le repli, la complicité d’une partie de la population. Si vous connaissez un peu la configuration physique du Québec et la géopolitique, vous pourrez constater qu’il s’agit d’un territoire plus facile à défendre que bien d’autres. Il faut à l’occupant une troupe au moins dix fois plus nombreuse que la milice. Le gouvernement canadien et la Défense nationale le savent tellement bien que, depuis les années 95, ils ont pratiquement vidé les entrepôts militaires en sol québécois de munitions et d’armes lourdes parce qu’ils sont certains qu’en cas d’une tentative de mise au pas musclée, la plupart des militaires québécois défendraient le Québec et non le Canada. Et, par expérience acquise dans le milieu militaire,je puis dire qu’ ils ont vu juste. Par ailleurs, les militaires québécois sont surtout concentrés dans l’infanterie, ce qui leur assurerait une longueur d’avance. Je suis tout à fait conscient qu’en général, les Québécois n’imaginent même pas que le seul fait de prendre les précautions normales en cas d’invasion empêche neuf fois sur dix la possibilité que cela se produise. Il y a tout de même un certain danger? Ben oui, le même que de traverser la rue Ste-Catherine le jour du boxing day. En automobile : une chance sur treize d’avoir un accident; pourtant, qui s’empêche d’utiliser une automobile pour autant? Il faut bien vivre, n’est-ce pas? Idem pour l’indépendance. Tous ceux qui tiennent à la vie à n’importe quelle condition se condamnent à vivre dans de mauvases conditions. Politiquement, nous vivons dans de mauvaises conditions, même avec notre char, notre blueberry, notre cellulaire, notre cinéma-maison et nos vacances en Floride pourrie. Du pain et des jeux, ça vous dit quelque chose, sans doute.

    Nous sommes collectivement des enfants, monsieur Bousquet, des enfants qui ont peur dans le noir et qui appellent môman. Le vrai danger ne vient pas du gouvernement d’Ottawa, il réside dans notre mentalité colonisée et annexée, et c’est là le plus grand obstacle à l’indépendance. Nous sommes des mous par fatalité historique, mais ce n’est pas irrémédiable; ce n’est pas une condamnation, loin de là, mais une constatation. On peut blâmer tant qu’on veut les chefs indépendantistes, qui ont leurs faiblesses comme tout le monde, ça n’a presque jamais constitué le noeud du problème. Je parle ici des chefs qui ont exercé le pouvoir gouvernemental, pas de ceux qui s’imaginent qu’il suffit de pratiquer l’art rhétorique pour construire un parti, prendre le pouvoir et faire l’indépendance. Viser et réussir la libération politique d’un peuple ne s’improvise pas dans un salon, dans un colloque universitaire ni même dans Vigile, et il faut y préparer le peuple en étant avec lui, pas le sermonner en lui disant de manière méprisante qu’il n’a rien compris chaque fois qu’il ne réagit pas comme on l’espère, attitude qu’on a vu trop souvent au Parti québécois, et pas toujours de la part des chefs. Des chefs dont la plupart ont négligé les activités de renseignement et la nécessité de prévoir les coups, même militaires : des scouts. Un État, comme le répète René-Marcel Sauvé, ça se défend. Le seul qui ait vraiment compris cela, c’est Jacques Parizeau et, une seule fois, René Lévesque mais pas pour longtemps. Tout le monde il n’est pas beau, tout le monde il n’est pas gentil; un rapport de force, ça se construit, longuement, patiemment, et parfois ça salit un peu les mains.

  • Le silence complice des grands officiers

    20 juin 2008


    Touché! Mais il y en a au moins un qui en a parlé, c'est Jacques Parizeau. Peut-être pas dans les termes que vous auriez souhaité, mais il l'a fait, et au présent. Vu les circonstances, c'est déjà beaucoup. Comme toujours, le voilà devant, pas en arrière.

  • AYOYE!

    12 juin 2008


    Comme le dirait le notaire Le Potiron: «Absolument et parfaitement d'accord. Je dirais plus, je dirais même: absolument et parfaitement d'accord»!

  • Les intellectuels à la Bouchard

    2 juin 2008


    Pour M. LeRouzès.

    Je ne connais pas d'intellectuel qui ait peint ce portrait de pied en cap — et je me méfierais un peu de celui qui aurait une telle prétention —, mais on peut en trouver des traces chez plusieurs dont Bock-Côté, Beauchemin, Vadeboncoeur,etc. Le meilleur se trouve peut-être chez les essayistes et les romanciers québécois. Une telle entreprise relève au moins autant de la subjectivité et de la sensibilité que des études sociologiques.

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Sources de Vigile

  • Vigile
  • La Presse canadienne
  • Le Droit
  • The Toronto Star www.thestar.com
  • http://lesaffaires.com
  • The Ottawa Citizen www.ottawacitizen.com
  • Le Québécois www.lequebecois.org/

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